Ang Bibliya

 

Genèse 31:11

pag-aaral

       

11 Et l'ange de Dieu me dit en songe: Jacob! Je répondis: Me voici!

Mula sa Mga gawa ni Swedenborg

 

Arcanes Célestes # 4184

Pag-aralan ang Sipi na ito

  
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4184. Et répondit Laban, et il dit à Jacob, signifie l'état obscur de la perception : on le voit par la signification de répondre et de dire, en ce que c'est la perception ; que dire, dans les historiques de la Parole, ce soit percevoir, on le voit, numéro 1898, 1919, 2080, 2862, 3509, 3395 ; que ce soit l'état obscur de la perception, cela est évident d'après ce que Laban dit ici, savoir, que les filles, les fils et le troupeau lui appartenaient, lorsque cependant ils ne lui appartenaient point ; et, dans le sens interne, en ce que le bien moyen s'attribuait tous les biens et tous les vrais ; à l'égard de ce qui est dit par Laban, voir ci-dessus, numéro 3974, 4113.

  
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Mula sa Mga gawa ni Swedenborg

 

Arcanes Célestes # 4113

Pag-aralan ang Sipi na ito

  
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4113. En ce qu'il ne lui annonça point qu'il s'enfuyait, lui signifie par la séparation, on peut le voir sans explication. Par ces paroles, Jacob déroba le cœur de Laban l'Araméen en ce qu'il ne lui annonça point qu'il s'enfuyait, il est entendu, dans le sens historique, que Jacob priva Laban de l'espoir de posséder toutes les choses qui appartenaient à Jacob, et le réduisit à un état d'angoisse : en effet, Laban croyait, parce que Jacob était à son service, que toutes les choses qui étaient à Jacob devenaient les siennes, non seulement les femmes de Jacob ses filles, et les fils qui en étaient nés, mais aussi ses troupeaux, selon la loi connue même dans ce temps, et aussi reçue, dont il est parlé dans Moïse :

« Si tu achètes un esclave Hébreu, six ans il servira, et au septième il sortira libre gratuitement ; si son maître lui a donné une femme, et qu'elle lui ait enfanté des fils et des filles, la femme et ses enfants seront à son maître, et lui sortira avec son corps. Exode 21:2, 4 ; que Laban ait pensé cela, c'est ce qu'on voit clairement par les paroles de Jacob dans la suite de ce Chapitre :

« N'eût été que le Dieu de mon père, le Dieu d'Abraham, et la frayeur de Isaac, était pour moi, que maintenant à vide tu m'aurais congédié, » Vers. 42 ; et par la réponse de Laban :

« Et répondit Laban, et il dit à Jacob : Ces filles (sont) mes filles, et ces fils mes fils, et ce troupeau mon troupeau, et tout ce que tu vois, à moi cela ; » Vers. 43, ne considérant point que Jacob n'avait été ni un serviteur acheté, ni même un serviteur, et qu'il était d'une famille plus noble que lui, et que C'était pour récompense qu'il avait reçu et ses femmes et son troupeau, qu'ainsi cette loi ne concernait pas Jacob ; maintenant, parce que Jacob, en fuyant, privait Laban de cet espoir, et par suite le réduisait en un état d'angoisse, il est dit qu'il déroba le cœur de Laban l'Araméen, en ce qu'il ne lui annonça point qu'il s'enfuyait ; » mais dans le sens interne ces paroles signifient le changement de l'état signifié par Laban quant au bien par la séparation : sur le changement de l'état par la séparation, voir ce qui vient d'être dit, numéro 4111.

  
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