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Osée 11:9

പഠനം

       

9 Je n'exécuterai point l'ardeur de ma colère, je ne retournerai point à détruire Ephraïm; car je suis le [Dieu] Fort, et non pas un homme; je suis le Saint au milieu de toi, et je n'entrerai point dans la ville.

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Arcanes Célestes #4964

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4964. Fut descendu en Egypte, signifie vers les scientifiques qui appartiennent à l'Eglise : on le voit par la signification de l'Egypte, en ce qu'elle est la science, ou le scientifique dans le commun, numéros 1164, 1165, 1186, 1462 ; mais quel était ce scientifique, qui est particulièrement signifié par l'Egypte ? c'est ce qui n'a pas encore été expliqué.

Dans l'Ancienne Eglise il y a eu des Doctrinaux, et il y a eu aussi des Scientifiques ; les Doctrinaux traitaient de l'Amour envers Dieu et de la charité à l'égard du prochain, et les Scientifiques traitaient des correspondances du monde naturel avec le monde spirituel, et des Représentatifs des spirituels et des célestes dans les naturels et dans les terrestres ; ce furent là les Scientifiques de ceux qui étaient dans l'Eglise Ancienne : l'Egypte fut du nombre des régions et des royaumes où exista aussi l'Ancienne Eglise, numéros 1238, 2385 ; mais comme les scientifiques y étaient principalement enseignés, c'est pour cela que l'Egypte signifie le Scientifique en général ; et c'est aussi pour cela que dans la Parole prophétique il est si souvent question de l'Egypte, et par l'Egypte il y est spécialement entendu un tel scientifique ; la magie Egyptienne a elle-même tiré de là son origine, car les Egyptiens ont connu les correspondances du monde naturel avec le monde spirituel, et ensuite, après que l'Eglise eut cessé chez eux, ils ont abusé de ces correspondances, en les appliquant à des opérations magiques. Maintenant, comme y a eu chez eux de tels scientifiques, à savoir, qui enseignaient les Correspondances, et aussi les Représentatifs, et comme les uns et les autres servaient aux doctrinaux de l'Eglise, surtout pour comprendre les choses qui avaient été dites dans leur parole, Dans l'Ancienne Eglise il y avait une parole tant Prophétique qu'Historique, semblable à notre parole, mais autre, ainsi qu'on le voit numéro 2686, -c'est de là que par il fut descendu en Egypte, il est signifié vers les scientifiques qui appartiennent à l'Eglise. Comme le Seigneur est représenté par Joseph, et qu'ici il est dit que Joseph fut descendu en Egypte, il est signifié que le Seigneur, quand il glorifiait son Homme Interne, c'est-à-dire, quand il le faisait Divin, s'est d'abord imbu des scientifiques de l'Eglise, et que d'après eux et par eux il s'est progressivement avancé vers les intérieurs qui l'étaient de plus en plus, et enfin jusqu'aux Divins, car il lui a plu de Se glorifier Lui-Même ou de se faire Lui-Même Divin, en suivant l'ordre selon lequel il régénère l'homme ou le fait spirituel, numéros 3138, 3212, 3286, 3490, 4402, à savoir, en le conduisant des externes, qui sont les scientifiques et les vrais de la foi, successivement vers les internes, qui appartiennent à la charité à l'égard du prochain et à l'amour envers le Seigneur. Par là on voit clairement ce qui est signifié par ces paroles dans Osée :

« lorsqu'enfant (était) Israël, alors je l'ai aimé, et de l'Egypte j'ai appelé mon fils. » Osée 11:1, -paroles qui ont été dites du Seigneur, voir Matthieu 2:15.

  
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Arcanes Célestes #2385

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2385. Et ils se fatiguèrent à trouver l'entrée, signifie au point qu'ils ne pouvaient voir aucun vrai qui conduisit au bien : cela est évident par la signification de l'Entrée, en ce qu'elle est l'introduction et l'accès, et en ce qu'elle est le vrai même, parce que celui-ci introduit vers le bien, numéro 2356. Mais ici l'Entrée signifie les connaissances qui introduisent vers le vrai, car l'entrée, comme il a été dit ci-dessus, numéro 2356, était devant la maison ; en effet, il est dit que Loth sortit à l'entrée et ferma la porte derrière lui, Vers. 6. De là, se fatiguer à trouver l'entrée, c'est ne voir aucun vrai qui conduisit au bien. Tels deviennent, surtout dans les derniers temps, ceux qui par le raisonnement rejettent les doctrinaux, et ne croient rien, à moins qu'ils n'aient d'abord compris ; la vie du mal influe alors continuellement dans leur rationnel, et elle y répand une sorte de lueur trompeuse provenant du feu des affections du mal, et fait qu'ils voient les faux comme vrais, comme ceux qui dans une lueur nocturne voient fantômes ; ensuite ces mêmes faux sont confirmés par beaucoup de choses et deviennent des doctrinaux ; ainsi sont les doctrinaux de ceux qui disent que la vie, appartenant à l'affection, ne fait rien ; mais que la foi, appartenant à la pensée, fait tout : chacun peut connaître que chaque principe, quel qu'il soit, une fois adopté, fût-il le faux même, peut être confirmé par d'innombrables moyens, et se présenter ainsi dans la forme externe comme s'il était le vrai même : de là les hérésies dont on ne se retire jamais quand elles ont été une fois confirmées ; mais d'un faux principe il ne découle que des faux, et si quelques vrais y ont été mêlés, toujours est-il qu'ils deviennent des vrais falsifiés, lorsqu'ils servent à confirmer le principe faux, parce qu'ils ont été souillés par l'essence du principe : il en est tout autrement, si le vrai même est pris pour principe, et si ce principe est confirmé, par exemple, que l'amour pour le Seigneur et la charité envers le prochain sont deux vrais, dont dépend toute la loi, et desquels parlent tous les prophètes, et que ces vrais sont ainsi les essentiels de toute doctrine et de tout culte, alors le mental serait éclairé par les vérités innombrables qui sont dans la Parole, lesquelles autrement se trouvent cachées dans l'obscur du principe faux ; et même alors les hérésies seraient dissipées ; et de plusieurs Églises il s'en formerait une seule, quelque différence : qu'il y eut dans les doctrinaux qui eu découleraient ou qui y conduiraient, et quelque différence qu'il y eut aussi entre les rites ; telle a été l'Eglise Ancienne qui s'était étendue sur plusieurs Royaumes, savoir, sur l'Assyrie, la Mésopotamie, la Syrie, l'Ethiopie, l'Arabie, la Libye, l'Egypte, la Palestine jusqu'à Tyr et à Sidon, sur la terre de Canaan en deçà et au-delà du Jourdain ; chez ces peuples les doctrinaux et les rites différaient, mais néanmoins l'Église était une, parce que la Charité était pour eux l'essentiel ; et alors le Royaume, du Seigneur était sur la terre comme dans les Cieux, car tel est le Ciel, Voir numéros 684, 690. S'il en était ainsi. Ions les hommes seraient gouvernés par le Seigneur comme un seul homme, car ils seraient comme les membres et les organes d'un même corps, lesquels, bien qu'ils ne soient pas d'une semblable foi nie et n'aient pas une semblable fonction, se réfèrent toujours à un seul cœur dont il dépendent tous tant en général qu'en particulier dans leur forme qui partout est variée ; alors chacun dirait, dans quelque doctrine et dans quelque culte externe qu'il fut ; celui-ci est mon frère ; je vois qu'il adore le Seigneur et qu'il est bon.

  
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