聖書

 

Jérémie 51:3

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3 Qu'on bande l'arc contre celui qui bande son arc, et contre celui qui se confie en sa cuirasse; et n'épargnez point ses gens d'élite, exterminez à la façon de l'interdit toute son armée;

スウェーデンボルグの著作から

 

Arcanes Célestes#10042

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10042. Et l'un des béliers lu prendras, signifie le bien de l'innocence dans l'homme interne : on le voit par la signification du bélier, en ce qu'il est le bien de l'innocence dans l'homme interne, ainsi qu'il va être montré. Comme dans ce Chapitre il s'agit de sacrifices et d'holocaustes de béliers et d'agneaux, il sera dit ce qu'ont signifié les animaux en général qui étaient offerts en sacrifices et en holocaustes : ces animaux étaient des Bœufs, des Taureaux, des Boucs, des Béliers, des Chèvres et des Chevreaux, des Agneaux, des Agnelles, et des Chevrettes de chèvres : celui qui ne sait pas ce que ces animaux signifient ne peut nullement savoir ce que signifient les Sacrifices et les Holocaustes faits avec chacune de ces espèces ; il faut qu'on sache que tous les animaux, qui sont dans les terres, signifient des choses qui sont chez l'homme, lesquelles se réfèrent en général aux affections qui appartiennent à sa volonté, et aux pensées qui appartiennent à son entendement, ainsi aux biens et aux vrais, car les biens appartiennent à la volonté, elles vrais appartiennent à l'entendement ; et comme elles se réfèrent aux biens et aux vrais, elles se réfèrent aussi à l'amour et à la foi, car toutes .les choses qui appartiennent à l'amour sont appelées biens, et toutes celles qui appartiennent à la foi sont appelées vrais. Si les animaux de divers genre signifient de telles choses, cela tire son origine des représentatifs dans l'autre vie ; là apparaissent des animaux de plusieurs genres et d'espèces innombrables ; ces animaux y sont des apparences tout-à-fait frappantes (ad vivum) correspondant aux affections et aux pensées qui sont chez les Esprits et chez les Anges : qu'il en soit ainsi, on peut môme le voir par les visions prophétiques rapportées çà et là dans la Parole ; en effet, toutes les choses qui ont été vues par les prophètes sont de celles qui apparaissent devant les anges dans le ciel : c'est de là qu'il est si souvent parlé de bêtes dans la Parole, et que cha- » que bête signifie quelque chose qui se réfère à des affections ou à des pensées qui sont chez l'homme ; l'homme, quant à son homme externe, n'est autre chose qu'un animal, mais il en est distingué par son homme interne, en ce que son homme interne et son homme externe peuvent être élevés vers le ciel et jusqu'à Dieu, et par suite recevoir la foi et l'amour ; de là vient que des bêtes ont été employées dans les sacrifices et dans les holocaustes : celui qui ne sait pas ces choses ne peut nullement savoir pourquoi il a été ordonné d'offrir tantôt des Taureaux, des Béliers, des Agneaux, tantôt des Bœufs, des Chèvres et des Agnelles, tantôt des Boucs, des Chevreaux et des Chevrettes de chèvres ; autrement, à quoi bon tout cela ? Que les bêtes dans la Parole signifient les biens et les maux chez l'homme, comme aussi les vrais et les faux, on le voit, numéros 142, 143, 246, 714, 715, 776, 1823, 2179, 2180, 2781, 3218, 3519, 5198, 7523, 7872, 9090 ; et que ce soit à cause de cela qu'elles ont été employées dans les sacrifices, on le voit, numéros 1823, 2180, 2805, 2807, 2830, [Il manque du texte ici], , 923, 2165, 6905, 8680, 8936 ; que l'autel a été le principal représentatif du Seigneur, et par conséquent du culte, numéros 2777, 2811, 8935, 8940, 9388, 9389, 9714, 9964 ; que les Anciens avant Éber n'ont rien connu des sacrifices, numéro 2180 ; que depuis Éber, ainsi chez la nation des Hébreux, et par suite chez les descendants de Jacob, les sacrifices ont été institués, et pourquoi, numéros 1128, 1343, 2180, 2818 ; que les Sacrifices ont été non pas commandés mais permis, numéro 2180. 2, [Il manque du texte ici], ; ; , ,Lévitique , , Lévitique 5:6, 10, 13, 16, 18, , 19, 15:30, , ;

Le pardon des péchés, l'expiation, la propitiation, et la rédemption, ne sont pas non plus autre chose que la purification des maux et des faux, l'implantation du bien et du vrai, et leur conjonction, ainsi la régénération, numéros 9076, 9452, 9453, 9454, 9937, 9938 ; tout procédé de la Régénération est aussi décrit par chacun des rites de chaque Sacrifice et de chaque Holocauste, et se manifeste quand les représentatifs sont développés par le sens interne, numéro 10022. (2 bis.) Les Sacrifices et les Holocaustes dans le sens suprême signifient la Glorification de l'Humain du Seigneur : c'est parce que tous les rites du culte institués chez la Nation Israélite et Juive regardaient uniquement le Seigneur ; ainsi Le regardaient principalement les Sacrifices et les Holocaustes qui en général représentaient le tout du culte, comme il a été montré ci-dessus ; la Régénération de l'homme ne vient pas non plus d'autre part que du Seigneur, numéros 9506, 9715, 9486, 9487, 9809, 10019 ; c'est pourquoi, lorsque dans la Parole il s'agit de la régénération de l'homme, dans le sens suprême il s'agit de la glorification de l'Humain du Seigneur ; caria régénération de l'homme est l'image de la glorification du Seigneur, numéros 3138, 3212, 3296, 3490, 4402, 5688 ; Glorifier l'Humain, c'est le faire Divin ; régénérer l'homme, c'est le faire céleste, afin que le Divin du Seigneur puisse habiter en lui. , [Il manque du texte ici], 9992, 10005, 10017 ; et que pour être régénéré, l'homme doive être régénéré quant aux internes et quant aux externes, on le voit dans les articles cités, numéro 9325 (fin). Quant à ce qui est spécialement signifié par le Sacrifice et l'Holocauste du bélier, dont il s'agit dans ce Chapitre, on le voit par les passages de la Parole, où les sacrifices et les holocaustes du bélier sont décrits, et où le bélier est nommé ; d'après ces passages, il est évident que le bélier signifie le bien de l'innocence et de la charité dans l'homme interne, et que le sacrifice et l'holocauste du bélier signifient la purification et la régénération de l'homme interne, ainsi l'implantation du bien de l'innocence et de la charité dans cet homme ; que ce soit là ce qui est signifié par le bélier, on le voit par les passages suivants ; dans Ésaïe :

« Tous les troupeaux de l'Arabie seront rassemblés pour toi, les béliers de Nébajoth seront à Ion service ; ils monteront à mon bon plaisir sur mon autel. » - Ésaïe 6.

Là, il s'agit du Seigneur, de son Ciel et de son Église ; les troupeaux de l'Arabie sont tous les biens de l'homme interne ; les béliers de Nébajoth sont les biens de l'innocence et de la charité dans cet homme ; on peut voir que les troupeaux sont les biens de l'homme interne, numéros 8937, 9135 ; que l'Arabie, c'est où est le bien, numéro 3268 ; et que Nébajoth, ce sont ceux qui dans l'homme interne sont dans ce bien, numéro ' 3268, 3686, 3688.

Dans Ézéchiel :

« L'Arabie et tous » les princes de Kédar, les marchands de ta main en petit bétail, et en béliers et en boucs. » - Ézéchiel 27:21.

Là, il s'agit de Tyr, par laquelle est signifiée l'Église où sont les connaissances du bien et du vrai, numéro 1201 ; les marchands sont ceux qui ont ces connaissances et qui les communiquent, numéros 2967, 4453 ; le petit bétail, ce sont les biens de l'amour ; les béliers sont les biens de la charité, et les boucs sont les biens de la foi ; dans la Parole il est parlé de menu bétail (grèges), de petit bétail (pecora), et de bétail (pecudes), qui dans la Langue originale sont distingués par leurs noms ; et par le menu bétail sost signifiés en général les internes, par le bétail les externes spécialement, et par te petit bétail les intimes spécialement ; mais par le gros bétail (armenta) sont signifiés les externes.

Dans Jérémie :

« Je les ferai descendre comme le petit bétail à la tuerie, comme les béliers avec les boucs. » - Jérémie 51:41.

Le petit bétail, les béliers et les boucs signifient ici les mêmes choses.

Dans Ézéchiel :

« Ainsi a dit le Seigneur Jéhovah : Voici, Moi, je juge entre bétail et bétail, entre les béliers et les boucs. " - Ézéchiel 34:17 ;

Entre bétail et bétail, c'est entre ceux qui dans les intérieurs sont bons, et ceux qui sont mauvais ; entre les béliers et les boucs, c'est entre ceux qui sont dans la charité et par suite dans la foi, et ceux qui son dans les vrais de la foi sans la charité ; les béliers signifient ici la même chose que les brebis, car les béliers sont les mâles des brebis ; que les brebis soient ceux qui sont dans la charité et par suite dans la foi, on le voit, numéros 4169, 4809 ; et que les boucs soient ceux qui sont dans les vrais, appelés vrais de la foi, sans la charité, on le voit, numéros 4169 (fin), 4769 ; les mêmes choses sont signifiées par le bélier et le bouc, dans Daniel 8 ; et aussi par les brebis et les boucs, dans Matthieu 25:32.

Dans Moïse :

« Si une âme a péché par erreur, elle apportera son délit à Jéhovah, un bélier sans défaut d'entre le menu bétail. " - Lévitique 5:15, 18, ;

Les sacrifices du bélier signifient la purification de l'homme interne et l'implantation du bien de l'innocence dans cet homme, car le péché par erreur est le péché provenant de l'ignorance dans laquelle est l'innocence, et l'innocence de l'ignorance appartient à l'homme interne.

Dans le Même :

« Dans les Nouvelles Lunes on offrait deux taureaux, un bélier et sept agneaux, et ensuite un bouc de chèvres. Pareillement chacun des jours de la Pâque : et pareillement le jour des prémices. » - Nombres 22:6, 15, 19, 22, 27 ;

C'était pour que fût représentée la purification de tout l'homme, tant de l'externe que de l'interne et de l'intime ; par le sacrifice et l'holocauste des taureaux, la purification de l'homme externe ; par celui du bélier, la purification de l'homme interne ; et par ceux des agneaux, la purification de l'homme intime ; et comme la purification était représentée, l'implantation du bien de l'innocence l'était aussi, car le taureau est le bien de l'innocence dans l'homme externe, le bélier dans l'homme interne, et l'agneau dans l'homme intime, ainsi qu'il a été dit ci-dessus ; si le bouc était sacrifié le dernier de tous, c'est parce que le bouc signifie le vrai de la foi dans l'homme externe, et que le vrai de la foi dans cet homme est le dernier, numéro 9959. Gomme les biens et les vrais chez l'homme se suivent dans cet ordre, c'est pour cela aussi que les présents des princes d'Israël, quand on oignait l'autel et la Tente de convention, étaient un Taureau, un Bélier et un Agneau en holocaustes, et un Bouc de chèvres en sacrifice, - Nombres , [Il manque du texte ici],

  
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スウェーデンボルグの著作から

 

Arcanes Célestes#3986

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3986. Et l'a béni Jéhovah à mon pied, signifie par le Divin qui est dans le, naturel : on le voit par la signification de Jéhovah bénissant, en ce que c'est être gratifié du bien, numéro 3406, et en ce que c'est la conjonction, numéros 3504, 3514, 3530, 3565, 3584 ; ainsi Jéhovah bénissant, c'est être gratifié du bien Divin par la conjonction, ici avec le bien du Naturel qui est représenté par Jacob : c'est le Naturel qui est signifié par le pied : que le pied soit le Naturel, on le voit numéros 2162, 3147, 3761, et on le verra en outre par la Correspondance du Très-Grand Homme avec chacune des parties de l'homme à la fin des Chapitres ; il est donc évident que ces paroles : T'a béni Jéhovah à mon pied, signifient par le Divin qui est dans le Naturel. L'arcane qui est caché dans ces paroles, et dans celles qui précèdent immédiatement, est connu de peu de personnes, si toutefois il l'est de quelqu'un, il faut donc le révéler : Les Biens qui sont chez les hommes, tant au dedans de l'Eglise que hors de l'Eglise, sont entièrement différents, et tellement différents, que le bien d'un homme n'est nullement semblable au bien d'un autre ; les Variétés existent par les vrais avec lesquels les biens sont conjoints, car tout bien à sa qualité par les vrais, et les vrais ont leur essentiel par les biens : les variétés existent aussi par les affections qui appartiennent à l'amour de chacun, lesquelles sont enracinées dans l'homme et appropriées à l'homme par sa vie ; il y a chez l'homme, même au dedans de l'Eglise, peu de vrais réels, et moins encore chez l'homme hors de l'Eglise, ainsi il y a rarement des affections du vrai réel ; mais néanmoins ceux qui sont dans le bien de la vie, ou qui vivent dans l'amour pour Dieu et dans le bien de la charité envers le prochain, sont sauvés ; s'ils peuvent être sauvés, cela vient de ce que le Divin du Seigneur est dans le bien de l'amour pour Dieu et dans le bien de la charité envers le prochain ; et où est le Divin, là toutes choses sont disposées en ordre, pour qu'elles puissent être conjointes avec les biens réels et les vrais réels qui sont dans les Cieux que cela soit ainsi, on peut le voir par les sociétés qui constituent le Ciel, elles sont innombrables, et sont toutes, en général et en particulier, différentes quant au bien et au vrai, mais néanmoins prises ensemble elles forment Un seul Ciel ; il en est de ces sociétés comme des membres et des organes du corps humain ; quoiqu'ils soient partout différents, ils constituent néanmoins un seul homme ; en effet, il n'est jamais constitué d'unité, avec plusieurs unités, par des unités qui soient les mêmes ou absolument semblables, mais une unité est formée d'unités différentes harmonieusement conjointes, les unités différentes harmonieusement conjointes présentent un seul tout ; il en est de même des biens et des vrais dans le monde spirituel ; quoiqu'ils soient différents, au point qu'il n'y en a pas d'absolument semblables chez l'un et chez l'autre, néanmoins ils font un par le Divin au moyen de l'amour et de la charité, car l'amour et la charité constituent la conjonction spirituelle ; leur variété est l'harmonie céleste qui établit un tel accord, qu'ils sont un dans le Divin, c'est-à-dire, dans le Seigneur. En outre, le bien de l'amour pour Dieu et le bien de la charité envers le prochain, quelque différents que soient les vrais, et quelque différentes que soient les affections du vrai, sont néanmoins propres à recevoir le vrai et te bien réels ; car, s'il est permis de parler ainsi, ils ne sont ni durs ni susceptibles de résistance, mais ils sont quasi mous et prêts à céder ; en effet, ceux qui sont dans ces biens se laissent conduire par le Seigneur, et conséquemment ployer vers le bien et par le bien vers le Seigneur ; il en est autrement de ceux qui sont dans l'amour de soi et dans l'amour du monde, ils ne se laissent pas conduire par le Seigneur ni ployer vers le Seigneur, mais ils résistent durement, car ils veulent se conduire eux-mêmes ; et encore plus, quand ces mêmes hommes sont dans des principes confirmés du faux ; tant qu'ils sont tels, ils n'admettent pas le Divin. Maintenant, d'après ces explications, on peut voir ce qui est signifié, dans le sens interne, par ces paroles que Jacob adressa à Laban ; en effet, Laban signifie un tel bien, qui n'est pas réel parce que les vrais réels n'y ont point été implantés, mais qui néanmoins est tel, que ces vrais peuvent être conjoints avec lui, et que le Divin peut être en lui ; ce bien a coutume d'être chez les enfants du Second âge, avant qu'ils aient reçu les vrais réels ; et il est tel qu'est aussi le bien chez les simples, au dedans de l'Eglise, qui savent peu de vrais de la foi, mais qui cependant vivent dans la charité ; et tel qu'est encore le bien chez les Nations probes, qui sont dans un culte saint pour leurs Dieux : par un tel bien les vrais et les biens réels peuvent être introduits, comme on peut le voir par ce qui a été dit sur les enfants et les simples au dedans de l'Eglise, numéro 3690, et sur les nations probes hors de l'Eglise, numéros 2598, 2599, 2600, 2601, 2602, 2603.

  
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