The Bible

 

Genèse 34:21

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21 Ces gens-ci sont paisibles, ils sont avec nous; qu'ils habitent au pays, et qu'ils y trafiquent; car voici, le pays est d'une assez grande étendue pour eux. nous prendrons leurs filles pour nos femmes, et nous leur donnerons nos filles.

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Arcanes Célestes #3875

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3875. Et elle dit : Maintenant, cette fois, attaché sera mon mari à moi, signifie dans le sens suprême l'amour et la miséricorde, dans le sens interne la charité, dans le sens externe la conjonction, ici l'amour spirituel : on le voit par la signification d'être attaché. Que, dans le sens externe, ou dans le sens le plus près du sens intérieur, être attaché signifie la conjonction, on peut le voir sans explication ; que, dans le sens interne, être attaché signifie la charité, cela est évident en ce que la charité, ou, ce qui est la même chose, l'amour mutuel, est une conjonction spirituelle ; en effet, c'est la conjonction des affections qui appartiennent à la volonté, et par suite la conformité des pensées qui appartiennent à l'entendement, ainsi la conjonction des mentals quant à l'une et à l'autre partie ; que, dans le sens suprême, être attaché signifie l'amour et la miséricorde, c'en est une suite évidente ; en effet, l'infini et l'éternel qui se disent de la charité ou de l'amour spirituel, c'est la Miséricorde, qui est l'Amour Divin envers le genre humain placé dans de si grandes misères ; car puisque l'homme n'est par lui-même que mal, et qu'en lui, en tant que cela vient de lui, il n'y a que l'infernal, et puisque le Seigneur le regarde d'après le Divin Amour, alors s'il est élevé hors de l'enfer dans lequel il est par lui-même, et qu'il en soit délivré, cela est appelé Miséricorde ; de là, comme la Miséricorde vient du Divin Amour, l'Amour et la Miséricorde sont signifiés dans le sens suprême par être attaché. Que, dans le sens interne, être attaché signifie l'amour spirituel, ou, ce qui est la même chose, la charité envers le prochain, c'est aussi ce qu'on peut voir par d'autres passages de la Parole, comme dans Ésaïe :

« Que ne dise pas le fils de l'étranger qui est attaché à Jéhovah, disant : Que séparant me sépare Jéhovah d'avec son peuple. Les fils de l'étranger qui sont attachés à Jéhovah pour être ses ministres, et pour aimer le Nom de Jéhovah, Lui seront pour serviteurs. » - Ésaïe 56:3, 6.

être attaché à Jéhovah, c'est observer ses préceptes, et cela appartient à l'amour spirituel, car personne n'observe de cœur les préceptes de Dieu, si ce n'est celui qui est dans le bien de la charité envers le prochain.

Dans Jérémie :

« En ces jours-là viendront les fils d'Israël, eux et les fils de Jehudah, allant et pleurant ils iront, et Jéhovah leur Dieu ils chercheront, de Sion ils interrogeront, sur le chemin vers où (seront tournées) leurs faces ; venez et soyons attachés à Jéhovah par alliance séculaire, qui n'est point livrée à l'oubli. » - Jérémie 50:4-5.

De même ici être attaché à Jéhovah c'est observer de cœur ses préceptes, c'est-à-dire, d'après le bien de la charité.

Dans Zacharie :

« Attachées seront des nations nombreuses à Jéhovah en ce jour-là, et elles Me seront pour peuple. » - , - pareillement.

Dans Ésaïe :

« Jéhovah aura pitié de Jacob, et il choisira encore Israël ; et il les placera sur leur terce, et attaché sera le voyageur à eux, et ils s'adjoindront à la maison de Jacob. » - Ésaïe 14:4.

Le voyageur attaché à eux, signifie être dans la même observance de la loi ; s'adjoindre à la maison de Jacob, c'est être dans le bien de la charité, dans lequel sont ceux que signifie la maison de Jacob, Dans Matthieu :

« Nul ne peut deux maîtres servir ; car, ou l'un il haïra, et l'autre il aimera : ou à l'un il sera attaché, et l'autre il négligera. » - Matthieu 6:24.

Là, aimer est le céleste de l'amour, et être attaché est le spirituel de l'amour ; il est dit l'un et l'autre, parce que ce sont deux choses distinctes, autrement un seul aurait été suffisant. Ceux qui sont dans l'amour spirituel sont par cette raison appelés fils de Lévi, comme dans Malachie :

« Qui soutiendra le jour de son avènement, et qui résistera quand il apparaîtra ? Il s'assiéra fondant et épurant l'argent ; et il purifiera les fils de Lévi, et il les nettoiera comme l'or et comme l'argent. » - Malachie 3:2-3.

Que, dans le sens suprême, le Seigneur soit Lévi, d'après l'Amour Divin et la Miséricorde envers ceux qui sont dans l'amour spirituel, on le voit dans le même Prophète :

« Afin que vous connaissiez que je vous ai envoyé ce précepte, pour qu'il soit mon alliance avec Lévi, a dit Jéhovah Sébaoth ; mon alliance sera avec lui de vie et de paix. Vous vous êtes écartés du chemin, vous en avez fait broncher plusieurs dans la loi, vous avez corrompu l'alliance de Lévi ; c'est pour cela que je vous ai livrés au mépris. » - Malachie 2:4-5, 8-9.

Et comme par Lévi a été entendu dans le sens suprême le Divin Amour ou la Miséricorde du Seigneur, et dans le sens interne l'amour spirituel, voilà pourquoi la Tribu de Lévi est devenue le Sacerdoce ; car le Sacerdoce, dans le sens interne de la Parole, n'est autre chose que le saint de l'amour, et la Royauté n'est autre chose que le saint de la foi, numéros 1728, 2015 f, 3670. Le mot être attaché, duquel Lévi a tiré son nom, signifiant l'amour spirituel qui est le même que l'amour mutuel, ce même mot, dans la Langue originale, signifie aussi donner et recevoir mutuellement, et par donner et recevoir mutuellement était aussi représenté dans l'Eglise Juive l'amour mutuel ; ailleurs, d'après la Divine Miséricorde du Seigneur, il en sera parlé, l'amour mutuel diffère de l'amitié en cela que l'amour mutuel considère le bien qui est chez l'homme, et comme cet amour est pour le bien il est pour celui qui est dans le bien ; mais l'amitié considère l'homme ; elle est aussi l'amour mutuel alors qu'elle considère l'homme d'après le bien ou à cause du bien ; au contraire, quand elle le considère non d'après le bien ou à cause du bien, mais à cause d'elle-même, ce qu'elle appelle le bien, alors l'amitié n'est point l'amour mutuel, mais elle approche de l'amour de soi, et autant elle en approche, autant elle est opposée à l'amour mutuel : l'amour mutuel n'est en lui-même autre chose que la charité envers le prochain, car par le Prochain il n'est signifié, dans le sens interne, que le bien ; et, dans le sens suprême, que le Seigneur, parce que c'est de Lui que procède tout bien, et que c'est Lui qui est le Bien Même, voir numéros 2425, 3419 : c'est cet amour mutuel, ou la charité envers le prochain, qui est entendu par l'amour spirituel et qui est signifié par Lévi. Dans la Parole, l'amour céleste et l'amour conjugal sont aussi exprimés dans le sens de la lettre par être attaché, mais c'est, dans la Langue originale, par un autre mot que celui dont Lévi a tiré son nom ; ce mot signifie une conjonction encore plus étroite, comme dans les passages suivants.

Dans Moïse :

« Jéhovah ton Dieu tu craindras, tu Le serviras, et à Lui tu seras attaché. » - Deutéronome 10:20.

« Après Jéhovah votre Dieu vous irez, et vous le craindrez, et ses préceptes vous garderez, et sa voix vous entendrez, et vous Le servirez, et à Lui vous serez attachés. » - Deutéronome 13:5.

« Pour aimer Jéhovah votre Dieu, pour aller dans tous ses chemins, et pour être attachés à Lui. » - Deutéronome 11:12.

« Pour aimer Jéhovah ton Dieu, pour obéir à sa voix, et pour être attaché à Lui, parce qu'il est Lui-Même ta vie. » - Deutéronome 30:20.

Dans Josué :

« Étudiez-vous fort à faire le précepte et la loi, que vous prescrivit Moïse serviteur de Jéhovah, d'aimer Jéhovah votre Dieu, et de marcher dans tous ses chemins, et de garder ses préceptes, et d'être attachés à Lui, et de Le servir de tout votre cœur et de toute votre âme. » - Josué 22:5.

Dans le second Livre des Rois :

« Le Roi Chiskiah en Jéhovah Dieu d'Israël se confia, il fut attaché à Jéhovah, et il ne se retira point de derrière Lui, et il garda ses préceptes, qu'avait prescrits Jéhovah à Moïse. » - 2 Rois 18:5-6.

Dans Jérémie :

« De même qu'est attachée une ceinture aux reins de l'homme, de même j'ai fait s'attacher à Moi toute la maison d'Israël et toute la maison de Jehudah, afin qu'ils Me fussent pour peuple, et pour nom, et pour louange, et pour splendeur ; et ils n'ont point obéi. » - Jérémie 13:11.

Que l'Amour conjugal soit aussi exprimé par être attaché, cela est évident d'après ces passages :

« C'est pourquoi l'homme laissera son père et sa mère, et sera attaché à son épouse, et ils seront en une seule chair. » - Genèse 2:24.

« C'est à cause de la dureté de votre cœur que Moïse a écrit ce précepte ; or, dès le commencement de la création, mâle et femelle Dieu les fit ; c'est pourquoi l'homme laissera son père et sa mère, et sera attaché à son épouse, et seront les deux en une seule chair ; ce que donc Dieu a conjoint, l'homme ne le séparera point. » - Marc. . Matthieu 19:5.

« Attachée était l'âme de Schéchem à Dina la fille de Jacob ; il aima la jeune fille, et il parla au cœur de la jeune fille. » - Genèse 34:3.

« Schélomoh aima plusieurs femmes étrangères ; à elles fut attaché Schélomoh pour aimer. » - Genèse 1 Rois 11:1-2, - Il est donc évident que être attaché est une expression d'amour, reçue en usage dans les temps anciens par les Eglises qui étaient dans les significatifs ; et que dans le sens interne elle n'est autre chose que la conjonction spirituelle, qui est la charité et l'amour.

  
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Arcanes Célestes #3419

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3419. Isaac s'en retournait, et il recreusa les puits d'eaux qu'ils avaient creusés dans les jours d'Abraham son père, signifie que le Seigneur ouvrait ces vrais qui avaient été chez les Anciens ; on le voit par la représentation de Isaac, en ce qu'il est le Seigneur quant au Divin Rationnel, ainsi qu'il a déjà été dit ; par la signification de s'en retourner et de recreuser, en ce que c'est ouvrir de nouveau ; par la signification des puits d'eaux, en ce que ce sont les vrais des connaissances, les puits étant les vrais, numéros 2702, 3096, et les eaux les connaissances, numéros 28, 2702, 3058 ; et par la signification des jours d'Abraham son père, en ce que c'est le temps et l'état précédents quant aux vrais, qui sont signifiés par les puits qu'on creusa alors, ainsi qui étaient chez les Anciens ; que les jours soient le temps et l'état, on le voit numéros 23, 487, 488, 493, 893 ; quand ils sont l'état, par Abraham son père est représenté le Divin Même du Seigneur, avant qu'il ait adjoint l'Humain au Divin, numéros 2833, 2836, 3251 ; quand ils sont le temps, par Abraham son père sont signifiés les biens et les vrais qui procédaient du Divin du Seigneur avant qu'il eût adjoint l'Humain, ainsi les biens et les vrais qui étaient chez les Anciens. Les Vrais qui furent, chez les Anciens, sont aujourd'hui tout-à-fait oblitérés, au point qu'il est à peine quelqu'un qui sache qu'il y en a eu, et qu'ils ont pu être autres que ceux qu'on enseigne aussi aujourd'hui, mais ils étaient absolument autres ; ils avaient les Représentatifs elles Significatifs des Célestes et des Spirituels du Royaume du Seigneur, ainsi du Seigneur Lui-Même, et ceux qui les comprenaient étaient appelés Sages ; et ils étaient sages aussi, car ils ont pu ainsi parler avec les esprits et les anges ; en effet, quand le langage angélique, - qui est incompréhensible à l'homme parce que ce langage est spirituel et céleste - descend vers l'homme, qui est dans la sphère naturelle, il tombe dans des Représentatifs et des Significatifs tels que ceux qui sont dans la Parole, de là résulte que la Parole est le Code saint ; le Divin, en effet, ne peut se présenter autrement devant l'homme naturel, pour qu'il y ait correspondance complète. Et comme les Anciens étaient dans les Représentatifs et dans les Significatifs du Royaume du Seigneur, dans lequel il n'y a que l'amour céleste et spirituel, ils avaient aussi des Doctrinaux, qui traitaient seulement de l'Amour pour Dieu et de la Charité envers le prochain, et c'est aussi en raison de cet amour et de cette charité qu'ils étaient appelés sages ; d'après ces doctrinaux ils savaient que le Seigneur devait venir dans le Monde, que Jéhovah serait en Lui, qu'il rendrait Divin en Lui son Humain, et sauverait ainsi le Genre humain ; ils savaient aussi d'après ces doctrinaux ce que c'est que la Charité, c'est-à-dire que c'est l'affection de servir les autres sans aucune fin de rétribution ; et ce que c'est que le prochain envers lequel la charité doit être pratiquée, c'est-à-dire que ce sont tous ceux qui existent dans l'univers, mais chacun d'eux néanmoins avec différence : ces Doctrinaux aujourd'hui sont entièrement perdus, et sont remplacés par les doctrinaux de la foi, dont les Anciens ne faisaient respectivement aucun cas : ces Doctrinaux, savoir, ceux de l'amour pour le Seigneur et de la charité envers le prochain, ont été rejetés aujourd'hui en partie par ceux qui, dans la Parole, sont appelés Babyloniens et Chaldéens, et en partie par ceux qui sont appelés Philistins et aussi Égyptiens, et ils ont été tellement détruits, qu'il en reste à peine un vestige ; en effet, qui est-ce qui connaît aujourd'hui ce que c'est que la Charité exercée sans aucune considération pour soi-même, et avec aversion pour tout ce qui a rapport à soi ? Et qui est-ce qui connaît ce que c'est que le prochain ; qu'il se compose de tous les hommes avec différence selon la qualité et la quantité du bien qui est chez eux ; qu'ainsi il est le bien même, par conséquent, dans le sens suprême le Seigneur Lui-Même, parce que le Seigneur est dans le bien et que le bien vient de Lui, et que le bien qui ne procède pas de Lui n'est pas un bien, de quelque manière qu'il le paraisse ? Et comme on ne sait pas ce que c'est que la charité, ni ce que c'est que le prochain, on ne sait pas qui sont ceux que la Parole désigne par les Pauvres, les Misérables, les Indigents, les Malades, les Affamés et les Altérés, les Opprimés, les Veuves, les Orphelins, les Captifs, les Nus, les Voyageurs, les Aveugles, les Sourds, les Boiteux, les Manchots, et autres semblables, lorsque cependant les doctrinaux des Anciens enseignaient qui étaient ceux-là, et à quelle classe du Prochain, et par conséquent de la Charité, ils appartenaient ; toute la Parole est, quant au sens de la lettre, selon ces Doctrinaux, c'est pourquoi celui qui ne les connaît pas ne peut jamais savoir aucun sens intérieur de la Parole ; par exemple, dans Ésaïe :

« N'est-ce pas de rompre ton pain à l'Affamé, et que tu introduises à la maison les Affligés exilés, que quand tu vois un Nu, tu le couvres, et que tu ne te caches point de ta chair ? Alors éclatera comme l'aurore ta lumière, et ta santé aussitôt germera, et devant toi marchera ta justice, la gloire de Jéhovah te recueillera. » - Ésaïe 58:7-8.

Celui qui presse le sens de la lettre croit que, si seulement il donne du pain à celui qui a faim, s'il reçoit dans sa maison les affligés exilés ou errants, et s'il donne des vêtements à celui qui est nu, il entrera pour cela dans la gloire de Jéhovah ou dans le ciel, lorsque cependant ces œuvres sont seulement externes, et que les impies peuvent les faire aussi de même pour mériter ; mais les Affamés, les Affligés et les Nus, signifient ceux qui sont tels spirituellement, ainsi différents états de la misère dans laquelle est l'homme qui est le prochain envers lequel la charité doit être exercée.

Dans David :

« Jéhovah qui fait le jugement aux Opprimés, qui donne le pain aux Affamés ; Jéhovah qui délie les Enchaînés ; Jéhovah qui ouvre (les yeux) des Aveugles ; Jéhovah qui redresse les Courbés ; Jéhovah qui aimé les justes ; Jéhovah qui garde les Voyageurs ; il soutient l'Orphelin et la Veuve. » - Psaumes 146:7-8, 9.

Là, par les Opprimés, les Affamés, les Enchaînés, les Aveugles, les Courbés, les Voyageurs, l'Orphelin et la Veuve, sont entendus non ceux qui sont appelés ainsi, mais ceux qui sont tels quant aux spirituels, ou quant à leurs âmes ; les Doctrinaux des Anciens enseignaient qui étaient ceux-là, et dans quel état et quel degré ils étaient des Prochains, ainsi quelle charité devait être exercée envers eux : outre ces passages, partout ailleurs dans l'Ancien Testament il en est question, car lorsque le Divin descend dans le naturel chez l'homme, il tombe dans de telles choses, qui sont les œuvres de la charité, avec différence selon les genres et les espèces : le Seigneur s'est aussi exprimé pareillement, parce qu'il parlait d'après le Divin Même ; comme dans Matthieu :

« Le Roi dira à ceux qui (seront) à sa droite : Venez, vous, bénis de mon Père, possédez le Royaume préparé pour vous ; car j'ai eu faim, et vous M'avez donné à manger ; j'ai eu soif, et vous M'avez donné à boire ; j'ai été voyageur, et vous M'avez recueilli ; j'ai été Nu, et vous m'avez vêtu ; j'ai été Malade, et vous M'avez visité ; j'ai été en prison, et vous êtes venus vers Moi. » - Matthieu 25:34-35, 36.

Les œuvres rapportées dans ce passage signifient les Genres universels de Charité, et dans quel degré se trouvent les biens ou les bons, qui sont les Prochains envers lesquels la charité doit être exercée, et que le Seigneur, dans le sens suprême, est le Prochain, car il dit :

« En tant que vous avez fait ces choses à l'un de ces plus petits de mes frères, vous Me les avez faites. » - Ibid. Vers. 40. D'après ce peu d'explications on peut voir ce qui est entendu par les Vrais chez les Anciens ; mais que ces Vrais aient été entièrement détruits par ceux qui sont dans les Doctrinaux de la foi et non dans la vie de la charité, c'est-à-dire par ceux qui, dans la Parole, sont appelés Philistins, c'est ce qui est signifié par les Philistins qui avaient bouché les puits après la mort d'Abraham, et dont il va être question maintenant.

  
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