Ze Swedenborgových děl

 

Scriptural Confirmations # 51

  
/ 101  
  

51. 23. (This city [Jerusalem] shall be devastated so that there is no inhabitant (Jer. 26:9). This city shall become a devastation (Jeremiah 27:17).)

That great day there is none like it, a time of trouble (Jeremiah 30:7).

Behold the tempest of the anger of Jehovah shall go forth, a tempest rushing upon the head of the impious. In the latter days ye shall understand it (Jeremiah 30:23-24).

(Jerusalem and the cities of Judah are a desolation, nor is there an inhabitant in them (Jeremiah 44:2, 6, 22).)

(Because of the day that cometh to lay waste all the Philistines (Jeremiah 47:4). Throughout the chapter the vastation of the Philistines is treated of, who are those that are in some understanding of truth but not in the will of good, whence there is profanation of the truth by falsities, as with those who are in faith alone.)

(Of the vastation of those who adulterate the goods of the Word and the church, who are described by Moab: of their vastation the whole chapter treats (Jeremiah 48). And there vastation, desolation and visitation are mentioned (verses 1, 3, 8-9, 15, 20, 32, 34), visitation (verse 44). Again, of the desolation of those who adulterate the truths of the church; who is the man of Edom (49:7-22). Vastation and desolation are named (49:10, 13, 17, 20). Moreover, of those who falsify truths, who are the sons of Ammon, Damascus and Elam (Jeremiah 49, particularly verses 2-3 seq.).

Of those who vastate the church by the love of self and the love of dominion, who are Babel (Jeremiah 50:1 to the end), where in particular vastation and desolation are named (verses 3, 13, 23, 27, 45).

(Of the vastation of the Word and the church by Babel, throughout the chapter (Jeremiah 51) where vastation and desolation in particular are named and described (verses 26, 29, 41, 43, 48, 53, 55-56, 62).

Everywhere in the prophets vastation and desolation are described by the sword, famine, and pestilence. By the "sword" is meant falsity, by "famine" the loss of truth and good, by "pestilence" the evil of that life; they are also called the "slain" and many times it is said they are without bread and water, as in Ezekiel 11:6-7, and elsewhere.

  
/ 101  
  

Thanks to the Swedenborg Foundation for their permission to use this translation.

Ze Swedenborgových děl

 

Arcanes Célestes # 2913

Prostudujte si tuto pasáž

  
/ 10837  
  

2913. Et il parla aux fils de Cheth, en disant, signifie, ceux chez qui est suscitée une nouvelle Eglise spirituelle : on peut le voir par la signification de Cheth et de Chittéen : il y a eu plusieurs habitants de la terre de Canaan, il eu est parlé çà et là dans la Parole, et parmi eux étaient les Chittéens, voir Exode 3:8, 17; Exode 13:5; Deutéronome 7:1; Josué 3:10 ; Josué 11:1, 3 ; Josué 12:8 ; Josué 24:11. 1 Rois 9:20, et ailleurs ; la plupart d'entre eux furent de l'Ancienne Eglise, qui s'était étendue dans plusieurs terres, et aussi dans la terre de Canaan, Voir numéros 1238, 2385 : tous ceux qui furent de cette Église reconnurent pour principal la charité ; et tous leurs doctrinaux concernaient la charité ou la vie ; ceux qui cultivaient les doctrinaux de la foi étaient appelés Canaanites, et ils étaient séparés des autres habitants de la terre de Canaan, Nombres 13:20, Voir numéros 1062, 1063, 1076 ; entre les meilleurs des habitants de la terre de Canaan étaient les Chittéens, ce qu'on peut même conclure de ce qu'Abraham habita parmi eux, et plus tard Isaac et Jacob, et de ce que ceux-ci eurent leur sépulture chez eux, enfin de ce que ces Chittéens se comportèrent avec humanité et modestie envers Abraham, comme on le voit clairement par ce qui est rapporté d'eux dans ce Chapitre, surtout dans les Vers. 5, 6, 10, 11, 14, 15 ; de là vient que l'Église spirituelle, ou le vrai de l'Eglise, est représenté et signifié par eux, comme nation probe ; mais il leur arriva comme à tous les autres de l'Église Ancienne, par succession de temps ils se séparèrent de la charité ou du bien de la foi, c'est de là que dans la suite le faux de l'Église est signifié par eux, comme dans Ézéchiel 16:3, 45, et ailleurs ; que néanmoins les Chittéens fussent au nombre des hommes les plus honorés, c'est ce qu'on peut voir en ce qu'il y avait des Chittéens auprès de David, par exemple Abimélech, 1 Samuel 26:6 ; et Uriah le Chittéen, [Il manque du texte ici], dont l'épouse était Bathshéba, de laquelle David eut Salomon. 2 Samuel 12:24 : que Cheth signifie les connaissances extérieures qui concernent la vie, lesquelles sont les vrais externes de l'Eglise Spirituelle, on le voit numéro 1203. Dans ce Verset, il s'agit de la nouvelle Eglise que le Seigneur instaure quand la précédente expire ; et dans les suivants il est question de la foi chez ceux de la nouvelle Eglise ; il ne s'agit pas de quelque Eglise chez les fils de Cheth, mais il s'agit dans le commun du rétablissement de l'Eglise spirituelle par le Seigneur, après que l'Eglise précédente est tombée ou est consommée ; les fils de Cheth sont seulement ceux qui représentent et signifient. Voir ce qui a été dit précédemment au sujet des Eglises, savoir ; que l'Eglise par succession de temps décline et se corrompt, numéros 494, 501, 1327, 2422 ; que l'Eglise s'éloigne de la charité, et produit des maux et des faux, numéros 1834, 1835 ; qu'elle est alors appelée Eglise dévastée et désolée, numéros , 2243 ; que l'Eglise est instaurée chez les nations, pourquoi, numéro 1366 ; que dans l'Eglise qui est dévastée il est toujours conservé quelque chose de l'Eglise comme noyau, numéros 468, 637, 931, 2422 ; que s'il n'y avait pas une Eglise sur le globe, le Genre humain périrait, ibid. ; que l'Eglise est comme le cœur et le poumon dans un très grand corps, c'est-à-dire, dans le genre humain, numéros 637, 931, 2054, 2853 ; quelle est l'Eglise spirituelle, numéros 765, 2669 ; que c'est la Charité, et non la foi séparée, qui constitue l'Eglise, numéros 809, 916 ; que l'Eglise serait une, si dans toutes il y avait la charité, quand bien même toutes différeraient quand aux doctrinaux et aux cultes, numéros 1285, 1316, 1798, 1799, 1834, 1844, 2385 ; que dans les terres tous les hommes qui sont dans l'Eglise du Seigneur, quoique dispersés sur le globe, font néanmoins comme un seul homme, comme dans les cieux, numéro 2853 ; que toute Eglise est Interne et Externe, et que l'Interne et l'Externe ensemble la constituent une, numéros 409, 1083, 1098, 1100, 1242 ; que Eglise Externe n'est rien, s'il n'y a pas en elle l'Eglise Interne, numéro 1795 ; que l'Eglise est comparée au lever et au coucher du soleil, aux saisons de l'année et aux temps du jour, numéro 1837 ; que le jugement dernier est le dernier temps de l'Eglise, numéro 900, 931, 1850, 2117, 2118.

  
/ 10837  
  

Ze Swedenborgových děl

 

Arcanes Célestes # 1285

Prostudujte si tuto pasáž

  
/ 10837  
  

1285. Il y eut dans toute la terre une seule lèvre signifie qu'il y avait partout une même doctrine dans le commun : c'est ce que prouve la signification de la lèvre dans la Parole, ainsi qu'on le verra bientôt dans ce qui suit. Dans ce verset, et par ce peu de paroles, est décrit l'état de l'Eglise Ancienne, tel qu'il avait été, c'est-à-dire qu'il y avait eu une même doctrine en général. Mais dans le verset suivant il est dit comment on commença à faire des falsifications et des adultérations ; et ensuite jusqu'au verset 9, comment l'Eglise fut entièrement pervertie, au point qu'il n'y eut plus de culte interne. Aussitôt après il s'agit de la Seconde Eglise Ancienne qui commença à Eber ; et enfin de la Troisième, qui fut le commencement de l'Eglise Judaïque ; car, après le déluge il y eut successivement trois Eglises. Quant à ce qui regarde la Première Eglise Ancienne, si en elle, quoiqu'elle ait été très-répandue sur le globe, il n'y avait néanmoins qu'une seule lèvre et les mêmes paroles, c'est-à-dire une même doctrine dans le commun et dans le particulier, lorsque cependant les cultes tant internes qu'externes étaient partout différents, comme je l'ai montré dans le Chapitre précédent, où chaque nation qui s'y trouve nommée signifie une doctrine différente et un rite différent, voici ce qu'il en est : Il y a dans le Ciel des sociétés innombrables et différent toutes entre elles, mais néanmoins ne faisant qu'un ; car toutes sont conduites comme une unité par le Seigneur, - Voir ci-dessus, numéros 457, 351, 684, 685, 690.

Et il en est de cela comme de l'homme ; quoiqu'il y ait dans l'homme tant de viscères et tant de parties viscérales dans ces viscères, tant d'organes et de membres dont l'un agit d'une manière différente de l'autre, néanmoins tous sont en général et en particulier dirigés, comme un, par une seule Ame : ou bien il en est de cela comme du corps ou les activités des forces et des mouvements, quoique différentes, sont néanmoins dirigées par le seul mouvement du cœur et par le seul mouvement du poumon, et ne font qu'un. Si ces sociétés peuvent ainsi agir en unité, cela vient de ce que, dans le Ciel, il y a un influx unique que chacun reçoit selon son génie ; c'est un influx d'affections qui précédent du Seigneur, de sa Miséricorde et de sa Vie, et, quoique cet influx soit unique, cependant tout obéit et marche comme ne faisant qu'un, et cela, par l'amour mutuel dans lequel sont les habitants du Ciel. C'est ainsi qu'il en a été de la Première Eglise Ancienne ; quoiqu'il y ait eu autant de Cultes internes et externes, qu'il y avait de genres de nations, qu'il y avait d'espèces de familles composant les nations, et qu'il y avait en particulier d'hommes de l'Eglise, néanmoins il avaient tous une seule lèvre et les mêmes paroles, c'est-à-dire qu'ils avaient tous une même doctrine dans le commun et dans le particulier. Il y a une même doctrine, quand tous sont dans l'amour mutuel ou dans la charité : l'amour mutuel et la charité font que toutes choses sont un, quoiqu'elles soient variées ; car c'est de la variété que se forme l'unité ; tous, quel que soit leur nombre, fut-il composé de myriades de myriades, s'ils sont dans la charité ou l'amour mutuel, tous ont une même fin, savoir le bien commun, le Règne du Seigneur et le Seigneur Lui-même. Les variétés des points de doctrine et des cultes sont, ainsi que je l'ai dit, comme les variétés des sens et des viscères dans l'homme, variétés qui contribuent à la perfection du tout, car alors le Seigneur influe et opère de diverses manières par la charité suivant le génie de chacun, et dispose ainsi dans l'ordre, sur la terre comme dans le Ciel, toutes ses créatures en général et en particulier. C'est alors que la volonté du Seigneur, comme le Seigneur l'enseigne Lui-même, se fait sur les terres comme dans les cieux.

  
/ 10837