Ang Bibliya

 

Exode 24:6

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6 Et Moïse prit la moitié du sang, et le mit dans des bassins, et répandit l'autre moitié sur l'autel.

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Arcanes Célestes # 9399

Pag-aralan ang Sipi na ito

  
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9399. Et prit Moïse le sang, et il le répandit sur le peuple, signifie l'adaptation pour qu'il soit reçu par l'homme : on le voit par la signification du sang du sacrifice, en ce que c'est le Divin Vrai procédant du Seigneur, numéro 9393 ; et par la signification de répandre sur le peuple, en ce que c'est l'adaptation pour qu'il soit reçu par l'homme, car répandre signifie influer, ainsi adapter ; en effet, le Divin Vrai, qui procède du Seigneur, influe continuellement chez l'homme, et fait son intellectuel ; et, si on le veut croire, l'homme, sans un continuel influx du Divin Vrai procédant du Seigneur, ne peut absolument rien percevoir ni rien comprendre ; car le Divin Vrai procédant du Seigneur est la lumière qui éclaire le mental de l'homme, et fait la vue interne qui est l'entendement ; et comme cette Lumière influe continuellement, c'est pour cela qu'elle adapte chacun pour qu'il reçoive ; or ceux qui reçoivent sont ceux qui sont dans le bien de la vie, et ceux qui ne reçoivent pas sont ceux qui sont dans le mal de la vie ; mais néanmoins ceux-ci sont, comme ceux-là, dans la faculté de percevoir et de comprendre, et aussi dans la faculté de recevoir en tant qu'ils renoncent aux maux : voilà ce qui a été signifié par la moitié du sang que Moïse répandit sur le peuple. Que le Divin Vrai procédant du Seigneur soit la Lumière qui éclaire le mental de l'homme et fait sa vue interne, qui est l'entendement, on le voit, numéros 2776, 3167, 3195, 3636, 3643, 3993, 4405, 5400, 8644, 8707 ; cela aussi est entendu dans Jean :

« Elle était la Lumière véritable qui éclaire tout homme venant dans le monde ; dans le monde elle était, et le monde par Elle a été fait ; mais le monde ne L'a point connue. » - ;

Là, il s'agit de la Parole, qui est le Divin Vrai procédant du Seigneur. Que dans le monde tout homme, qui est d'une raison saine, soit dans la faculté de comprendre le Vrai Divin, et par suite dans la faculté de le recevoir, en tant qu'il renonce aux maux, c'est ce qu'il m'a été donné de savoir par un grand nombre d'expériences ; en effet, tous, en quelque nombre qu'ils soient, dans l'autre vie, tant les méchants que les bons, peuvent comprendre ce que c'est que le vrai et ce que c'est que le faux, et aussi ce que c'est que le bien et ce que c'est que le mal ; mais les méchants, quoiqu'ils comprennent le vrai et le bien, ne veulent pas néanmoins comprendre ; car la volonté résiste, et dans la volonté est le mal ; c'est pourquoi, lorsqu'ils ont été laissés à eux-mêmes, ils retombent toujours dans les faux de leur mal, et ont en aversion le vrai et le bien qu'ils avaient compris ; il en avait été de même pour eux quand ils étaient dans le monde ; ils avaient repoussé loin d'eux les vrais, que cependant ils avaient pu comprendre : par là j'ai vu clairement que le Divin Vrai procédant du Seigneur influe continuellement dans les mentals humains, et les dispose à recevoir, et qu'il n'est reçu qu'autant qu'on renonce aux maux qui appartiennent aux amours de soi et du monde.

  
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Arcanes Célestes # 4405

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4405. Si le Sens de la vue correspond a l'affection de comprendre et d'être sage, c'est parce que la vue du corps correspond entièrement à la vue de son esprit, ainsi à l'entendement : en effet, il y a deux Lumières, l'une qui appartient au monde vient du soleil, l'autre qui appartient au Ciel vient du Seigneur ; dans la lumière du monde il n'y a rien de l'intelligence, mais dans la lumière du Ciel il y a l'intelligence ; de là autant chez l'homme les choses qui appartiennent à la lumière du monde sont éclairées par celles qui appartiennent à la lumière du Ciel, autant l'homme comprend et est sage ; ainsi, en tant qu'elles correspondent.

  
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