The Bible

 

Jérémie 45

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1 La parole que Jérémie, le prophète, adressa à Baruc, fils de Nérija, lorsqu'il écrivit dans un livre ces paroles, sous la dictée de Jérémie, la quatrième année de Jojakim, fils de Josias, roi de Juda. Il dit:

2 Ainsi parle l'Eternel, le Dieu d'Israël, sur toi, Baruc:

3 Tu dis: Malheur à moi! car l'Eternel ajoute le chagrin à ma douleur; je m'épuise en soupirant, et je ne trouve point de repos.

4 Dis-lui: Ainsi parle l'Eternel: Voici, ce que j'ai bâti, je le détruirai; ce que j'ai planté, je l'arracherai, savoir tout ce pays.

5 Et toi, rechercherais-tu de grandes choses? Ne les recherche pas! Car voici, je vais faire venir le malheur sur toute chair, dit l'Eternel; et je te donnerai ta vie pour butin, dans tous les lieux où tu iras.

   

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Arcanes Célestes #10283

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10283. Sur chair d'homme elle ne sera point versée, signifie le non-communicatif avec le propre de l'homme : on le voit par la signification de la chair de l'homme, en ce que c'est le propre de l'homme, ainsi qu'il va être montré ; et par la signification de verser, en ce que c'est communiquer ; en effet, par verser il est signifié la même chose que par toucher, mais verser se dit des liquides, tels que l'huile, le vin et l'eau, et répandre se dit des Divins, des célestes et des spirituels ; mais toucher se dit des matières sèches et des choses corporelles ; que toucher, ce soit communiquer, on le voit, numéro 10130 ; il suit de là que par

« l'huile d'onction sur chair d'homme ne sera point versée, » il est signifié que le Divin Bien du Divin amour du Seigneur ne doit point être en communication avec le propre de l'homme ; et cela, parce que le propre de l'homme n'est que mal, et que le Divin Bien du Seigneur né peut point être en communication avec le mal : que le propre de l'homme ne soit que mal, on le voit, numéro 210, 215, 731, 874, 875, 876, 987, 1023, 1024, 1047, 5660, 5786, 8480. Il y a chez l'homme le propre volontaire, et le propre intellectuel ; son propre volontaire est le mal, et son propre intellectuel est le faux provenant de ce mal ; celui-là, à savoir, le propre volontaire, est signifié par la chair de l'homme, et le propre intellectuel est signifié par le sang de cette chair : qu'il en soit ainsi, c'est ce qu'on voit d'après les passages suivants ; dans Matthieu :

« Jésus dit : Tu es heureux, Simon, car ni chair, ni sang ne t'a révélé cela ; mais mon Père qui est dans les Cieux. » - Matthieu 16:17.

Il est bien évident que dans ce passage la chair et aussi le sang sont le propre de l'homme.

Dans Jean :

« A tous ceux qui L'ont reçu, il leur a donné pouvoir d'être fils de Dieu ; à ceux qui, non de sangs, ni de volonté de chair, mais de Dieu, sont nés. " - Jean 1:12-13.

Là, par les sangs sont signifiés les faux qui proviennent du propre intellectuel de l'homme, et par volonté de chair les maux qui proviennent du propre volontaire ; que le sang soit le faux d'après le mal, ainsi le propre intellectuel d'après le propre volontaire, on le voit, numéro 4735, 9127.

Dans Ésaïe :

« Je nourrirai tes oppresseurs de leur chair, et comme d'un vin doux de leur sang ils seront enivrés. » - Ésaïe 49:26.

Les nourrir de leur chair, et les enivrer de leur sang, c'est les remplir du mal et du faux du mal, ainsi du propre, car l'un et l'autre, tant le mal que le faux, provient du propre.

Dans Jérémie :

« Maudit (soit) l'homme qui se confie en l'homme, et fait de la chair son bras. » - Jérémie 17:5.

se confier en l'homme, et faire de la chair son bras, c'est se fier à soi-même et à son propre.

Dans Ésaïe :

« Le peuple est devenu comme la nourriture du feu ; s'il tranche à droite, il sera affamé ; et s'il mange à gauche, ils ne seront point rassasiés : l'homme la chair de son bras ils mangeront ; Ménascheh Éphraïm, et Éphraïm Ménascheh. » Ésaïe 9:18-19, 20.

La nourriture du feu signifie l'appropriation des maux ou des cupidités de l'amour de soi et du monde ; être affamé et ne point être rassasié, signifie ne recevoir ni le bien ni le vrai de la foi ; par la chair du bras il est signifié l'un et l'autre propre de l'homme ; par Ménascheh, le mal de la volonté ; par Éphraïm, le faux de l'entendement ; et par manger, approprier ; que les feux soient les maux ou les cupidités de l'amour de soi et du monde, on le voit, numéro 5071, 5215, 6314, 6832, 7324, 7575, 9141 ; qu'être affamé et ne point être rassasié ce soit ne recevoir ni le bien ni le vrai de la foi, c'est parce que la faim et la soif signifient la désolation du bien et du vrai, numéro 5360, 5376, 6110, 7102, 8568 (fin). ; la droite est le bien dont procède le vrai, et la gauche est le vrai par lequel il y a le bien, numéro 10061 ; par conséquent être affamé si l'on tranche à droite, et ne point être rassasié en mangeant à gauche, signifie que de quelque manière qu'on soit instruit sur le bien et sur le vrai, on ne recevra cependant pas ; Ménascheh est le bien de la volonté, numéro 5351, 5353, 5348 (fin), 6222, 6234, 6238, 6267 ; et Ephraïm est le vrai de l'entendement, numéro 3969, 5354, 6222, 6234, 6238, 6267 ; de là, dans le sens opposé Ménascheh est le mal de la volonté, et Ephraïm le faux de l'entendement, car dans la Parole presque toutes les expressions ont aussi le sens opposé : manger, c'est approprier, numéro 3168, 3513 (fin), 3596, 4745 ; d'où l'on voit clairement ce que c'est que manger la chair de son bras, à savoir, que c'est s'approprier le mal et le faux provenant de son propre ; il est dit la chair du bras, parce que le bras, de même que la main, signifie ce qui est chez l'homme, et ce en quoi il se confie, voir aux articles cités, numéro 10019.

Dans Zacharie :

« Je dis : Je ne vous paîtrai point ; que la mourante meure ; celles qui seront de reste mangeront chacune la chair de l'autre. » Zacharie 11:9 ; ne point paître, c'est ne point instruire et ne point réformer ; mourir, c'est périr quant à la vie spirituelle ; manger la chair d'un autre, c'est s'approprier les maux qui proviennent du propre d'un autre.

Dans Ézéchiel :

« Jérusalem a commis scortation avec les fils de l'Egypte ses voisins, grands en chair. » Ézéchiel 16:26 ; Jérusalem, c'est l'Église pervertie ; commettre scortation avec les fils de l'Egypte grands en chair, c'est falsifier les vrais de l'Église par les scientifiques qui proviennent de l'homme naturel seul, ainsi par les scientifiques sensuels ; il a été montré que Jérusalem est l'Église, numéro 402, 2117, 3654, ici, c'est l'Église pervertie ; que commettre scortation, c'est falsifier les vrais, numéro 2466, 2729, 8904 ; que les fils sont les vrais, et aussi les faux, numéro 1147, 3373, 4257, 9807 ; que l'Egypte est le scientifique dans l'un et l'autre sens, aux articles cités, numéro 9340 ; et le naturel, aux articles cités, numéro 9391 ; de là sont appelés grands en chair ceux qui d'après les sensuels raisonnent et concluent sur les vrais de l'Église ; ceux qui agissent ainsi saisissent des faux pour des vrais, car raisonner et conclure d'après les sensuels, c'est raisonner et conclure d'après les illusions des sens du corps ; ce sont donc les hommes sensuels qui sont entendus par grands en chair, puisqu'ils pensent d'après le propre corporel.

Dans Ésaïe :

« L'Egypte (est) homme, et non Dieu ; et ses chevaux chair, et non esprit. » Ésaïe 31:3 ; ici, l'Egypte est aussi le scientifique, ses chevaux sont l'intellectuel qui en provient ; cet intellectuel est dit chair et non esprit, lorsqu'on conclut d'après le propre et non d'après le Divin : il a été montré que les chevaux sont l'intellectuel, numéro 2761, 2762, 3217, 5321, 6534 ; et que les chevaux de l'Egypte sont les scientifiques provenant de l'intellectuel perverti, numéro 6125, 8146, 8148. Que la chair signifie le propre de l'homme, ou, ce qui est la même chose, le mal volontaire de l'homme, on le voit dans Moïse, lorsqu'il s'agit du désir ardent du peuple Israélite de manger de la chair ; il en est parlé ainsi :

« La foule pêle-mêle qui était au milieu du peuple convoita de convoitise ; et ils dirent : Qui nous fera manger de la chair ? Jéhovah dit : Demain vous mangerez de la chair ; non pas un seul jour vous (en) mangerez, ni deux jours, ni cinq jours, ni dix jours, ni vingt jours, mais jusqu'à un mois de jours. Et un vent partit de par Jéhovah, et il enleva des cailles de la mer, et les jeta sur le camp environ deux coudées sur les faces de la terre. Et se leva le peuple tout ce jour-là, et toute la nuit, et tout le jour suivant ; et ils amassèrent les cailles, et les étalèrent autour du camp. La chair était encore entre leurs dents avant qu'elle fût avalée, et la colère de Jéhovah s'enflamma contre le peuple, et il frappa le peuple d'une plaie très-grande ; de là il appela le nom du lieu Sépulcres de la convoitise. » - Nombres 11:4, 18, 19, 20, 31-32, 33-34.

Que la chair ait signifié le propre de cette nation, on peut le voir d'après chaque expression de ce passage ; car sans cela, quel mal y aurait-il eu à désirer de la chair, lorsqu'il leur avait même été promis de la chair précédemment, - Exode 16:12.

mais comme elle signifiait le propre, ainsi le mal volontaire, dans lequel cette nation était plongée plus que les autres nations, c'est pour cela que, quand ils, désiraient de la chair, il est dit qu'ils convoitèrent de convoitise ; c'est pour cela aussi qu'ils furent frappés d'une grande plaie ; et c'est pour cela que le lieu où ils furent ensevelis fut appelé Sépulcres des convoitises ; soit que l'on dise le mal volontaire, ou que l'on dise la convoitise, c'est la même chose, car le mal volontaire est la convoitise, puisque le propre de l'homme ne désire que ce qui est sien, et rien de ce qui est du prochain ou de Dieu, si ce n'est pour lui-même : comme telle a été cette nation, c'est pour cela qu'il est dit qu'ils mangeraient de la chair, non pas un seul jour, ni deux, ni cinq, ni dix, ni vingt, mais un mois de jours, ce qui signifie que cette nation est telle à perpétuité, car un mois de jours, c'est à perpétuité ; et c'est pour cela qu'il est dit qu'ils furent frappés d'une grande plate, quand la chair était encore entre leurs dents avant qu'elle fût avalée, car les dents signifient le propre corporel, qui est l'infime de l'homme, numéro 4424, , 9062 : que telle ait été cette nation, on le voit, aux articles cités, numéro 9380 ; et dans le Cantique de Moïse, Deutéronome 32:20, 22-23, 24, 25, 26, 28, 32-33, 34. Dans la Parole, l'esprit est opposé à la chair, parce que par l'esprit est signifiée la vie provenant du Seigneur, et par la chair la vie provenant de l'homme ; comme dans Jean :

« C'est l'esprit » qui vivifie, la chair ne sert de rien ; les paroles que Moi je » vous prononce sont esprit, et sont vie : » - Jean 6:63.

De là, il est évident que l'esprit est la vie procédant du Seigneur, vie qui est celle de l'amour et de la foi envers Lui d'après Lui, et que la chair est la vie provenant de l'homme, ainsi le propre de l'homme ; c'est pour cela qu'il est dit

« la chair ne sert de rien. de même ailleurs dans Jean :

« Ce qui est né de ta chair est chair, mais ce qui a été engendré de l'esprit est esprit. » - Jean 3:6.

Dans David :

« Dieu s'est souvenu qu'ils (étaient) chair, un esprit qui s'en allait et ne revenait point. » - Psaumes 78:39.

Puisque la Chair, lorsqu'il s'agit de l'homme, signifie le propre qui est le mal de l'amour de soi et du monde, on voit clairement ce que la Chair signifie quand il s'agit du Seigneur, à savoir, qu'elle signifie le Propre du Seigneur, qui est le Divin Bien du Divin amour ; ce Bien est signifié par la Chair du Seigneur dans Jean :

« Le Pain que Moi je donnerai, c'est ma Chair ; si vous ne mangez la Chair du Fils de l'homme, et ne buvez son Sang, vous n'aurez pas la vie en vous ; celui qui mange ma Chair, et boit mon Sang, a la vie éternelle ; car ma Chair est véritablement un aliment, et mon Sang est véritablement un breuvage. " - Jean 6:51, 53, 54, 55.

Que par la Chair du Seigneur il soit signifié le Divin Bien de son Divin amour, et par le Sang le Divin Vrai procédant de ce Divin Bien, ainsi les mêmes choses qui sont signifiées par le Pain et le Vin dans la Sainte-Cène, et que ce soient les Propres du Seigneur dans le Divin Humain, on le voit, numéro 100, 3813, 4735, 6978, 7317, 7326, 7850, 9127, 9393, 10026, 10033, 10152 ; et que les sacrifices aient représenté les biens qui procèdent du Seigneur, et que ce soit pour cela que les chairs des sacrifices ont signifié les biens, on le voit, numéro 10040, 10079. En outre, dans la Parole çà et là il est dit toute Chair, et par là il est entendu tout homme, par exemple, ,. Ésaïe 40:5-6, , 23, 24. . , 5 ; et ailleurs.

  
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Arcanes Célestes #6110

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6110. Parce que lourde la famine à l'extrême, signifie la désolation : on le voit par la signification de la famine, en ce qu'elle est le manque de bien et de connaissances, numéro 1460, 3364, 5277, 5279, 5281, 5300, 5579, 5893 ; ainsi la famine lourde à l'extrême est la désolation, numéro 5360, 5376, 5415, 5576. Quant à ce qui concerne la désolation, il faut qu'on sache que les vrais elles biens, et les connaissances du vrai et du bien, font la vie spirituelle de ceux qui sont dans le ciel ; ce sont là les aliments célestes et spirituels dont ils se nourrissent ; ces aliments leur sont donnés chaque jour par le Seigneur ; quand c'est pour eux le matin, les biens leur sont fournis ; quand c'est midi, les vrais leur sont fournis ; mais quand c'est le soir, ils leur manquent ; et cela, jusqu'au point du jour et au matin ; alors ils ont un appétit qui est tel, qu'ils désirent ces aliments plus que les affamés ne désirent la nourriture sur la terre ; cet état est signifié par la famine, et est une espèce de désolation, mais non telle qu'elle est chez ceux qui sont dans la terre inférieure, numéro 698, 699, . Il est à peine dans le monde quelqu'un qui puisse croire que le Ciel Angélique désire si ardemment les vrais et les biens et les connaissances du vrai et du bien ; en effet, ceux qui ne s'attachent qu'aux richesses ou à la gloire, et qui se livrent aux voluptés, doivent s'étonner que ce soit là la vie des anges, et ils doivent dire :

« Que me font à moi les connaissances du bien et du vrai, et quelle sorte de vie en résulte-il ? Ce qui fait la vie et le plaisir de la vie, ce sont les richesses, les honneurs et les voluptés. » Qu'on sache cependant que la vie d'après ces choses est la vie du corps, et non la vie de l'âme, et que cette vie-là périt avec le corps, mais celle-ci reste pour l'éternité, et que ceux qui dans le monde ne pensent en rien à la vie spirituelle connaissent mal leurs intérêts. Quant à ce qui concerne la désolation, elle a lieu pour stimuler l'appétit, car les biens et les vrais sont reçus selon l'appétit, et les désirs qui proviennent de l'appétit, quand ils sont satisfaits, font le bonheur et la félicité ; c'est pourquoi, dans l'autre vie, ceux qui sont dans la désolation sont bientôt après récréés, et ils jouissent de ce qu'ils désirent ; tous sont perfectionnés par de telles vicissitudes. Ce qui mérite d'être observé, c'est que les vicissitudes du jour dans le monde naturel, à savoir, le matin, midi, le soir, la nuit, et de nouveau le matin, représentent absolument les vicissitudes dans le monde spirituel, avec cette seule différence que les vicissitudes du monde spirituel influent dans l'entendement et dans la volonté, et présentent les choses qui appartiennent à la vie ; mais les vicissitudes dans le monde naturel influent dans les choses qui appartiennent au corps et les sustentent : ce qui mérite encore plus d'être observé, c'est que les ombres du soir et les ténèbres de la nuit viennent, non pas du Seigneur, mais des propres des anges, des esprits et des hommes ; car le Seigneur, comme Soleil, luit et influe continuellement, mais les maux et les faux d'après le propre, parce qu'ils sont chez les hommes, chez les esprits et chez les anges, les tournent et les placent en sens contraire du Seigneur, et ainsi les mettent dans les ombres du soir, et les méchants dans les ténèbres de la nuit ; il en est de même du soleil de notre monde, il luit et influe continuellement, mais la terre par sa rotation détourne sa face de lui, et se place dans les ombres et dans les ténèbres. Cela existe ainsi dans le monde naturel par la raison que le monde naturel existe par le monde spirituel, et par suite aussi subsiste ; de là vient que toute la nature est le théâtre représentatif du Royaume du Seigneur, numéro 3483, 4939 : si ces vicissitudes existent dans le monde spirituel, c'est afin que tous ceux qui sont dans le ciel soient continuellement perfectionnés ; par suite aussi de telles vicissitudes existent dans le monde naturel, car autrement tout y périrait de sécheresse. Toutefois, il faut qu'on sache que dans le ciel il n'y a pas de nuit, mais il y a seulement le soir que suit le point du jour qui précède le matin ; mais dans l'enfer il y a la nuit ; là aussi il y a des vicissitudes, mais opposées aux vicissitudes dans le de ! ; là, le matin est l'ardeur des cupidités, le midi est le prurit des faussetés, le soir est l'anxiété, et la nuit est la torture ; mais pendant toutes ces vicissitudes domine toujours la nuit, ce sont seulement les variations de l'ombre et des ténèbres de la nuit qui présentent ces vicissitudes. Il faut en outre savoir que dans le monde spirituel les vicissitudes chez l'un ne sont point semblables aux vicissitudes chez l'autre, et qu'elles n'y ont point été distinguées en temps fixes, car ce sont les variations d'état qui les présentent, puisqu'au lieu des temps dans le monde naturel, il y a des états dans le monde spirituel, numéro 1274, 1382, 2625, 2788, 2837, 3254, 3356, 4814, 4916, 4882, 4901.

  
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