圣经文本

 

Exode第9章:1

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1 L'Eternel dit à Moïse: Va vers Pharaon, et tu lui diras: Ainsi parle L'Eternel, le Dieu des Hébreux: Laisse aller mon peuple, afin qu'il me serve.

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Arcanes Célestes#7605

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7605. Et le froment et l'épeautre, signifie le bien du naturel intérieur et le vrai de ce naturel : on le voit par la signification du froment, en ce que c'est le bien de l'amour et de la charité ; numéro 3941 ; et comme le froment est plus noble que l'orge, c'est le bien du naturel intérieur ; et par la signification de l'épeautre, en ce que c'est le vrai du naturel intérieur, correspondant au bien qui est signifié par le froment ; que l'épeautre soit ce vrai, on peut le voir en ce que dans la Parole, lorsqu'il est parlé du bien, il est aussi parlé du vrai, et cela pour le mariage céleste qui est celui du bien et du vrai dans toutes les parties de la Parole, et dans le sens suprême pour l'union du Divin Même et du Divin Humain dans le Seigneur, union à laquelle correspond le mariage du Bien et du Vrai dans le Ciel ; que le Seigneur Lui-Même quant au Divin Même et au Divin Humain soit ainsi intimement dans la Parole, on le voit, numéros 683, 793, 801, 2173, 2516, 2618, 2712, 2803, 3132, 4138 (fin). 5502, 6179, 6343. De là il est évident que l'épeautre signifie le vrai correspondant au bien qui est signifié par le froment.

  
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Arcanes Célestes#801

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801. D'après la description de ces Antédiluviens, on peut voir quel a été le style des Très-Anciens, et par suite quel est le style prophétique ; ici, et jusqu'à la fin de ce Chapitre, ils sont décrits ; ils le sont, dans ce Verset, quant à leurs persuasions, et dans le Vers. 23, quant à leurs cupidités ; c'est-à-dire, d'abord quant à l'état de leurs intellectuels, puis quant à l'état de leurs volontaires ; et, quoiqu'il n'y eut chez eux ni intellectuels ni volontaires, on doit néanmoins nommer ainsi les choses opposées, telles que les persuasions du faux, qui ne sont rien moins que des choses d'entendement ; on doit les nommer ainsi, parce qu'elles sont des choses de pensée et de raisonnement ; il en est de même des cupidités, qui ne sont rien moins que des choses de volonté : ils sont décrits, dis-je, d'abord quant aux persuasions du faux, puis quant aux cupidités ; c'est là la cause des répétitions qu'on trouve dans ce Vers. 21 et dans le Vers. 23, mais dans un ordre différent : tel est aussi le style prophétique. Cela vient de ce qu'il y a chez l'homme deux vies qui sont très-distinctes entre elles, l'une des intellectuels, l'autre des volontaires : l'homme subsiste par l'une et par l'autre, et, quoiqu'elles soient aujourd'hui séparées chez l'homme, elles influent cependant l'une dans l'autre, et le plus souvent elles s'unissent. Il y aurait bien des moyens de constater et de montrer même jusqu'à l'évidence que ces deux vies s'unissent, et comment elles s'unissent. L'homme donc consistant en ces deux parties, l'entendement et la volonté, et l'une influant dans l'autre, c'est pourquoi, quand l'homme est décrit dans la Parole, il est décrit d'une manière distincte quant à l'une et à l'autre de ces parties, ce qui est la cause des répétitions ; autrement la description serait incomplète. Il en est de même d'une chose quelconque, car il en est de la chose absolument comme du sujet ; en effet, les choses dépendent des sujets, puisqu'elles sortent des sujets ; toute chose séparée de son sujet ou de sa substance est une chose de néant. Voilà pourquoi, dans la Parole, les choses sont également décrites quant à l'une et à l'autre partie ; c'est ainsi que la description de chaque chose est complète.

  
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