Deutéronome 25:5

Verset 5. S'il y a deux biens apparentés et associés (comme le bien spirituel et le bien naturel, qui sont frères), et que l'un d'eux périsse sans laisser de descendance spirituelle, les vérités associées au bien perdu ne doivent pas être aliénées de l'âme, mais être chéries par le bien apparenté qui leur sera joint, de manière à développer dans l'âme des biens et des vérités nouveaux. [C'est ainsi que, dans la régénération, ceux qui ont agi auparavant à partir d'un bien purement naturel finissent par voir que le bien naturel n'est pas un bien réel, et qu'il périt ; mais les bonnes actions et les bonnes pensées qui lui sont associées ne doivent en aucun cas être omises, mais être accomplies à l'avenir avec plus de discernement, à partir d'un motif supérieur et spirituel. (Le bien naturel est celui de la bonne nature, comme on l'appelle, la disposition naturelle que l'on a à plaire aux autres)].