Ang Bibliya

 

Exode 9:8

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8 L'Eternel dit à Moïse et à Aaron: Remplissez vos mains de cendre de fournaise, et que Moïse la jette vers le ciel, sous les yeux de Pharaon.

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Arcanes Célestes # 7605

Pag-aralan ang Sipi na ito

  
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7605. Et le froment et l'épeautre, signifie le bien du naturel intérieur et le vrai de ce naturel : on le voit par la signification du froment, en ce que c'est le bien de l'amour et de la charité ; numéro 3941 ; et comme le froment est plus noble que l'orge, c'est le bien du naturel intérieur ; et par la signification de l'épeautre, en ce que c'est le vrai du naturel intérieur, correspondant au bien qui est signifié par le froment ; que l'épeautre soit ce vrai, on peut le voir en ce que dans la Parole, lorsqu'il est parlé du bien, il est aussi parlé du vrai, et cela pour le mariage céleste qui est celui du bien et du vrai dans toutes les parties de la Parole, et dans le sens suprême pour l'union du Divin Même et du Divin Humain dans le Seigneur, union à laquelle correspond le mariage du Bien et du Vrai dans le Ciel ; que le Seigneur Lui-Même quant au Divin Même et au Divin Humain soit ainsi intimement dans la Parole, on le voit, numéros 683, 793, 801, 2173, 2516, 2618, 2712, 2803, 3132, 4138 (fin). 5502, 6179, 6343. De là il est évident que l'épeautre signifie le vrai correspondant au bien qui est signifié par le froment.

  
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Arcanes Célestes # 1408

Pag-aralan ang Sipi na ito

  
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1408. Ces choses et les snivantes se sont historiquement passées telles qu'elles ont été écrites ; mais les historiques sont des représentatifs, tous les mots sont des significatifs : c'est ainsi qu'il en est de tous les Historiques de la Parole, non-seulement dans les Livres de Moïse, mais aussi dans ceux de Josué, des Juges, de Samuel et des Rois, dans lesquels sans exception il n'y a que l'historique qui apparaisse ; mais quoique l'historique soit dans le sens de la lettre, toujours est-il qu'il y a dans le sens interne des arcanes du ciel qui y demeurent profondement cachés, arcanes qui ne peuvent nullement être vus tant que le mental est retenu avec l'oeil dans les historiques, et qui ne se révèlent que lorsque le mental s'éloigne du sens de la lettre. Il en est de la Parole du Seigneur comme d'un corps où est une âme vivante ; les choses qui appartiennent à l'âme ne se manifestent point tant que le mental est attaché aux choses corporelles, au point que l'homme croit à peine avoir une âme, et croit encore moins qu'elle doive vivre après la mort ; mais dès qu'il s'éloigne des choses corporelles, celles qui appartiennent à l'âme et à la vie se manifestent : c'est là aussi la raison pour laquelle il faut non-seulement que les choses corporelles meurent, avant que l'homme puissse naître de nouveau ou se régénérer, rnais meme que le corps meure avant que l'homme puisse venir dans le ciel et voir les choses célestes. Il en est de même de la Parole du Seigneur : ses corporels sont les choses qui appartiennent au sens de la lettre ; quand le mental y est retenu, les internes ne sont nullement vus ; mais quand ces corporels sont comme morts, les internes se présentent de ce moment à la vue. Toutefois les choses qui appartiennent au sens de la lettre sont semblables à celles qui sont chez l'homme dans son corps, savoir, aux scientifiques de la mémoire, qui viennent des sensuels, et qui sont les vases communs dans lesquels sont les intérieurs ou les internes. De là on peut savoir qu'autre chose sont les vases, et autre chose les essentiels qui sont dans les vases : les vases sont naturels, les essentiels contenus dans les vases sont spirituels et célestes. De même aussi les historiques de la Parole, ainsi que chacun des mots dans la Parole, sont les vases communs, naturels et même matériels, dans lesquels sont les spirituels et les célestes : ces spirituels et ces célestes ne viennent jamais à la vue que par le sens interne. Chacun peut reconnaître cette vérité, par cela seul qu'il y a dans la Parole bien des choses qui sont selon les apparences et même selon les illusions des sens, par exemple, quand il est dit que le Seigneur se met en colère, punit, maudit, tue et fait d'autres actions semblables, lorsque cependant dans le sens interne c'est l'opposé qui est signifié, c'est-à-dire que jamais le Seigneur ne se met en colère ni ne punit, et qu'a plus forte raison jamais il ne maudit ni ne tue : toutefois ceux qui, dans la simplicité du coeur, croient la Parole comme ils la comprennent dans la lettre, n'éprouvent pour cela aucun dommage, lorsqu'ils vivent dans la charité ; cela vient de ce que la Parole n'enseigne autre chose que de vivre dans la charité avec le prochain et d'aimer le Seigneur par-dessus toutes choses ; ceux qui font cela ont les internes chez eux, et par conséquent les illusions qu'ils ont tirées du sens de la lettre se dissipent facilement.

  
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