The Bible

 

Genèse 30:37

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37 Mais Jacob prit des verges fraîches, de peuplier, de coudrier, et de châtaignier, et en ôta les écorces en découvrant le blanc qui était aux verges.

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Arcanes Célestes #3999

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3999. Parce que tu viendras sur ma récompense devant toi, signifie son propre : on le voit par la signification de la récompense, lorsqu'elle se dit du Seigneur, en ce qu'elle est le propre, savoir, ce qui a été acquis par la propre puissance, ainsi qu'il a été dit ci-dessus numéros 3975, 3977, 3982, 3906.

  
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Arcanes Célestes #3982

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3982. Et il dit : Désigne ta récompense sur moi, et je la donnerai, signifie que de soi-même il donnerait ce qu'il voudrait : on peut le voir sans explication. Ce qui a été dit jusqu'à présent est tel, qu'il ne peut être expliqué avec clarté devant l'entendement, non-seulement parce que le mental ne peut être en un moment détourné des historiques de Laban et de Jacob vers les spirituels dont il s'agit dans le sens interne, car l'historique y est toujours attaché et remplit l'idée, lorsque cependant il doit être comme nul, pour que les choses qui ne sont pas historiques soient saisies dans la série ; mais aussi parce qu'il faut avoir une notion claire sur ces biens qui sont représentés par l'un et l'autre, savoir par Laban et par Jacob, et que le bien qui est représenté par Laban est tel, que c'est seulement un bien utile, savoir, pour introduire les vrais et les biens réels, et qu'ensuite il est abandonné quand il a accompli cette utilité : il a déjà été question de ce bien, et il a été dit quel il est ; il en est de ce bien comme de ces fibres prématurées par lesquelles le suc est introduit au commencement dans les fruits, en ce que, sitôt qu'elles ont rempli cet usage, elles se flétrissent, et les fruits mûrissent par d'autres fibres, et enfin par les fibres du suc réel ; il est notoire que l'homme, dans le premier et le second âge de l'enfance, apprend plusieurs choses, dont le seul usage consiste en ce que par ces choses, comme par des moyens, il en apprenne de plus utiles, et successivement par celles-ci, de plus utiles encore, et enfin celles qui concernent la vie éternelle, et que, lorsqu'il apprend ces dernières, les précédentes sont presqu'oblitérées : de même, quand l'homme naît de nouveau par le Seigneur, il est conduit par plusieurs affections du bien et du vrai, qui ne sont pas des affections du bien et du vrai réels, mais seulement des affections utiles pour saisir ce bien et ce vrai, ensuite pour en être imbu ; et quand l'homme en a été imbu, ces affections antérieures sont livrées à l'oubli et abandonnées, parce qu'elles avaient seulement servi de moyens : il en est aussi de même du bien collatéral, qui est signifié par Laban, respectivement au bien du vrai, qui est signifié par Jacob, comme aussi par le menu bétail de l'un et de l'autre, dont il est parlé dans ce qui suit. Voilà les arcanes qui sont contenues dans ces paroles et dans les suivantes, mais ils sont présentés historiquement, pour que la Parole soit lue avec agrément, même par les enfants et par les simples, afin que, quand ceux qui lisent sont d'après le sens historique dans un saint plaisir, les Anges chez eux soient dans la sainteté du sens interne, qui est adéquat à l'intelligence angélique, tandis que le sens externe est adéquat à l'intelligence humaine, de là, la consociation de l'homme avec les Anges ; l'homme ignore absolument cela, mais seulement il perçoit par là une sorte de plaisir dans lequel il y a le saint.

  
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