Библијата

 

Exode 9:16

Студија

       

16 Mais, je t'ai laissé subsister, afin que tu voies ma puissance, et que l'on publie mon nom par toute la terre.

Коментар

 

Ashes

  

In Genesis 18:27, this signifies the humility of the Lord's human as to its quality. (Arcana Coelestia 2265)

In Exodus 9:8, this signifies lustful falsities excited by the presence of infesting spirits. (Arcana Coelestia 7519, Apocalypse Explained 962[8])

In Ezekiel 27:30, this signifies something condemned, because the fire from which they come signifies infernal love. (Apocalypse Explained 441)

In Jeremiah 6:26, this signifies mourning because of the destruction of good and truth in the church. (Arcana Coelestia 637[9])

(Референци: Apocalypse Explained 1175)


Од делата на Сведенборг

 

Arcanes Célestes #5276

Проучи го овој пасус

  
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5276. Abondance de vivres grande dans toute la terre d'Egypte, signifie la multiplication du vrai dans l'un et l'autre naturel : on le voit par la signification de abondance de vivres, en ce que c'est la multiplication du vrai, ainsi qu'il va être expliqué ; et par la signification de la terre d'Egypte, en ce qu'elle est l'un et l'autre naturel, car l'Egypte signifie la science, numéro 1104, 3165, 1186, 1562, 4749, 4964, 4966, et comme elle signifie la science, elle signifie aussi le naturel, parce que ce qui est dans le naturel est appelé scientifique ; la terre d'Egypte est donc le mental naturel dans lequel est le scientifique ; de là toute la terre d'Egypte signifie l'un et l'autre naturel, à savoir, l'intérieur et l'extérieur ; qu'il y ait un naturel intérieur et un naturel extérieur, on le voit, numéro 5118, 5120. Si l'abondance de vivres signifie la multiplication du vrai, c'est parce qu'elle est opposée à la famine qui signifie le manque de vrai ; dans la Langue originale, le mot par lequel est exprimée l'abondance de vivres est un mot auquel est opposé le mot famine, et signifie dans le sens interne une complète affluence et suffisance de connaissances, parce que la famine en signifie le manque. Les connaissances ne sont autre chose que les vrais de l'homme naturel, mais qui ne lui ont pas encore été appropriés, c'est la multiplication de ces vrais qui est entendue ici ; les connaissances ne deviennent pas des vrais chez l'homme, avant d'être reconnues par l'entendement, ce qui arrive quand elles sont confirmées par lui, et ces vrais ne lui sont pas appropriés, avant qu'il y conforme sa vie ; en effet, il n'y a d'approprié à l'homme que ce qui devient chose de sa vie, car il est ainsi lui-même dans les vrais, parce que sa vie est en eux.

  
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