Библијата

 

Jérémie 51:36

Студија

       

36 C'est pourquoi ainsi a dit l'Eternel : voici, je m'en vais plaider ta cause, et je ferai la vengeance pour toi; je dessécherai sa mer, et je ferai tarir sa source.

Од делата на Сведенборг

 

Arcanes Célestes #10287

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10287. Et qui en donnerait sur un étranger, signifie la conjonction avec ceux qui ne reconnaissent point le Seigneur, ainsi avec ceux qui sont dans les maux et dans les faux du mal : on le voit par la signification de donner sur quelqu'un, quand il s'agit des Divins vrais qui sont signifiés par l'onguent aromatique, en ce que c'est conjoindre ; et par la signification de l' étranger, en ce que c'est celui qui n'est pas de l'Église, ainsi celui qui ne reconnaît pas le Seigneur, et qui par suite est dans les maux et dans les faux ; car celui qui ne reconnaît pas le Seigneur n'est pas de l'Église ; et celui qui nie le Seigneur est dans les maux et dans les faux, puisque le bien et le vrai ne viennent, pas d'autre part que du Seigneur ; que les étrangers signifient de tels hommes, on le verra par les passages de la Parole qui vont suivre ; mais auparavant il sera dit quelque chose sur la conjonction du Divin Vrai avec ceux qui ne reconnaissent point le Seigneur : Cette conjonction est la profanation ; en effet, la profanation est la conjonction du Divin Vrai avec les faux d'après le mal ; et cette conjonction, qui est la profanation, n'existe que chez ceux qui ont d'abord reconnu les choses qui sont de l'Église, et principalement le Seigneur, et ensuite les nient, et non chez les autres ; car par la reconnaissance des vrais de l'Église et du Seigneur, il se fait une communication avec les cieux, et par suite une ouverture des intérieurs de l'homme vers le ciel ; et par le reniement ensuite il se fait une conjonction de ces mêmes intérieurs avec les faux d'après le mal ; en effet, toutes les choses que l'homme reconnaît restent implantées, car il ne périt rien de ce qui est entré chez l'homme par la reconnaissance. L'état de l'homme chez qui il y a profanation consiste en ce qu'il a communication avec les cieux et en même temps avec les enfers, avec les cieux par les vrais, et avec les enfers par les faux du mal ; de là, dans l'autre vie se fait la dilacération, d'après laquelle le tout de la vie intérieure périt ; ceux-là, après la dilacération, apparaissent à peine comme des hommes, mais ils sont comme des os brûlés dans lesquels il y a peu de vie : voir sur la profanation ce qui a déjà été dit et montré, à savoir, que ceux qui profanent sont ceux qui ont d'abord reconnu les vrais Divins, et qui ensuite les nient, numéro 1001, 1010, 1059, 2051, 3398, 4289, 4601, 6348, 6960, 6963, 6971, 8394 ; que ceux qui les ont nié dès l'enfance, comme les juifs et autres, ne profanent point, numéro 593, 1001, 1010, 1059, 3398, 3489, 6963 ; et que le Seigneur veille principalement à ce que chez l'homme la profanation ne se fasse point, numéro 301, 302, 303, 1327, 1328, 2426, 3398, 3402, 3489, 6595. Mais il faut qu'on sache qu'il y a plusieurs genres de profanations, et que chacun de ces genres a un grand nombre d'espèces ; en effet, il y a ceux qui profanent les biens de l'Église, et ceux qui profanent les vrais de l'Église ; ceux qui profanent beaucoup, et ceux qui profanent peu ; ceux qui profanent intérieurement, et ceux qui profanent extérieurement de plus en plus ; ceux qui profanent par la foi contre les vrais et les biens de l'Église, ceux qui profanent par la vie, et ceux qui profanent par le culte : de là, pour les profanateurs existent un grand nombre d'enfers, qui sont distincts entre eux selon les diversités des profanations ; les enfers des profanations du bien sont par derrière, et les enfers des profanations du vrai sont sous les pieds et sur les côtés ; ils sont plus profonds que les enfers des autres maux, et ils sont rarement ouverts. Que les étrangers soient ceux qui ne reconnaissent point le Seigneur, et ne veulent point le reconnaître, soit au dehors ou au dedans de l'Église, ainsi ceux qui sont dans les maux et dans les faux du mal, et dans le sens abstrait des personnes, les maux et les faux du mal, c'est ce qu'on voit dans la Parole d'après un grand nombre de passages : il est dit ceux qui ne reconnaissent point le Seigneur, ainsi ceux qui sont dans les maux et dans les faux du mal, parce que ceux qui ne reconnaissent point le Seigneur ne peuvent faire autrement que d'être dans les maux et dans les faux du mal, car c'est du Seigneur que procède tout bien et tout vrai du bien ; c'est pourquoi, ceux qui nient le Seigneur sont dans les maux et dans les faux du mal, selon les paroles du Seigneur dans Jean :

« Si vous ne croyez pas que Moi je suis, vous mourrez dans vos péchés. " - Jean 8:24.

Que les étrangers soient ceux-là, on le voit par ces passages ; dans Ésaïe :

« Votre terre est une solitude, vos villes ont été brûlées par le feu ; votre humus devant vous, des étrangers le dévoreront ; et il y aura une solitude comme un bouleversement par des étrangers. » - Ésaïe 1:7.

Ici par la terre il n'est pas entendu la terre, ni par les villes et l'humus, des villes et l'humus ; mais par la terre il est entendu l'Église, pareillement par l'humus, et par les villes les vrais de l'Église, appelés doctrinaux, qui sont dits avoir été brûlés par le feu, quand ils ont été consumés par les maux des amours de soi et du monde ; de là, on voit clairement ce qui est signifié par cela que

« des étrangers dévoreront l'humus, » à savoir, que les maux et les faux du mal consumeront l'Église ; et par cela que

« la terre sera une solitude ; » que la terre soit l'Église, on le voit aux articles cités, numéro 9325 ; et pareillement l'humus, numéro 566, 1068 ; il a aussi été montré que les villes sont les doctrinaux de l'Église, ainsi les vrais de l'Église, numéro 2268, 2451, 2712, 2943, 3216, 4492, 4493 ; et que le feu est le mal des amours de soi et du monde, numéro 1297, 1861, 2446, 5071, 5215, 6314, 6832, 7575, 9141.

Dans Jérémie :

« L'ignominie a couvert nos faces, quand sont venus des étrangers contre les sanctuaires de la maison de Jéhovah. " - Jérémie 51:51.

Les étrangers contre les sanctuaires de la maison de Jéhovah sont les maux et les faux du mal contre les biens et les vrais de l'Église ; on appelait étrangers ceux d'entre les nations, qui servaient dans l'Église Juive ; et par les nations de cette terre sont signifiés aussi les maux et les faux, numéro 9320.

Dans le Même :

« Tu dis : C'en est fait, non ; mais j'aimerai des étrangers, et après eux j'irai. " - Jérémie 2:25 ;

-aimer des étrangers et aller après eux, c'est aimer les maux et les faux du mal, et les adorer.

Dans Ézëchiel :

« L'épée j'amènerai sur vous, et je vous livrerai dans la main d'étrangers. » Jérémie 40:8, 9 ; amener l'épée, ce sont les faux d'après le mal qui combattent contre les vrais d'après le bien ; livrer dans la main des étrangers, c'est pour qu'ils croient et servent ces faux ; que l'épée soit le vrai qui combat contre les faux, et dans le sens opposé le faux qui combat contre les vrais, on le voit, numéro 2799, 6353, 7102, 8294.

Dans le Même :

« De la mort des incirconcis tu mourras, dans la main des étrangers. » - Jérémie 28:10.

Les incirconcis sont ceux qui sont dans les amours impurs et dans les cupidités de ces amours quant à la vie, quoiqu'ils soient dans les doctrinaux, numéro 2049, 3412, 3413, 4462, 7045, 7225 ; leur mort est la mort spirituelle ; dans la main des étrangers, c'est dans les maux mêmes et dans les faux du mal.

Dans le Même :

« Jérusalem, femme adultère ! sous son mari, elle reçoit les étrangers. » - ;

-Jérusalem, femme adultère, c'est l'Église dans laquelle le bien a été adultéré ; recevoir les étrangers, c'est reconnaître par la vie et par la doctrine les maux et les faux du mal.

Dans Joël :

« Jérusalem sera sainteté, et des étrangers ne passeront plus par elle. » - ; ici aussi Jérusalem est l'Église, mais l'Église dans laquelle le Seigneur est reconnu, et dans laquelle on vit du bien et on croit aux vrais qui procèdent du Seigneur ; des étrangers ne passeront plus par elle, c'est-à-dire que les maux et les faux du mal qui proviennent de l'enfer n'entreront point en elle.

Dans David :

« Des étrangers se sont élevés contre moi, et des violents ont cherché mon âme. » Psaumes 54:5 ; ici encore les étrangers sont les maux et les faux du mal ; les violents sont les mêmes qui font violence aux biens et aux vrais : ceux qui ne considèrent que le sens littéral de la Parole n'entendent par les étrangers que ceux qui sont hors de l'Église, et pensent que ceux-là s'élèveraient contre David, mais dans les cieux il n'entre rien de la personne, il n'y entre que les choses qui sont signifiées, numéro 8343, 8985, 9007 ; ainsi ce sont non pas les étrangers, mais au lieu des étrangers les choses étrangères, c'est-à-dire, celles qui ont été aliénées de l'Église, ainsi les maux et les faux du mal qui détruisent l'Église ; par David, contre qui ils s'élèveraient, il est aussi perçu le Seigneur, numéro 1888, 9951.

Dans Moïse :

« Il a abandonné le Dieu qui l'avait fait, et il a méprisé le rocher de son salut ; à la Jalousie ils L'ont provoqué par des étrangers.Deutéronome 32:15-16 ; abandonner Dieu et mépriser le rocher du salut, c'est nier le Seigneur ; provoquer par des étrangers, c'est par les maux et par les faux du mal ; que le Rocher soit le Seigneur quant aux vrais de la foi, on le voit, numéro 8581. En outre, ailleurs, les étrangers auesi sont les maux et les faux, par exemple, Ésaïe 25:2, 4, Ézéchiel 31:11-12. Comme les étrangers signifiaient ceux qui sont dans les maux et dans les faux du mal, et par suite dans le sens abstrait les maux et les faux du mal, c'est pour cela qu'il fut défendu

« que l'étranger mangeât des choses saintes. » - Lévitique 22:10.

Que

« l'étranger s'approchât de la fonction du sacerdoce, ou de la garde du sanctuaire ; et s'il s'en approchait il devait être tué. » - , ; et aussi

« de brûler du parfum avec un feu étranger ; pour en avoir brûlé, Nadab et Abihu fils d'Aharou furent consumés par le feu du ciel, » Lévitique 10:1-2.

Car le feu saint, qui était près de l'autel, signifiait l'amour Divin ; le feu étranger signifiait l'amour infernal, et par suite aussi les maux et les cupidités de ces maux, voir numéro 1297, 1861, 2446, 5071, 5215, 6314, 6832, 7575, 9141. Il y a aussi des étrangers (alienigenœ) désignés dans la Langue originale par un autre mot que les étrangers (alieni), et ceux-là signifient les faux mêmes ; par exemple, dans les Lamentations :

« Jéhovah ! regarde notre ignominie ; notre héritage a été transporté à des étrangers (ad aliènes), et nos maisons à des étrangers (ad alienigenas). » - Lamentations 5:1-2.

Dans Obadie :

« Des étrangers (alieni) ont emmené en captivité sa force, et des étrangers (alienigense) sont entrés dans ses portes, et sur Jérusalem ils jetteront le sort. » - Vers. , 11 ; jeter le sort sur Jérusalem, c'est détruire l'Église, et en dissiper les vrais.

Dans Zéphanie :

« Je ferai la visite sur les princes et sur les fils du roi, et sur tous ceux qui sont revêtus d'un habit d'étranger (alienigenae). » - Zéphanie 1:8.

Ceux qui sont revêtus d'un habit d'étranger sont ceux qui sont dans les faux ; car les princes et les fils du roi, sur lesquels la visite sera faite, sont les principaux vrais, et dans le sens opposé les principaux faux ; que les princes signifient ces faux, on le voit, numéro 1482, 2089, 5044 ; que les rois soient les vrais mêmes, et dans le sens opposé les faux mêmes, on le voit, numéro 2015, 2069, 3009, 4581, 4966, 5044, 5068, 6148 ; delà, les fils du roi sont ceux qui en proviennent.

Dans David :

« Délivre-moi, et arrache-moi de la main des fils de l'étranger (alienigense), dont la bouche prononce la vanité, et dont la droite est une droite de mensonge. » - Psaumes 144:7-8, 11.

Que les fils de l'étranger soient ceux qui sont dans les faux, ainsi les faux, cela est bien évident, car il est dit,

« dont la bouche prononce la vanité et dont la droite est une droite de mensonge ; en effet, la vanité est la fausseté de la doctrine, et le mensonge le faux de la vie, numéro 9248.

  
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Arcanes Célestes #6353

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6353. Instruments de violence sont leurs épées (machœrœ), signifie que les doctrinaux servent à détruire les œuvres de la charité, ainsi la charité elle-même : on le voit par la signification de instruments de violence, en ce que ce sont les choses qui servent à détruire la charité ; que les instruments soient les choses qui servent, cela est évident, et que la violence soit la destruction de la charité, on le verra bientôt ; et par la signification des épées, en ce que ce sont les doctrinaux ; en effet, les épées (gladii) sont les vrais de la foi par lesquels on combat contre les faux et les maux, numéro 2799, ainsi les épées (machœrœ) sont les doctrinaux, ici les doctrinaux par lesquels on combat contre le vrai et le bien, et par lesquels l'un et l'autre sont éteints, parce que le combat est livré par ceux qui sont dans la foi seule ou dans la foi séparée d'avec charité, chez lesquels il y a le contraire. Les doctrinaux de ceux qui sont dans la foi seule, par lesquels ils détruisent les œuvres de la charité, consistent principalement en ce qu'ils enseignent que l'homme est sauvé par la foi seule sans les œuvres de la charité que ces œuvres, ne sont pas nécessaires ; que l'homme est sauvé par la foi seule, même à la dernière heure de la mort, de quelque manière qu'il ait vilipendant tout le cours de la vie, ainsi ceux qui n'ont exercé que des cruautés, des larcins, des adultères, des profanations ; qu'en conséquence la salvation est seulement une introduction dans le ciel ; qu'ainsi il n'y a d'introduits que ceux qui ont reçu cette grâce à la fin de leur vie ; et que par conséquent les uns sont élus par Miséricorde, et les autres damnés par non-miséricorde ; et cependant le ciel n'est refusé à personne par le Seigneur mais la vie et la communication de la vie, qui est sentie là, comme sur la terre est sentie l'odeur par les sujets, fait qu'ils ne peuvent nullement y être, car ils y sont tourmentés par le mal de leur vie plus qu'ils ne le sont dans l'enfer le plus profond. Que l'Épée signifie le faux qui combat et qui tue, cela est évident dans Jean :

« Il sortit un autre cheval, roux, et à celui qui était monté dessus il fut donné d'enlever la paix de dessus la terre, afin qu'ils se tuassent les uns les autres ; et il lui fut donné une épée grande. » - Apocalypse 6:4.

Dans le Même :

« Si quelqu'un par épée tue, il faut que par épée il soit tué. » - , 14.

Que la violence soit la force employée contre la charité, on le voit clairement par plusieurs passages dans la Parole par exemple, dans Ésaïe :

« Il disparaîtra, le violent, et consumé sera le moqueur ; retranchés seront tous ceux qui veillent pour l'iniquité, qui font pécher l'homme dans une parole, et tendent des pièges à celui qui réprimande à la porte, et font pencher vers la vanité le juste. » - Ésaïe 29:20-21.

Ici, dans la Langue originale, le violent est exprimé par un autre mot, mais qui est d'une semblable signification ; que le violent soit celui qui emploie la force contre la charité, cela est signifié par faire pécher l'homme dans une parole, et faire pencher vers la vanité le juste Dans le Même :

« Leurs œuvres (sont) œuvres d'iniquité, et action de violence (il y a) dans leurs mains ; leurs pieds courent au mal, et se hâtent pour répandre le sang innocent. » - Ésaïe 59:6-7 :

Ici la violence est la force employée contre la charité, force qui est aussi signifiée par répandre le sang, comme on le voit numéros 374, 1005.

Dans le Même :

« Il n'y aura plus de violence dans ta terre ; de dévastation, ni de rupture dans tes confins. » Ésaïe 60:18.

La violence, c'est la destruction de la charité, car par suite il y a vastation et rupture dans la terre, c'est-à-dire, dans l'Église.

Dans Jérémie :

« Violence et dévastation je proclame, parce qu'est devenue la Parole de Jéhovah pour moi en opprobre et en ignominie tout le jour. » - Jérémie 20:8.

La violence ici, c'est aussi la violence contre les spirituels, ainsi c'est la destruction de la charité, comme aussi celle de la foi.

Dans Ézéchiel :

« La terre est pleine de jugement de sangs, et la ville pleine de violence. » - Ézéchiel 7:23.

Le jugement de sangs, c'est la destruction de la foi ; la violence, c'est la destruction de la charité.

Dans le Même :

« S'il engendre un fils violent, qui répande le sang, qui fasse l'une de ces choses ; si sur les montagnes il mange, l'épouse de son compagnon il souille ; le misérable et l'indigent il opprime, des rapines il exerce, le gage il ne rend pas, et vers les idoles il lève ses yeux, l'abomination il fait ; à intérêt il donne, et l'usure il reçoit, vivra-t-il ? Il ne vivra point ; eu mourant il mourra. » Ézéchiel 18:10, 11, 12, 13.

Ici est décrit ce que c'est que le fils violent et qui répand le sang, les choses qui sont recensées dans ce passage sont toutes les œuvres de la charité qu'il détruit, ainsi le fils violent et qui répand le sang est le destructeur de la charité et de la foi.

Dans David :

« Délivre-moi, Jéhovah, de l'homme méchant, de l'homme de violences préserve-moi, lesquels pensent des maux dans le cœur, tout le jour ils se rassemblent pour la guerre ; ils aiguisent leur langue comme un serpent, un venin d'aspic (est) sous leurs lèvres : garde-moi, Jéhovah, des mains de l'impie, de l'homme de violences préserve-moi. Que l'homme de langue ne subsiste point dans la terre, l'homme de violence qui après le mal chasse pour des subversions. » - P. , ,.

L'homme des violences, ce sont ceux qui détruisent les vrais de la foi et les biens de la charité ; qu'ils combattent contre ces vrais et ces biens, cela est signifié par

« tout le jour ils se rassemblent pour la guerre, ils aiguisent leur langue comme un serpent, un venin d'aspic est sous leurs lèvres, il chasse après le mal pour des subversions. et en outre ailleurs, par exemple, Ézéchiel 12:19. Joël. Malachie IL 16, 17. Psaumes 55:10-11, Psaumes 58:3, 4, 5-6.Deutéronome 19:16.

  
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