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Genèse 46:16

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16 Et les enfants de Gad, Tsiphjon, Haggi, Suni, Etsbon, Héri, Arodi, et Aréli.

Nga veprat e Swedenborg

 

Arcanes Célestes #6030

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6030. Et il monta au-devant d'Israël son père, signifie l'influx, à savoir, procédant du Céleste Interne dans le bien spirituel d'après le naturel : on le voit par la représentation de Joseph, qui monta au-devant, en ce qu'il est le Céleste Interne, numéro 5869, 5877 ; et par la représentation d'Israël, en ce qu'il est le bien spirituel, numéro 5801, 5803, 5806, 5812, 5817, 5819, 5826, 5833, que monter au-devant de lui, ce soit l'influx, c'en est la conséquence, car monter au-devant, c'est ici se transporter et venir vers lui.

  
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Nga veprat e Swedenborg

 

Arcanes Célestes #5826

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5826. Vous, vous savez que deux fils m'a enfanté mon épouse, signifie que s'il y a le bien spirituel qui appartient à l'Église, il y aura le bien interne et le vrai interne : on le voit par la représentation d'Israël, qui dit cela de lui, en ce qu'il est le Bien spirituel d'après le naturel, numéro 5825 ; par la représentation de Rachel, qui ici est l'épouse, qui lui avait enfanté deux fils, en ce qu'elle est l'affection du vrai intérieur, numéro 3758, 3782, 3793, 3819 ; et par la représentation de Joseph et de Benjamin, qui sont les deux fils qu'elle avait enfantés, en ce qu'ils sont le Bien Interne et le Vrai Interne, Joseph le Bien Interne, et Benjamin le Vrai Interne. A l'égard de ce qu'il y aura le Bien Interne et le Vrai Interne, s'il y a le bien spirituel qui appartient à l'Église, voici ce qui en est : Le Bien Spirituel, qu'Israël représente, est le Bien du Vrai, c'est-à-dire, le vrai par la volonté et par l'acte ; ce vrai ou ce bien du vrai fait chez l'homme qu'il y a Église ; quand le vrai a été implanté dans la volonté, ce qui est perçu en ce qu'il est affecté du vrai dans le but de vivre selon ce vrai, alors il y a le Bien Interne et le Vrai Interne : quand l'homme est dans ce bien et dans ce vrai, le Royaume du Seigneur est alors en lui, par conséquent lui-même est Église, et avec ses semblables il fait l'Église dans le commun ; de là on peut voir que l'Église, pour qu'elle soit l'Église, doit être le Bien spirituel, c'est-à-dire, le bien du vrai, mais elle ne doit en aucune manière être seulement le vrai, d'après lequel seul aujourd'hui l'Église est appelée l'Église, et par lequel une Église est distinguée d'une autre : que chacun pense en soi-même si le vrai est quelque chose, à moins qu'il n'ait pour fin la vie ; que sont les doctrinaux sans cette fin ? par exemple, que sont les préceptes du décalogue sans la vie selon ces préceptes ? en effet, si quelqu'un les connaît, si même il en connaît avec étendue tout le sens, et que néanmoins il mène une vie contraire à ces préceptes, à quoi le conduisent-ils ? n'est-ce pas à rien ;'et-pour quelques-uns, à la damnation ? Il en est de même des doctrinaux de la foi tirés de la Parole, qui sont les préceptes de la vie Chrétienne, car ce sont les lois spirituelles ; ces lois ne conduiront non plus à rien, si elles ne deviennent pas lois de vie ; que l'homme examine en lui-même, si chez lui quoi que ce soit est quelque chose, excepté ce qui entre dans sa vie même ; et si la vie de l'homme, qui est réellement vie, est ailleurs que dans la volonté : c'est donc de là qu'il a été dit par le Seigneur dans l'Ancien Testament, et confirmé clans le Nouveau, que toute la Loi et tous les prophètes sont fondés sur l'amour envers Dieu, et sur l'amour à l'égard du prochain, ainsi sur la vie même, et non sur la foi sans la vie, ainsi en aucune manière sur la foi seule, ni par conséquent sur la confiance, car celle-ci ne peut exister sans la charité à l'égard du prochain ; si elle se manifeste dans les périls de la vie, et quand la mort est à la porte chez les méchants, c'est une confiance bâtarde ou fausse, car chez eux dans l'autre vie il n'apparaît pas la moindre chose de cette confiance, quoiqu'à l'approche de la mort ils aient en apparence déclaré avec ardeur qu'ils l'avaient ; que la foi, soit qu'on l'appelle confiance, soit qu'on l'appelle assurance, ne produise aucun effet chez les méchants, ' le Seigneur Lui-Même l'enseigne dans Jean :

« A tous ceux qui l'ont reçu, il leur a donné le pouvoir d'être fils de Dieu, à ceux qui croient en Son Nom, qui non de sangs, ni de volonté de chair, ni de volonté d'homme, mais de Dieu, sont nés. » Jean 1:12-13.

Ceux qui sont nés de sangs sont ceux qui font violence à la charité, numéro 374, 1005, puis ceux qui profanent le vrai, numéro 4735 ; ceux qui sont nés de volonté de chair sont ceux qui sont dans les maux provenant des amours de soi et du monde, numéro 3813 ; ceux qui sont nés de volonté d'homme sont ceux qui sont dans les persuasions du faux, car l'homme (vir) signifie le vrai et dans le sens opposé le faux ; ceux qui sont nés de Dieu sont ceux qui ont été régénérés par le Seigneur, et qui sont par suite dans le bien ; ce sont ceux-ci qui reçoivent le Seigneur, ce sont eux qui croient en son Nom, et ce sont eux auxquels il donne le pouvoir d'être fils de Dieu, et non à ceux-là ; d'après cela, on voit clairement ce que la foi seule fait pour le salut. De plus, pour que l'homme soit régénéré et devienne Église, il doit être introduit par le vrai dans le bien, et il est introduit alors que le vrai devient le vrai par la volonté et par l'acte ; ce vrai est le bien, et il est appelé le bien du vrai, et produit continuellement de nouveaux vrais, car alors pour la première fois il se fructifie ; le vrai qui en est produit ou fructifié est celui qui est appelé vrai interne, et le bien duquel il procède est appelé bien interne ; car rien ne devient interne avant d'avoir été implanté dans la volonté, puisque le volontaire est l'intime de l'homme ; tant que le bien et le vrai sont hors de la volonté et seulement dans l'entendement, ils sont hors de l'homme, car l'entendement est en dehors et la volonté est en dedans.

  
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