Die Bibel

 

Genèse 17:12

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12 Tout enfant mâle de huit jours sera circoncis parmi vous en vos générations, tant celui qui est né dans la maison, que l'[esclave] acheté par argent de tout étranger qui n'est point de ta race.

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Arcanes Célestes #3667

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3667. Dieu Schaddaï te bénira, signifie les tentations de ce vrai et de ce bien, par lesquelles se fait la conjonction : on le voit par la signification de Dieu Schaddaï, en ce que ce sont les tentations, ainsi qu'il va être exposé ; et par la signification d'être béni, en ce que c'est la conjonction, numéros 3504, 3514, 3530, 3565, 3584 ; comme Jacob représente maintenant le bien du vrai, ainsi qu'il a été montré ci-dessus, numéro 3659, ce bien et ce vrai sont entendus ici par te. Si Dieu Schaddaï signifie les tentations, c'est parce que dans les temps anciens, on signalait le Dieu suprême ou le Seigneur par différents Noms, et cela, selon les Attributs et selon les Biens qui procèdent de Lui, et aussi selon les Vrais, que chacun sait être très-multipliés ; ceux qui ont été de l'Ancienne Église n'ont compris, par toutes ces dénominations qu'un Seul Dieu, savoir, le Seigneur, qu'ils ont appelé Jéhovah : mais, après que l'Eglise se fut écartée du bien et du vrai, et en même temps de cette sagesse, alors on commença à adorer autant de Dieux qu'il y avait de dénominations du Dieu unique, au point même que chaque nation, et enfin chaque famille reconnaissait pour son Dieu l'un de ces Dieux ; de là l'existence de tant de Dieux, qui sont aussi nommés çà et là dans la Parole. Il en arriva de même dans la famille de Thérach père d'Abraham, et aussi dans la propre maison d'Abraham, qui adora d'autres Dieux, voir numéros 1356, 2559, et surtout le Dieu Schaddaï, numéro 1992 : que le culte de ce Dieu soit resté dans cette maison, c'est aussi ce qu'on voit par ces paroles dans Moïse :

« Je suis apparu à Abraham, à Isaac et à Jacob, comme Dieu Schaddaï, et par mon Nom, Jéhovah, je n'ai point été connu d'eux. » - Exode 6:3.

De là vient qu'il a été dit à Abraham :

« Moi, (je suis) le Dieu Schaddaï, marche devant Moi, et sois intègre. » - Genèse 17:1 ;

Et que maintenant il est dit par Isaac à Jacob :

« Dieu Schaddaï te bénira. » Qu'il en soit ainsi, c'est encore ce qu'on voit clairement par ce qui est rapporté dans ce Chapitre, que le Seigneur ayant dit à Jacob dans un songe :

« Moi Jéhovah, le Dieu d'Abraham ton père et le Dieu de Isaac. » - Vers. 13, - Jacob néanmoins dit ensuite :

« Si Dieu (est) avec moi, et me garde dans ce chemin par lequel moi je vais, et qu'il me donne pain pour manger, et habit pour revêtir, et que je retourne en paix vers la maison de mon père, et sera Jéhovah à moi pour Dieu. » - Vers. 20, 21.

D'après cela il est évident que la maison de Jacob ne reconnaissait pas non plus Jéhovah, mais que Jacob le reconnaîtrait pour son Dieu, s'il lui faisait du bien ; absolument comme aujourd'hui dans le gentilisme Chrétien. Mais quant à ce qui concerne spécialement Dieu Schaddaï, le Seigneur avait été ainsi appelé dans l'Église Ancienne, relativement aux tentations, aux bénédictions et aux bienfaits après les tentations, ce qui a été expliqué dans la Seconde Partie, numéro 1992 ; de là vient donc que par Dieu Schaddaï dans le sens interne sont signifiées les tentations. Que ce soit par les Tentations que se fait la conjonction du bien et du vrai, on le voit d'après ce qui a déjà été dit et expliqué sur les Tentations, et par les citations du numéro 2819.

  
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Arcanes Célestes #1695

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1695. Toute leur nourriture, signifie qu'ils furent privés de la puissance de penser le faux : c'est ce qui est constant d'après la signification de la nourriture, J'ai déjà montré, numéros 56, 57, 58, 680, 681, ce que c'est que la nourriture céleste, spirituelle et naturelle dont on jouit dans l'autre vie ; ces nourritures correspondent aussi à celle du corps ; c'est aussi pour cela que dans la Parole, elles sont représentées par la nourriture et appelées nourriture. Mais la nourriture des esprits mauvais et infernaux est le contraire de la sagesse, de l'intelligence et de la vraie science ; c'est tout ce qui est faux. C'est même par cette nourriture que les mauvais esprits se sustentent. Ce qui est étonnant ; et ils s'en sustentent parce qu'elle est leur vie ; si on ne leur accordé pas d'improuver le vrai, et même de blasphémer, ils ne peuvent vivre mais cependant ils n'ont pas la permission de penser et de prononcer le faux, si ce n'est celui qui provient de leur mal, mais donc celui qui est contre leur propre mal car cela est un dol. En effet, autant ils prononcent le faux qui vient de leur propre mal, autant c'est d'après leur propre vie qu'ils le prononcent, et alors cela leur est aussi pardonné, parce qu'ils sont tels qu'ils ne peuvent vivre autrement. Quant à ce qu'ils furent privés de la puissance de faire le mal et de penser le faux, voici ce qu'il en est.

Dans les combats des tentations, il est permis aux mauvais esprits de tirer tout mal et tout faux qui est chez l'homme, et de combattre d'après le mal et le faux de l'homme ; mais quand ils ont été vaincus, il ne leur est plus permis d'agir de même, car ils perçoivent sur-le-champ chez l'homme que le bien et le vrai ont été confirmés ; les esprits ont plus que l'homme une telle perception ; par la sphère même de l'homme confirmé dans le vrai et le bien, ils connaissent sur-le-champ quels sentiments il a, quelle réponse ils doivent en recevoir, et plusieurs autres choses. Cela se voit clairement chez l'homme régénéré spirituel, chez lequel il y a de mauvais esprits comme chez le non-régénéré, mais ils ont été subjugués et sont en servitude. Voilà ce qui est signifié par ces mots : ils furent privés de la puissance de faire le mal et de penser le faux.

  
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