Bible

 

Jérémie 51:55

Studie

       

55 Parce que l'Eternel s'en va détruire Babylone, et il abolira du milieu d'elle la voix magnifique, et leurs flots bruiront comme de grosses eaux, l'éclat de leur bruit retentira.

Ze Swedenborgových děl

 

Scriptural Confirmations # 4

  
/ 101  
  

4. 2. The Son of God (Romans 1:3-4).

Called after Jesus Christ, Christians (Romans 1:6) through the faith of Jesus Christ (Romans 3:22).

Faith in Christ. Through Jesus Christ we have peace toward God, and to God we have access by faith into this grace, and we glory in the hope of the glory of God (Romans 5:1-2).

By Jesus Christ were we reconciled to God (Romans 5:10,11).

As by one man sin entered into the world, so by the justice of one are we justified (Romans 5:12, 13, 15, 18-19).

There is no condemnation to them which are in Christ Jesus, who walk not after the flesh, but after the Spirit, in order that the justification of the law might be fulfilled in us, who walk not after the flesh, but after the spirit (Romans 8:1-4). Christ is at the right hand of God, who also maketh intercession for us (Romans 8:34).

Who shall separate us from the love of Christ? Shall tribulation, distress, hunger, death, angels, principalities, height, depth, etc. (Romans 8:35-39)?

From the fathers Christ is according to the flesh, who is over all; God blessed forever. Amen (Romans 9:5).

Whosoever shall call upon the name of the Lord, shall be saved (Romans 10:13).

We are one body in Christ; all are members having different gifts according to grace (Romans 12:5-6). The gifts which belong to different members are enumerated in a long series (verses 6, 13).

Put ye on the Lord Jesus Christ (Romans 13:14).

Whether we live, we live in the Lord; whether we die, we die in the Lord; therefore, whether we live or die, we are the Lord's. For to this end Christ both died and rose and lived again that He might be Lord both of the dead and of the living (Romans 14:8-9).

It is written, I live, saith the Lord, for every knee shall bow to Me, and every tongue shall confess to God (Romans 14:11). Isaiah saith, there shall be a root of Jesse, and He that shall rise to rule over the nations; in Him shall the nations hope (Romans 15:12).

The Gospel of Christ (Romans 15:19-21).

Chosen and tried in the Lord, in Christ: to work and labor in the Lord (Romans 16:8-13).

  
/ 101  
  

Thanks to the Swedenborg Foundation for their permission to use this translation.

Ze Swedenborgových děl

 

Arcanes Célestes # 1906

Prostudujte si tuto pasáž

  
/ 10837  
  

1906. A la fin de dix années qu'Abram habitait dans la terre de Canaan, signifie les reliquiae du bien et du vrai provenant du bien que le Seigneur s'était acquises : et par lesquelles ce rationnel fut conçu : cela est constant d'après la signification de dix, en ce que ce nombre désigne les Reliquiae, voir ci-dessus, numéro 576, il a été dit et expliqué, numéros 488, 530, 560, 561, 660, 661, 798, 1050, ce que c'est que les Reliquiae, c'est-à-dire, que ce sont tous les états d'affection du bien et du vrai, dont l'homme est gratifié par le Seigneur, depuis la première enfance jusqu'à la fin de la vie ; ces états sont serrés en lui pour l'usage de sa vie après la mort ; car tous les états de sa vie reviennent successivement dans l'autre vie, et alors ces états sont tempérés par les états du bien et du vrai dont le Seigneur l'a gratifié : c'est pourquoi, plus il a, dans la vie du corps, reçu de Reliquiae, ou reçu de bien et de vrai, plus ses autres totals se présentent agréables et beaux, quand ils reviennent. Chacun, pour peu qu'il y réfléchisse, peut voir clairement que cela doit être ainsi : quand l'homme naît, il n'a de soi-même rien de ce qui appartient au bien, mais il a été tout entier souillé du mal héréditaire, néanmoins en lui influe tout bien, par exemple, en ce qu'il aime ses parents, ses nourrices, ses semblables, et cela d'après l'innocence ; ce sont là des biens qui influent du Seigneur par le Ciel de l'innocence et de la paix, c'est-à-dire, par le Ciel intime, et ainsi l'homme en est imbu, quand il est dans le premier âge de l'enfance ; plus tard, quand il grandit, le bien, l'innocence et cette paix de l'enfance, se retirent peu à peu ; et autant il est introduit dans le monde, autant il l'est dans les voluptés qui en proviennent, dans les cupidités, par conséquent dans les maux, et autant les célestes ou les biens de l'âge enfantin commencent à être séparés ; mais ils restent toujours, et par eux sont tempérés les états dont ensuite l'homme se revêt et qu'il s'acquiert ; sans eux l'homme ne peut nullement être homme ; car les états des cupidités ou du mal seraient plus atroces que ceux de tout animal, s'ils n'étaient pas tempérés par les états de l'affection du bien ; ces états du bien sont ce qu'on nomme les Reliquiae données par le Seigneur et implantées dans le caractère de l'homme, et cela quand l'homme ne le sait pas. Dans l'âge suivant, l'homme est aussi gratifié de nouvelles Reliquiae, mais ces états ne sont pas de même des états du bien, ce sont des états du vrai ; car lorsqu'il grandit il est imbu de vrais, et ces vrais sont pareillement serrés chez lui dans son homme Intérieur ; par ces Reliquiae qui appartiennent au Vrai, et qui sont nées de l'influx des spirituels procédant du Seigneur, l'homme à la faculté de penser et aussi de comprendre ce que c'est que le bien et le vrai de la vie civile et morale, et en outre de recevoir le vrai spirituel ou le vrai de la foi, mais il ne peut recevoir ce vrai que par les Reliquiae du bien dont il a été gratifié dans le premier âge de l'enfance. Qu'il y ait des Reliquiae, et qu'elles soient serrées chez l'homme dans son rationnel intérieur, c'est ce que l'homme ignore absolument, par la raison qu'il pense que rien n'influe ; mais que tout est quelque chose de naturel, né avec lui, et qu'ainsi tout est en lui quand il est enfant, tandis que la chose se passe cependant d'une manière tout-à-fait opposée. Dans la Parole, il s'agit çà et là des Reliquiae (ou restes), et par elles sont signifiés ces états par lesquels l'homme devient homme, et cela, par le Seigneur seul. Mais les Reliquiae qui étaient chez le Seigneur furent tous les états Divins qu'il s'est acquis à Lui-Même, et par lesquels il a uni l'Essence Humaine à l'Essence Divine ; elles ne peuvent pas être mises en comparaison avec les Reliquiae chez l'homme, car celles-ci sont humaines et non pas divines : ces Reliquiae du Seigneur sont ce qui est signifié par les dix années qu'Abram habita dans la terre de Canaan. Quand les Anges entendent la Parole, ils ne savent pas ce que c'est que Dix, mais aussitôt que ce nombre est nommé par l'homme, l'idée des Reliquiae se présente à eux ; car, dans la Parole, le nombre dix et les dîmes signifient les Reliquiae, comme on le voit d'après ce qui a été dit et exposé, numéros 576, 1738 ; et quand ils perçoivent que ce fut à la fin de dix années qu'Abram habita dans la terre de Canaan, leur idée se porte sur le Seigneur et en même temps sur les choses innombrables qui sont signifiées par les Reliquiae chez le Seigneur, lorsqu'il était dans le monde.

  
/ 10837