The Bible

 

Ézéchiel 41:13

Study

       

13 Il mesura la maison, qui avait cent coudées de longueur. La place vide, le bâtiment et ses murs, avaient une longueur de cent coudées.

Commentary

 

Two

  

The number "two" has two different meanings in the Bible. In most cases "two" indicates a joining together or unification. This is easy to see if we consider the conflicts we tend to have between our "hearts" and our "heads" -- between what we want and what we know. Our "hearts" tell us that we want pie with ice cream for dinner; our "heads" tell us we should have grilled chicken and salad. If we can bring those two together and actually want what's good for us, we'll be pretty happy. We're built that way -- with our emotions balanced against our intellect -- because the Lord is built that way. His essence is love itself, or Divine Love, the source of all caring, emotion and energy. It is expressed as Divine Wisdom, which gives form to that love and puts it to work, and is the source of all knowledge and reasoning. In His case the two aspects are always in conjunction, always in harmony. It's easy also to see how that duality is reflected throughout creation: plants and animals, food and drink, silver and gold. Most importantly, it's reflected in the two genders, with women representing love and men representing wisdom. That's the underlying reason why conjunction in marriage is such a holy thing. So when "two" is used in the Bible to indicate some sort of pairing or unity, it means a joining together. In rare cases, however, "two" is used more purely as a number. In these cases it stands for a profane or unholy state that comes before a holy one. This is because "three" represents a state of holiness and completion (Jesus, for instance, rose from the tomb on the third day), and "two" represents the state just before it.

From Swedenborg's Works

 

L’Apocalypse Révélée #5

Study this Passage

  
/ 962  
  

5. Et qu'il a signifiées en l'envoyant par son Ange à son serviteur Jean, signifie qui ont été révélées par le Seigneur, au moyen du Ciel, à ceux qui sont dans le bien de la vie d'après la charité et la foi de la charité. Par signifiées en l'envoyant par son Ange, dans le sens spirituel, il est entendu qui ont été révélées du Ciel, ou par le Seigneur au moyen du Ciel ; car par l'Ange dans la Parole, ça et là, il est entendu le Ciel angélique, et dans le sens suprême le Seigneur Lui-Même ; et cela, parce que jamais aucun Ange ne parle séparé du Ciel avec l'homme, car il y a dans le Ciel une telle conjonction de chacun avec tous, que chacun parle d'après la communion, quoique l'ange n'en ait pas conscience ; en effet, le Ciel en présence du Seigneur est comme un seul Homme, dont l’Âme est le Seigneur Lui-Même ; c'est pourquoi le Seigneur parle au moyen du Ciel avec l'homme, comme l'homme d'après son âme parle au moyen du corps avec un autre homme, et cela a lieu en conjonction avec toutes et chacune des choses de son mental, au milieu desquelles sont celles qu'il prononce ; mais cet arcane ne peut être développé en peu de mots, il a été développé en partie dans la sagesse angélique sur le divin amour et sur la divine sagesse : de là, il est évident que par l'Ange il est signifié le Ciel, et dans le sens suprême le Seigneur. Si le Seigneur est entendu dans le sens suprême par l'Ange, c'est parce que le Ciel est Ciel, non d'après les propres des Anges, mais d'après le Divin du Seigneur, d'où les Anges ont l'amour et la sagesse, et même la vie ; de là vient que le Seigneur Lui-Même dans la Parole est appelé Ange. D'après ces explications, il est évident que l'Ange n'a point parlé d'après lui-même avec Jean, mais que c'est le Seigneur qui a parlé par l'Ange au moyen du Ciel. Si par ces paroles il est entendu que les choses ont été révélées à ceux qui sont dans le bien de la vie d'après la charité et la foi de la charité, c'est parce que ceux-ci sont entendus par Jean ; car par les douze Disciples du Seigneur, ou Apôtres, il est entendu tous ceux de l'Église qui-sont dans les vrais d'après le bien, et dans le sens abstrait toutes les choses de l'Église, et par Pierre tous ceux qui sont dans la foi, et abstractivement la foi elle-même, par Jacques ceux qui sont dans la charité, et abstractivement la charité elle-même, et par Jean ceux qui sont dans le bien de la vie d'après la charité et la foi de la charité, et abstractivement le bien même de la vie qui en dérive. Que ce soit là ce qui est entendu par Jean, par Jacques et par Pierre, dans la Parole des Évangélistes, on le voit dans l'Opuscule de la nouvelle Jérusalem et de sa doctrine céleste, publié à Londres en 1758, No. De la Nouvelle Jérusalem et de sa Doctrine Celeste 122. Maintenant, comme le bien de la vie d'après la charité et la foi de la charité fait l'Église, c'est pour cela que les arcanes sur l'état de l'Église, qui sont contenus dans les visions de Jean, ont été révélés par le moyen de Cet Apôtre. Que par tous les Noms de personnes et de lieux dans la Parole il soit signifié des choses du Ciel et de l'Église, c'est ce qui a été montré en bien des endroits de les arcanes célestes, publiés aussi à Londres. D'après ces considérations, on peut voir que par qu'il a signifiées en l'envoyant par son Ange à son serviteur Jean, il est entendu, dans le sens spirituel, qui ont été révélées par le Seigneur au moyen du Ciel à ceux qui sont dans le bien de la vie d'après la charité et la foi de la charité ; car la charité opère le bien par la foi, et la charité ne l'opère pas par elle-même, ni la foi non plus par elle-même.

  
/ 962