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Genèse 32:8

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8 Si Esaü vient à l'une de ces bandes, et qu'il la frappe, la bande qui demeurera de reste échappera.

Nga veprat e Swedenborg

 

Arcanes Célestes #4264

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4264. Chamelles allaitantes et leurs petits, trente ; génisses quarante, et taureaux dix ; ânesses vingt, et poulains dix, signifie les services communs et spéciaux : on le voit par la signification des chamelles et de leurs petits, par celles des génisses et des taureaux, et par celle des ânesses et des poulains, en ce que ce sont les choses qui appartiennent à l'homme naturel ; il a déjà été parlé quelquefois de ces animaux ; des chameaux, numéro 3048, 3071, 3143, 3145 ; des taureaux, numéro 1824, 1825, 2180, 2781, 2830 ; des ânesses, numéro 2781 : que les choses qui appartiennent à l'homme naturel soient relativement des services, ou le voit numéro 1486, 3019, 3020, 3167 ; de là résulte que ces animaux signifient les services communs et spéciaux. Quant à ce qui regarde les nombres, savoir, des chèvres, deux cents, des chevreaux, vingt ; des brebis, deux cents ; des béliers, vingt ; des chamelles et de leurs petits, trente ; des génisses, quarante ; des taureaux, dix ; des ânesses, vingt, et des poulains, dix, ce sont des arcanes qui ne peuvent être dévoilés sans une explication très détaillée et sans une ample déduction ; en effet, tous les nombres dans la Parole signifient des choses, numéro 482, 487, 575, 647, 648, 735, 813, 1988, 2075, 2252, 3252, et ce qu'ils signifient a été expliqué, lorsque, dans ce qui précède il s'en est présenté : j'ai aussi été quelquefois étonné de ce que le langage des anges, quand il parvenait dans le monde des esprits, tombait même dans différents nombres ; et de ce que, quand des nombres avaient été lus dans la Parole, les Anges avaient compris des choses ; en effet, le nombre ne pénètre jamais dans le Ciel, car les nombres appartiennent à la mesure et à l'espace, et aussi au temps, et ce sont là des choses propres au monde et à la nature, et auxquelles dans les deux correspondent des états et des changements d'états : les Très-Anciens, qui ont été des hommes célestes et ont eu communication avec les Anges, connaissaient ce qui était signifié par chaque nombre, même par les nombres composés, de là la signification de ces nombres est passée à leur postérité et aux fils de l'Ancienne Église ; ce sont là des arcanes auxquels ajoute à peine foi l'homme de l'Église d'aujourd'hui, qui croit qu'il n'y a de renfermé dans la Parole rien de plus saint que ce qui se présente dans la lettre.

  
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Nga veprat e Swedenborg

 

Arcanes Célestes #813

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813. Que ces paroles signifient le dernier terme de la Très-Ancienne Eglise, et cent cinquante, le terme dernier et premier, c'est ce qui ne peut, à la vérité, être confirmé par la Parole de la même manière que cela a été fait quand il s'est agi des nombres plus simples qu'on y rencontre fréquemment ; mais néanmoins cela se voit par le nombre Quinze, dont il a été parlé au Vers. 20, nombre qui signifie si peu que c'est à peine quelque chose ; cette signification s'applique à plus forte raison en nombre cent cinquante, forme de quinze multiplié par le nombre dix, qui signifie les Restes (Reliquice). La multiplication par un nombre qui signifie peu, de même que la multiplication par la moitié, le quart ou le dixième, donne un produit dont la signification est encore moindre, tellement qu'on arrive enfin à presque rien, par conséquent à ce qui est la fin ou le dernier terme. Le même nombre se rencontre au Chapitre 8 : Vers. 3, où il est dit que

« les eaux diminuèrent au bout de cent cinquante jours, et où ce nombre a une pareille signification. Dans la Parole, les nombres doivent être entendus en faisant abstraction complète du sens de la lettre ; Ils n'y sont insérés, comme il a déjà été dit et exposé, que pour former avec ordre la série historique que présente le sens de la lettre. Ainsi, partout où se trouve le nombre Sept, il signifie ce qui est saint, abstraction complètement faite des temps et des mesures auxquels ce nombre est ordinairement joint ; car les Anges, qui perçoivent le sens interne de la Parole, ne savent rien du temps ni de la mesure ; ils savent encore moins ce que c'est que le nombre désigné, et néanmoins ils comprennent pleinement la Parole, lorsqu'elle est lue par l'homme ; aussi, lorsqu'il s'y rencontre quelque part un nombre, ils ne peuvent nullement avoir l'idée d'aucun nombre ; mais ce qui se présente à eux, c'est l'idée de la chose signifiée par le nombre, ainsi, ici, par ce nombre cent cinquante, l'idée que c'est le dernier terme de la Très-Ancienne Eglise, et, au Vers. 3 du Chapitre suivant, que c'est le premier terme de l'Eglise Ancienne, qui était alors l'Eglise nouvelle.

Des Enfers de ceux qui ont passé leur vie dans les haines, les vengeances et la cruauté.

  
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