The Bible

 

Exode 16:22

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22 Le sixième jour, ils ramassèrent une quantité double de nourriture, deux omers pour chacun. Tous les principaux de l'assemblée vinrent le rapporter à Moïse.

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Arcanes Célestes #8496

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8496. Ce que vous devez cuire, cuisez, signifie la préparation pour ta conjonction du bien ; et ce gué vous devez faire bouillir, faites bouillir, signifie (a préparation pour la conjonction du vrai : on te voit par la signification de cuire, en ce que, à cause du feu c'est la préparation pour la conjonction du bien : et par la signification de , en ce que, à cause de l'eau, c'est la préparation pour la conjonction du vrai ; car l'eau signifie le vrai de la foi, numéros 2702, 3058, 3424, 4976, 5668, et le feu signifie le bien de l'amour, numéros 934, 5215, 6314, 6832, 6834, 6849, 7324, 7852 : que ce soit la préparation pour la conjonction , cela est évident, car ce qu'ils cuisaient et faisaient bouillir était préparé pour le jour suivant, jour du sabbath, par lequel est signifié la conjonction, ainsi qu'il vient d'être montré ; en effet., il était défendu d'allumer du feu le jour du sabbath, - Exode 35:3, - par conséquent de cuire ou de faire bouillir : que la cuisson se dise du pain et de la minchah qui

« e font par le feu, on le voit dans Ésaïe , Lévitique 6:10.

Et que l'action de bouillir se dise de la chair qui se prépare par l'eau, on le voit, . Lévitique 6:21. 1 Samuel 2:13, 15.

  
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Arcanes Célestes #4976

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4976. Et il le servait, signifie que le scientifique était approprié à son bien : on le voit par la signification de servir (ministrare), en ce que c'est être utile à quelqu'un en lui fournissant ce qui lui manque ; ici c'est être approprié, parce qu'il s'agit du bien naturel auquel le scientifique devait être approprié ; servir (minister) et le serviteur (servus) signifient le scientifique ou le vrai naturel, parce que ce vrai est subordonné au bien, comme à son seigneur : il en est du scientifique par rapport au plaisir de l'homme naturel, ou, ce qui est la même chose, il en est du vrai naturel par rapport à son bien, absolument comme il en est de l'eau par rapport au pain, ou, de la boisson par rapport à l'aliment ; l'eau ou la boisson fait que le pain et l'aliment se délaient, et qu'étant délayés ils se portent dans le sang, et par suite dans les parties du corps de tous côtés, et les nourrissent ; car, sans l'eau ou la boisson, le pain ou l'aliment ne se résout pas en parcelles, et n'est pas transporté de tous côtés pour l'usage : il en est aussi de même du scientifique par rapport au plaisir, ou du vrai par rapport au bien ; c'est pourquoi le bien souhaite et désire le vrai, et cela à cause de l'usage, afin qu'il lui fournisse son ministère et son service ; ils correspondent aussi pareillement ; l'homme dans l'autre vie se nourrit, non de quelque aliment ni de quelque boisson naturels, mais d'un aliment et d'une boisson spirituels ; l'aliment spirituel est le bien, et la boisson spirituelle est le vrai ; lors donc que dans la Parole le pain ou l'aliment est nommé, les anges entendent le pain ou l'aliment spirituel, à savoir le bien de l'amour et de la charité ; et lorsque l'eau ou la boisson est nommée, ils entendent l'eau ou la boisson spirituelle, à savoir, le vrai de la foi : par là on peut voir ce que c'est que le vrai de la foi sans le bien de la charité, et comment ce vrai sans ce bien peut nourrir l'homme interne ; c'est comme si l'homme prenait de l'eau seule ou de la boisson seule sans faire usage de pain et d'aliment ; qu'en agissant ainsi l'homme maigrisse et périsse, cela est notoire.

  
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