Die Bibel

 

Genèse 25:13

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13 Voici les noms des fils d'Ismaël, par leurs noms, selon leurs générations: Nebajoth, premier-né d'Ismaël, Kédar, Adbeel, Mibsam,

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Arcanes Célestes #3241

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3241. Et les fils de Dédan furent Aschurim, et Létuschim, et Léumim, signifie les dérivations de la seconda portion : on peut le voir par la représentation de Dédan, en ce qu'il désigne ceux qui sont dans le bien de la foi, proprement ceux qui sont dans le vrai de la foi d'après le bien , numéro 3240 fin ; qu'ils soient les dérivations de la seconde portion, cela est évident : ce sont principalement les vrais de la foi d'après le bien, qui sont signifiés par ces trois fils de Dédan ; quant à ce que chacun d'eux signifie, cela peut-il est vrai être dit, mais ne peut être confirmé par la Parole, car il n'en est plus parlé ailleurs. Dans le Royaume du Seigneur, il y a d'innombrables variétés quant aux biens et aux vrais, néanmoins ces variétés innombrables constituent un seul ciel ; il y a, en effet, tant de variétés qu'il n'est pas une seule société qui soit absolument semblable à une autre, c'est-à-dire, dans le même bien et dans le même vrai, Voir numéros 684, 685, 690.

Là, l'unité se compose de plusieurs sociétés différentes, disposés par le Seigneur de manière qu'elles soient en concordance ; la concordance ou l'harmonie de plusieurs est établie par le Seigneur, en cela qu'elles se réfèrent toutes à Lui, numéro 551 ; il en est de cela comme des organes, des membres et des viscères du corps ; il n'en est aucun qui soit absolument semblable à un autre, mais tous sont différents entre eux et font cependant un, par cela même qu'ils se réfèrent tous à une seule âme, et par cette âme au ciel, et ainsi au Seigneur ; car tant ce qui n'est point lié par le Seigneur n'est rien : de là on peut voir que les différences du vrai et du bien sont innombrables dans leurs espèces ; mais leurs genres, et mêmes les plus communs, qui sont les Eglises Spirituelles, sont signifiés par ces fils et ces descendants d'Abraham. Comme ceux de l'Église Spirituelle, à la différence de ceux de l'Église Céleste, n'ont aucune perception de ce qui est bien ni de ce qui est vrai, mais reconnaissent pour des vrais les choses qu'ils ont apprises, ils sont en conséquence continuellement en contestation au sujet de ces choses, et raisonnent si cela est ou n'est pas, et chacun reste dans ce doctrinal, et appelle vrai ce qui appartient à son Église, de là tant de différences ; outre que la plupart concluent, au sujet des biens et des vrais, d'après des apparences et des illusions, l'un différemment de l'autre, et nul d'entre eux d'après quelque perception, ils ne savent même pas ce que c'est que la perception ; comme leur entendement a été ainsi obscurci quant aux biens et aux vrais de la foi, il n'est pas surprenant qu'il y ait tant de dissentiments sur le point le plus Essentiel de tous, savoir, sur le Divin du Seigneur, l'Humain, et le Saint procédant ; les célestes perçoivent qu'ils sont non pas Trois mais Un, tandis que les Spirituels restent dans l'idée de Trois, mais veulent que l'on pense qu'ils sont Un ; puis donc qu'il existe des dissentiments sur le point le plus Essentiel, il devient évident que les variétés et les différences des Doctrinaux sont innombrables ; de là on peut savoir d'où viennent les dérivations qui sont signifiées par ceux qui sont ici nommés : mais quoiqu'il y ait tant de variétés et de différences de doctrinaux, ou tant de dérivations, cependant ils forment toujours ensemble une seule Église, quand tous reconnaissent la charité pour l'essentiel de l'Église, ou, ce qui est la même chose, quand tous regardent la vie comme la fin de la doctrine, c'est-à-dire, cherchent comment l'homme de l'Église vit et non comment il sent ; car chacun est gratifié par le Seigneur d'une portion dans l'autre vie, selon le bien de la vie, et non selon le vrai de la doctrine séparé d'avec le bien de la vie.

  
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