Bibla

 

Jérémie 51:12

Studimi

       

12 Elevez l'enseigne sur les murailles de Babylone, renforcez la garnison, posez les gardes, préparez des embûches; car l'Eternel a formé un dessein, même il a fait ce qu'il a dit contre les habitants de Babylone.

Nga veprat e Swedenborg

 

Arcanes Célestes #2686

Studioni këtë pasazh

  
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2686. Que l'arc soit la doctrine du vrai, c'est ce qu'on voit par sa signification. Dans la Parole, partout où il s'agit de Guerres, et partout où sont racontées des guerres, il n'est signifié, dans le sens interne, que des guerres spirituelles, numéro 1664. Il y a eu aussi, dans l'Ancienne Église, des Livres qui étaient intitulés les Guerres de Jéhovah, comme on le voit dans Moïse, - Nombres 21:14-15, 16, - ces guerres qui avaient été écrites en style prophétique avaient un sens interne, et traitaient des combats et des tentations du Seigneur, ainsi que des combats et des tentations de l'Église et des hommes qui sont de l'Eglise ; c'est ce qui est évident, parce que quelques passages en ont été extraits par Moïse ; on le voit aussi par d'autres Livres de cette Église, qui sont nommés Livres des Enoncés prophétiques, - dont il est parlé, Nombres 21:27, 28, 29, 30, - dans lesquels sont presque les mêmes paroles qu'on trouve dans Jérémie, Confér. Nombres 21:28, Jérémie 48:45.

On peut aussi conclure par ces Livres que l'Ancienne Église a eu des Écrits, tant Historiques que Prophétiques, qui étaient Divins et inspirés, et qui, dans le sens interne, traitaient du Seigneur et de son Royaume, et que ces Écrits étaient la Parole pour les hommes de cette Église, comme sont pour nous les Livres Historiques et Prophétiques qui, dans le sens de la lettre, traitent des Juifs et des Israélites, mais qui, dans le sens interne, traitent du Seigneur et des choses appartenant au Seigneur. Comme la Guerre, dans la Parole ainsi que dans les Livres de l'Ancienne Eglise, signifiait la Guerre spirituelle, de même toutes les armes, telles que l'Épée, la Lance, le Bouclier, l'Écu, les Traits, les Flèches et l'Arc, signifiaient spécialement les choses qui appartiennent à la Guerre prise dans le sens spirituel ; il sera dit ailleurs, par la Divine Miséricorde du Seigneur, ce que signifie spécialement chacune de ces armes ; ici, il va être parlé de ce qui concerne l'arc, en ce qu'il signifie la doctrine du vrai, et cela, en raison des traits, flèches ou javelots, qui sont les doctrinaux d'après lesquels et avec lesquels combattent ceux surtout qui sont spirituels et qui, à cause de cela, furent jadis appelés Tireurs d'arc : que l'Arc signifie la Doctrine du vrai, c'est ce dont on peut se convaincre par ces passages ; dans Ésaïe :

« Les traits de Jéhovah (sont) aigus, et tous ses Arcs tendus ; les sabots de ses chevaux sont réputés comme le roc, et ses roues comme la tempête. » - Ésaïe 5:28.

Là, il s'agit des vrais de la doctrine ; les traits sont les vrais spirituels, l'arc la doctrine, les sabots des chevaux les vrais naturels ; les roues leur doctrine ; et comme ces choses ont de telles significations, elles sont attribuées à Jéhovah, auquel elles ne peuvent l'être que dans un sens spirituel, autrement ces expressions seraient vaines et non convenables.

Dans Jérémie :

« Le Seigneur a tendu son Arc comme un ennemi, il a affermi sa droite comme celui qui attaque, et il a tué tout ce qui était désirable à l'œil dans la tente de la fille de Sion, il a répandu comme un feu sa colère. » - Lamentations 2:4.

L'Arc est la doctrine du vrai, laquelle se montre à ceux qui sont dans les faux comme quelque chose d'ennemi et d'hostile ; aucun autre arc ne peut se dire du Seigneur.

Dans Habacuc :

« Jéhovah, tu montes sur tes chevaux, tes chars (sont) le salut ; ton Arc sera mis entièrement à nu. » - Lamentations 3:8-9 ;

Dans ce passage l'arc est aussi la doctrine du bien et du vrai.

Dans Moïse :

« Ils l'aigriront et ils lanceront des traits, et ils auront de la haine contre lui les Archers ; il s'assiéra sur la fermeté de son Arc, et les bras de ses mains seront fortifiés par les mains du puissant de Jacob ; de là (il sera) le Pasteur, la Pierre d'Israël. » - Genèse 49:23-24.

Là, il s'agit de Joseph ; l'Arc est la doctrine du bien et du vrai.

Dans Jean :

« Je vis, et voici un cheval blanc, et celui qui était monté dessus avait un Arc ; on lui donna une couronne. » - Apocalypse 6:2.

Le cheval blanc est la sagesse, et celui qui était dessus est la Parole, ainsi qu'il est clairement dit au Chapitre 19 : Vers. 13, où il s'agit de nouveau du cheval blanc ; et comme celui qui était dessus est la Parole, il est évident que l'Arc est la doctrine du vrai, Dans Ésaïe :

« Qui a de l'orient excité la justice ? Il l'a appelé à sa suite ; il a placé devant Lui les nations ; et l'a fait dominer sur les rois ; il (les) a livrés comme de la poussière à son épée, comme de la paille agitée à son Arc. » - Ésaïe 41:2.

Là, il s'agit du Seigneur ; l'épée est le vrai, l'arc est la doctrine qui procède du Seigneur.

Dans le Même :

« Je poserai en eux un signe, et j'enverrai des réchappes d'entre eux vers les nations de Tharschisch, de Pul et de Lud, qui tirent de l'arc, de Thubal et de Javan. » - Ésaïe 66:19.

Ceux qui tirent de l'arc sont ceux qui enseignent la doctrine ; on a vu ce qui est signifié par Tharschisch, numéro 1156 ; par Lud, numéros 1195, 1231 ; par Thubal, numéro 1151 ; par Javan, numéro 1152, 1153, 1155.

Dans Jérémie :

« A la voix du cavalier et du tireur d'arc, toute la ville a fui ; ils sont entrés dans les nuées, et ils sont montés dans les rochers ; toute la ville a été abandonnée. » - Jérémie 4:29.

Le cavalier signifie ceux qui disent le vrai, l'arc est la doctrine du vrai que fuient ou craignent ceux qui sont dans les faux.

Dans le Même :

« Rangez l'armée contre Babel, tout à l'entour ; vous tous qui tendez l'arc, tirez contre elle, n'épargnez pas les traits, parce qu'elle a péché contre Jéhovah. » - Jérémie 50:44, Jérémie 51:2-3.

Là, ceux qui tirent et qui tendent l'arc sont ceux qui disent et qui enseignent la doctrine du vrai.

Dans Zacharie :

« Je retrancherai le Char d'Ephraïm, et le cheval de Jérusalem ; et l'Arc de guerre sera retranché ; et il parlera de paix aux nations. » - .

Ephraïm, c'est l'entendement du vrai de l'Église ; l'arc, c'est la doctrine. Dans Samuel :

« David prononça une lamentation sur Saül et sur Jonathan son fils ; et il l'intitula : Enseignement aux fils de Juda pour l'arc. » - 2 Samuel 1:17-18.

Là, il s'agit, non de l'arc, mais des doctrinaux de la foi.

Dans Ézéchiel :

« Parole du Seigneur Jéhovih : c'est le jour dont j'ai parlé ; et les habitants des villes d'Israël sortiront, et ils embraseront et brûleront les armes, et l'écu, et le bouclier, et l'Arc, et les traits, et le bâton de main et la lance, et ils y embraseront le feu sept ans. » - Ézéchiel 39:9.

Les armes, nommées dans ce passage, sont toutes des armes de la guerre spirituelle ; l'arc avec les traits, c'est la doctrine et ses vrais.

Dans l'autre vie, les vrais mêmes séparés d'avec les biens paraissent comme des traits, quand ils sont représentés à la vue. De même que l'Arc signifie la doctrine du vrai, de même il signifie dans le sens opposé la doctrine du faux : les expressions de ce genre, dans la Parole, ont pour la plupart un sens opposé, comme il a été dit et montré très souvent ;

Par exemple, dans Jérémie :

« Voici, un peuple vient de la terre du Septentrion, et une grande nation sera excitée des confins de la terre ; ils saisissent l'Arc et la lance ; cette (nation est) cruelle, et ils n'auront point de compassion ; leur voix sera tumultueuse comme la mer, ils seront montés sur des chevaux, équipés comme un homme de guerre, contre toi, fille de Sion. » - Jérémie 6:22-23 ; dans ce passage l'arc est pris pour la doctrine du faux.

Dans le Même :

« Voici, un peuple vient du septentrion, et une grande nation et plusieurs rois seront excités des confins de la terre ; ils tiennent l'Arc et la lance, ils (sont) cruels, et ils n'ont point de compassion. » - Jérémie 50:41-42.

Même signification.

Dans le Même :

« Ils tendent leur langue, leur Arc (pour) le mensonge, et non pour la vérité ; ils prévalent dans la terre, » parce qu'ils s'en sont allés d'un mal dans un mal, et ils ne M'ont point connu. » - Jérémie 9:1, 2.

Que l'arc soit la doctrine du faux, ou le voit clairement, car il est dit qu'ils tendent la langue, que leur arc est pour le mensonge et non pour la vérité.

Dans le Même :

« Ainsi a dit Jéhovah Zebaoth : voici, Moi je vais briser l'Arc et d'Elam, le principe de sa force. » - Jérémie 49:35.

Dans David :

« Allez, voyez les œuvres de Jéhovah, qui met des solitudes en la terre, faisant cesser les guerres jusqu'à l'extrémité de la terre ; il brise l'Arc, il coupe la lance, il brûle les chariots au feu.

Psaumes 46:9-10.

Dans le Même :

« En Juda Dieu est connu, en Israël son Nom (est) grand ; et en Schalem sera son tabernacle, et son habitacle en Sion ; là il a brisé les traits enflammés de l'Arc, le bouclier, et l'épée, et la guerre. » - Psaumes 76:2-3, 4.

Dans le Même :

« Voici, les impies tendent l'Arc, ils préparent leurs flèches sur la corde pour (les) lancer dans les ténèbres contre ceux qui ont le cœur droit. » - Psaumes 11:2.

Ici, l'arc et les flèches sont évidemment pris pour les doctrinaux du faux.

  
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Arcanes Célestes #8568

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8568. Et là, le peuple eut soif d'eaux, signifie l'accroissement du désir vers le vrai : ou le voit par la signification d'avoir soif, en ce que c'est appeler et désirer, et en ce que cela est dit du vrai comme avoir faim est dit du bien ; et par la signification de l'eau, en ce que c'est le vrai de là foi, numéro 8562 ; qu'avoir soif, ce soit appeler et désirer, savoir, le vrai qui est signifié par l'eau, cela est très évident d'après plusieurs passages dans la Parole, comme dans Amos :

« Voici, les jours viendront où j'enverrai

une famine en la lerre, non pas famine pour le pain, et non pas soif pour les eaux, mais pour entendre les paroles de Jéhovah ; et ils iront de la mer à la mer, et du septentrion jusqu'à l'orient ; et ils courront çà et là pour chercher a parole de Jéhovah, et ils ne la trouveront point : En ce jour-là défailliront les vierges belles et les jeunes hommes par la soif. » - Amos 8:11-12, 13.

Le désir de savoir le vrai est décrit ici par avoir soif ; le désir pour le vrai est signifié par j'en verrai une soif non pas pour les eaux, mais pour entendre les paroles de Jéhovah ; le manque de vrai, et par suite la privation de la vie spirituelle , sont décrits par en ce jour-là défailliront les vierges-belles el les jeunes hommes par la soif ; les vierges belles sont ceux qui son dans les affections du bien, et les jeunes hommes ceux qui sont dans les affections du vrai. Dans Ésaïe :

« 0 ! quiconque a soif, allez vers les eaux ; et quiconque n'a point d'argent, allez, achetez et mangez ; allez et achetez sans argent et sans prix du vin et du lait. » - Ésaïe 4:1-2.

quiconque a soif, allez vers les eaux, c'est évidemment quiconque désire les vrais de la foi ; acheter sans prix du vin et du lait, c'est acquérir du Seigneur, ainsi gratuitement, le vrai et le bien de la foi ; que les eaux soient le vrai de la foi, on le voit, numéro 8562 , et le vin le bien de la foi, numéro 6377, et aussi le lait, numéro 2184 ; qu'ici par aller vers les eaux et acheter du vin et du lait, il soit entendu non pas du via ni du lait, mais des choses qui appartiennent au Ciel et à l'Église, chacun peul le voir : pareillement dans Jean :

« Moi, à celui qui aura soif je donnerai de la source de l'eau de la vie gratuitement. » - Apocalypse 21:6.

La source de l'eau de la vie, c'est le vrai et le bien de la foi ; celui qui a soif, c'est celui qui désire d'après l'affection, selon les paroles du Seigneur, dans Jean :

« Jésus dit à la femme samaritaine, quiconque boit de cette eau aura soif encore ; mais celui qui boira de l'eau que Moi je lui donnerai, n'aura pas soif durant l'éternité ; mais l'eau que je lui donnerai deviendra en lui une fontaine d'eau jaillissante durant la vie éternelle. » - Jean 4:13-14.

Ici, l'eau est évidemment le vrai de la foi provenant de la Parole, ainsi du Seigneur ; ne pas-avoir soif signifie ici que le vrai ne lui manquera plus : pareillement ailleurs dans Jean :

« Jésus dit : Moi je suis le pain de vie ; qui vient à Moi n'aura point faim ; et qui croit en Moi n'aura point soif durant l'éternité. » - Jean 6:35 :

Et dans le Même :

« Jésus s'écria, disant : Si quelqu'un a soif, qu'il vienne à Moi, et qu'il boive ; quiconque croit en Moi, comme dit l'Écriture, des fleuves d'eau vive couleront de son ventre. » - Jean 7:37-38.

Avoir soif, c'est désirer le vrai ; boire, c'est s'instruire ; les fleuves d'eau vive, c'est le Divin Vrai qui procède du Seigneur seul. Dans Ésaïe ;

« Au-devant de qui a soif apportez des eaux, habitants de la terre de Théma ; avec son pain venez au-devant du fugitif. » - Ésaïe 21:14.

Apporter des eaux au-devant de qui a soif, c'est instruire celui qui désire être dans les vrais, et ainsi réconforter la vie de son âme.

Dans le Même :

« L'insensé parlera folie, et son cœur fera l'iniquité, pour faire l'hypocrisie, et pour prononcer contre Jéhovah l'erreur, pour épuiser l'âme de qui a faim, et faire manquer la boisson de qui a soif. » - Ésaïe 32:6 :

Celui qui a faim est celui qui désire le bien, et celui qui a soif est celui qui désire le vrai.

Dans le Même :

« Les pauvres et les indigents cherchent de l'eau, et il n'y en a point ; leur langue a défailli de soif ; j'ouvrirai sur les coteaux des torrents, et au milieu des vallées des fontaines ; je mettrai le désert en étang d'eaux et la terre sèche en sources d'eaux. » - Ésaïe 41:17-18.

Il est bien évident pour chacun que chercher de l'eau, c'est chercher le vrai ; que défaillir de soif, c'est être privé de la vie spirituelle par le manque de vrai ; et que les torrents, les fontaines, l'étang et les sources d'eaux, sont les vrais de la foi, dans lesquels ils doivent être instruits.

Dans le Même :

« Dites : Jéhovah a racheté son serviteur Jacob ; dès lors ils n'auront point soif, dans les dévastations il les conduira ; des eaux du rocher il leur fera couler, et il fendra le rocher pour que coulent des eaux. » - Ésaïe 48:20-21.

Ils n'auront point soif signifie que les vrais ne leur manqueront point ; les eaux ici sont évidemment les vrais de la foi.

Dans le Même :

« Ils n'auront pas faim, et ils n'auront pas soif, et ne les frappera pas la chaleur ni le soleil, car celui qui a pitié d'eux les conduira, en sorte que sur des sources d'eaux il les amènera. » - Ésaïe 49:10 ;

-n'avoir ni faim ni soif signifie qu'il ne manquera ni bien ni vrai ; les sources des eaux sont les connaissances du vrai d'après la Parole. De môme dans Moïse :

« Jéhovah qui t'a conduit par le désert grand et formidable, de serpent, de dipsade, et de scorpion, et de soif, où il n'y a point d'eaux ; qui a tiré pour toi des eaux du rocher de caillou. » - Deutéronome 8:15.

Dans Ésaïe :

« Voici, votre Dieu viendra, alors jailliront dans le désert des eaux, et des torrents dans la plaine du désert ; et sera le lieu aride en étang, et le desséché en sources d'eaux. “ - , , ;

Les eaux qui jailliront dans le désert, les torrents, l'étang, les sources d'eaux, sont évidemment les vrais de la foi et les connaissances de ces vrais, qui devaient provenir du Seigneur quand il viendrait dans le monde.

Dans David :

« Dieu, mon Dieu ! dès le matin je Te cherche, mon âme a soif de Toi, ma chair Te désire, dans une terre de sécheresse, et fatigué, sans eaux. » - Psaumes 63:2 - là, avoir soif se dit du vrai ; être fatigué sans eaux, c'est ne pas avoir de vrais. La soif est prise pour le manque de vrai et par suite pour la privation de la vie spirituelle, dans Ësaï'e :

« C'est pourquoi sera exilé mon peuple pour son manque de con- » naissance ; et sa gloire, (ce sont) des hommes de famille, et sa multitude (sera) sèche de soif. » - .

Dans le Même :

« Je mets les fleuves en désert, leur poisson devient fétide parce qu'il n'y a pas d'eau, et il mourra de soif. “ - Psaumes 50:2.

D'après ces explications, on peut maintenant voir ce qui est signifié dans ce Chapitre par :

« Point d'eau pour boire au peuple, » Vers. I ; par ces paroles du peuple :

« Donnez-nous de l'eau, et que nous buvions. » Vers. 2 ; par :

« Là, te peuple eut soif d'eaux. » Vers. 3 ; par :

« Du rocher sortiront des eaux, » Vers. 6 ; et qu'en conséquence leur murmure à cause du manque d'eau signifie la tentation d'après le manque de vrai ; en effet, quand l'homme vient en tentation d'après le manque de vrai, il est tenu fortement dans le désir du vrai, et en même temps dans le désespoir sur le salut éternel à cause de cela ; ce désir et ce désespoir produisent alors la souffrance et la plainte.

  
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