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Exode第26章:27

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27 Pareillement [tu feras] cinq barres, pour les ais de l'autre côté du pavillon; et cinq barres pour les ais du côté du pavillon, pour le fond, vers le côté de l'Occident.

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Arcanes Célestes#9671

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9671. D'hyacinthe et de pourpre, et d'écarlate double-teint, et de fin lin tissu, signifie les biens de l'amour et de la foi conjoints là : on le voit parla signification de l'hyacinthe, en ce que c'est le céleste amour du vrai, numéro 9466 ; par la signification de la pourpre, en ce que c'est le céleste amour du bien, numéro 9467 ; par la signification de l'écarlate double-teint, en ce que c'est le bien spirituel, numéros 4922, 9468 ; et parla signification du fin lin tissu, en ce que c'est le vrai d'origine céleste, numéro 9469 ; il est donc évident que ces quatre choses signifient les biens de l'amour et de la foi conjoints dans le médium unissant. Voici ce qui a lieu à ce sujet : Ceux qui dans le ciel ont rapport avec le médium unissant, qui est représenté par le voile, ont les biens de l'amour et les biens de la foi conjoints en eux ; en effet, par les biens de l'amour ils sont conjoints aux anges célestes qui sont dans le ciel intime, et par les biens de la foi ils sont conjoints aux anges spirituels qui sont dans le ciel moyen, car le bien de l'amour envers le Seigneur est appelé bien céleste, et le bien de la foi en Lui est appelé bien spirituel. Ceux qui dans le ciel ont rapport avec le médium unissant sont appelés célestes-spirituels et spirituels-célestes, les célestes-spirituels sont repré-sentés dans la Parole par Joseph, et les spirituel-célestes par Benjamin ; on a vu, ci-dessus, que Joseph dans le sens représentatif est le céleste-spirituel, numéros 4286, 4592, 4063, 5249, 5307, 5331, 5332, 5417, 5869, 5877, 6224, 6526 ; et Benjamin le spirituel-céleste, numéros 3969, 4592 ; et qu'ainsi Joseph est le médium unissant interne, et Benjamin le médium unissant externe, numéros 4585, 4592, 4594, 5411, 5413, 5443, 5639, 5686, 5688, 5689, 5822 ; ce que c'est que le céleste-spirituel et le spirituel-céleste, on le voit, numéros 1577, 1824, 2184, 4585, 4592, 4594. Et même d'après les opposés, qui sont dans les enfers, on connaît quelle différence il y a entre les célestes et les spirituels dans les Cieux ; (tons les enfers ceux qui sont opposés aux célestes sont appelés génies, et ceux qui là sont opposés aux spirituels sont appelés esprits : les génies, qui sont opposés aux célestes, sont par derrière ; les esprits, qui sont opposés aux spirituels, sont par devant ; et les intermédiaires sont sur les côtés ; les génies, parce qu'ils sont opposés aux célestes, sont dans un mal plus intérieur que les esprits ; voir ce qui a été dit d'après l'expérience sur les uns et les autres, numéros 5977, 8593, 8622, 8625. L'enfer des génies a été entièrement séparé de l'enfer des esprits, au point que ceux qui sont dans l'un ne peuvent passer dans l'autre : en effet, il y a là des intermédiaires qui conjoignent, lesquels sont opposés aux intermédiaires dans les cieux.

  
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Arcanes Célestes#4063

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4063. Il entendit les paroles des fils de Laban, disant, signifie les vrais du bien signifié par Laban, tels qu'ils étaient respectivement au bien acquis par suite dans le Naturel par le Seigneur ; On le voit par la signification des fils, en ce qu'ils sont les vrais, numéro 489, 491, 533, 1147, 2623, 3337 ; et par la représentation de Laban, en ce qu'il est le bien collatéral de la souche commune, numéro 3612, 3665, 3778, ainsi ce bien qui sert à introduire les biens et les vrais réels, numéro 3974, 3982, 3986 (fin). ; ici qui a servi, car il s'agit de sa séparation ; Jacob entendit les paroles, enveloppe dans le sens interne tels qu'ils étaient respectivement au bien acquis dans le Naturel par le Seigneur, comme on peut le voir par ce qui suit, car c'étaient des paroles d'indignation, et ils disaient que Jacob avait pris tout ce qui était à leur père, et Jacob vit que les faces de Laban n'étaient pas comme avant-hier ; que Jacob représente le Naturel du Seigneur, et dans le Chapitre précédent le bien du vrai dans ce naturel, on le voit numéro 3659, 3669, 3677, 3775, 3829, 4009. Ce qu'il en est du bien signifié par Laban respectivement au bien du vrai qui est représenté par Jacob, on peut le voir d'après ce qui a été dit et expliqué dans le Chapitre précédent ; cela peut être illustré davantage par les états de la régénération de l'homme, dont il s'agit aussi ici dans le sens représentatif : Quand l'homme est régénéré, il est tenu par le Seigneur dans un certain bien moyen ; ce bien sert à introduire les biens et les vrais réels, mais après que ces biens et ces vrais ont été introduits, il en est alors séparé ; quiconque a quelque connaissance de la régénération et de l'homme nouveau, peut comprendre que l'homme nouveau est absolument autre que le vieil homme ; en effet, l'homme nouveau est dans l'affection des choses spirituelles et célestes, car ces choses font ses plaisirs et ses béatitudes, mais le vieil homme est dans les affections des choses mondaines et terrestres, et ces choses font ses plaisirs et ses charmes ; l'homme nouveau regarde donc les fins dans le ciel, tandis que le vieil homme regarde les uns dans le monde ; de là il est bien évident que l'homme nouveau est tout autre que le vieil homme et tout différent. Pour que l'homme soit conduit de l'état du vieil homme dans l'état de l'homme nouveau, les concupiscences du monde doivent être dépouillées, et les affections du ciel doivent être revêtues ; cela se fait par d'innombrables moyens qui sont connus du Seigneur Seul, et dont plusieurs aussi sont connus des Anges d'après le Seigneur, mais l'homme en connaît peu s'il en connaît ; et néanmoins tous et chacun de ces moyens ont été manifestés dans le sens interne de la Parole ; c'est pourquoi, quand l'homme de vieil homme devient homme nouveau, , c'est-à-dire, quand l'homme est régénéré, cela se fait non pas en un moment, comme quelques-uns le croient, mais en plusieurs années, et même pendant toute la vie de l'homme jusqu'à son dernier instant ; en effet, il faut que ses concupiscences soient extirpées, que les affections célestes soient insinuées, et que l'homme soit gratifié d'une vie qu'il n'a point eue auparavant, et dont il a même auparavant à peine eu quelque connaissance ; puis donc que les états de sa vie doivent subir de si grands changements, il est absolument impossible qu'il ne soit pas tenu longtemps dans un certain bien moyen, savoir, dans un bien qui participe autant des affections du monde que des affections du ciel, et s'il n'est pas tenu dans ce bien moyen, il n'admet jamais les biens et les vrais célestes ; c'est ce bien, savoir, le bien moyen, qui est signifié par Laban et par son troupeau ; toutefois, l'homme n'est tenu dans ce bien moyeu que pendant le temps nécessaire pour qu'il serve à cet usage, mais quand ce bien a servi, il est séparé ; c'est de cette séparation qu'il s'agit dans ce Chapitre : qu'il y ait un bien moyen, et qu'après avoir servi à l'usage il soit séparé, c'est ce qui peut être illustré par les changements d'état que chaque homme subit depuis l'enfance jusqu'à la vieillesse ; il est bien connu que autre est l'état de l'homme dans son enfance, autre dans le second âge de son enfance, autre dans sa jeunesse, autre dans son âge adulte, et autre dans sa vieillesse ; il est de même bien connu que l'homme dépouille l'état de l'enfance avec ses jouets, quand il passe dans l'état du second âge de l'enfance ; qu'il dépouille l'état du second âge de l'enfance, quand il passe dans l'état de la jeunesse ; et aussi celui-ci, quand il passe dans l'état de l'âge adulte ; et enfin celui-ci, quand il passe dans l'état de la vieillesse ; et si l'homme réfléchit, il peut connaître aussi que chaque âge à ses plaisirs, et que c'est par eux qu'il est successivement introduit dans ceux qui appartiennent à l'âge suivant, et que ces plaisirs lui ont servi pour y parvenir et arriver enfin au plaisir de l'intelligence et de la sagesse dans l'Age sénile ; par là on voit clairement que les plaisirs antérieurs sont toujours abandonnés quand un nouvel état de vie est revêtu ; mais cette comparaison peut seulement servir à faire connaître qu'il y a des plaisirs moyens, et que ces plaisirs sont abandonnés, quand l'homme entre dans l'état suivant ; mais quand l'homme est régénéré, son état devient entièrement autre que le pr@©cédent, et il est conduit à ce nouvel état par le Seigneur, non d'une manière naturelle, mais d'une manière surnaturelle ; et personne ne parvient à cet état que par des moyens de régénération, auxquels pourvoit le Seigneur Seul, ainsi par le bien moyen, dont il a été parlé ; et quand l'homme a été conduit à cet état, au point d'avoir pour fin non plus les choses mondaines, terrestres et corporelles, mais celles qui appartiennent au ciel, alors ce bien moyen est séparé ; avoir pour fin une chose, c'est l'aimer plus que toute autre.

  
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