Die Bibel

 

Genèse 8:8

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8 Il lâcha aussi la colombe, pour voir si les eaux avaient diminué à la surface de la terre.

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Arcanes Célestes #841

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841. On peut voir, par ce qui a déjà été dit sur Noach et sur la signification de l'animal et de la bête, que Noach signifie, comme précédemment, l'homme de l'Ancienne Eglise ; et que, par tout animal et toute bête qui étaient avec lui dans l'arche, sont signifiées toutes les choses qui étaient chez lui. Dans la Parole, Animal (Fera) est pris dans un double sens : pour les choses qui, chez l'homme, sont vivantes, et pour celles qui y sont mortes ; il est pris pour les choses qui sont vivantes, parce que ce mot, dans la langue hébraïque, signifie Vivant ; mais comme les Très-Anciens, dans leur humiliation, se reconnaissaient pour des animaux, le même mot a aussi désigné les choses qui chez l'homme sont mortes. Ici, par animal, on entend et les choses vivantes et les choses mortes, réunies en un même tout, comme il arrive d'ordinaire chez l'homme après la tentation, car alors les choses vivantes et les choses mortes, ou celles qui appartiennent au Seigneur et celles qui sont du propre de l'homme, paraissent si mélangées, que l'homme sait à peine ce que c'est que le vrai et ce que c'est que le bien ; mais alors le Seigneur les range et les met toutes en ordre, comme on peut le voir par ce qui suit. On a déjà vu, Chapitre 7: vers. 14, et l'on verra aux Vers. 17 et 19 de ce Chapitre, que l'animal ou la bête féroce (Fera) signifie les choses qui chez l'homme sont vivantes ; et il signifie aussi les choses qui chez l'homme sont mortes, selon ce qui a déjà été dit sur les bêtes féroces et les bêtes, notamment, numéros 45, 46, 142, 143, 246.

  
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Arcanes Célestes #143

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143. Que, dans l'antiquité, par les Bêtes et les Animaux il ait été signifié des affections et d'autres choses semblables chez l'homme, cela peut paraître aujourd'hui étrange ; mais comme on était dans l'idée céleste, et que ces choses, dans le monde des Esprits, sont aussi représentées par des animaux, et même par de pareils animaux auxquels elles sont semblables, c'est pour cela qu'on n'entendait pas autre chose, quand on s'exprimait ainsi.

Dans la Parole, partout où les bêtes sont nommées, soit en général, soit en particulier, il n'est pas non plus entendu autre chose ; toute la Parole prophétique est pleine de semblables expressions, aussi quiconque ignore ce que signifie chaque bête en particulier ne peut jamais comprendre ce que contient la Parole dans le sens interne. Mais, comme il a été dit ci-dessus, il y a des bêtes de deux genres, les mauvaises parce qu'elles sont nuisibles, les bonnes parce qu'elles sont inoffensives ; par les bonnes, telles que les brebis, les agneaux, les colombes, sont signifiées les bonnes affections ; ici, parce qu'il s'agit du céleste ou de l'homme céleste-spirituel, il en est de même. Que les Bêtes en général signifient les affections, c'est ce qui a déjà été confirmé par plusieurs passages de la Parole, voir numéros 45, 46, de sorte qu'il n'est pas besoin de le confirmer davantage.

  
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