Bible

 

Jérémie 51:53

Studie

       

53 Quand Babylone serait montée jusqu'aux cieux, et qu'elle aurait fortifié le plus haut de sa forteresse, toutefois les destructeurs y entreront de par moi, dit l'Eternel.

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Scriptural Confirmations # 19

  
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19. 17. To whom will ye liken Me, to whom am I equal? saith the Holy One. Lift up your eyes on high, and behold, who hath created these things, etc. (Isaiah 40:25-26).

(My judgment is with Jehovah, and the price of My work is with my God. Then shall I be precious in the eyes of Jehovah, and my God shall be my strength. Jehovah hath forsaken me, and the Lord hath forgotten me (Isaiah 49:4-5, 14). Because of Jehovah that is faithful and the Holy One of Israel who chooseth thee [Isaiah 49:7].)

I have given Thee for a light to the nations, that Thou mayest be My salvation unto the end of the earth. I have given Thee for a covenant of the people, to restore the earth, to divide the devastated heritages; to say to the prisoners, Go forth; to them that are in darkness, Reveal. They shall feed in the ways, and their pasture shall be on all hillsides; they shall not hunger nor thirst; by the springs of water shall He lead them (Isaiah 49:6, 8-10).

(Let him trust in the name of Jehovah, and stay upon his God (Isaiah 50:10).)

Look to me ye that follow after justice, ye that seek Jehovah; look unto the rock whence ye are hewn (Isaiah 51:1). Awake, awake, put on strength, O arm of Jehovah, awake as in the days of old (Isaiah 51:9).

I will put my words in thy mouth, for the planting of the heavens, and laying the foundations of the earth (Isaiah 51:16). (My people shall know My name in that day, for I am He that doth speak: Behold, it is I. How delightful upon the mountains are the feet of Him that bringeth good tidings, that causeth to hear peace, that saith unto Zion, Thy king reigneth. Watchmen shall lift up the voice; together shall they sing when they shall see eye to eye, that Jehovah returneth to Zion (Isaiah 52:6-7).

Jehovah hath made bare the arm of His holiness in the eyes of all the nations; and all the ends of the earth have seen the salvation of our God (Isaiah 52:10).

Who hath believed our word that is heard? and upon whom hath the arm of Jehovah been revealed (Isaiah 53:1)?

(The Lord is treated of throughout the chapter, and the state of His life is described here briefly in these words. That He had no form nor honor; that He was despised and not esteemed. That He was wounded on account of our transgressions, and bruised on account of our iniquities. That Jehovah hath made to light on Him the iniquity of us all. That He was brought as a lamb to the slaughter; that He was cut off from the land of the living. That because He offered His soul as a guilt offering His days were prolonged, and that the will of Jehovah prospered by His hand, in the fact that He bore their iniquities, and for them poured out His soul even unto death. That He was numbered with the transgressors, and interceded for the transgressors (Isaiah 53:1-12).

  
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Thanks to the Swedenborg Foundation for their permission to use this translation.

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Arcanes Célestes # 4031

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4031. Et au tardif accouplement du menu bétail, il n'en plaçait point, signifie ceux qui étaient contraints : on le voit par la signification de tardif accouplement : il a été montré ci-dessus, numéro 4029, que le prompt accouplement est le spontané ou le libre ; de là, et aussi de l'enchaînement des choses dans le sens interne, il est évident que le tardif accouplement est le contraint ou le non-libre ; cela est encore évident en ce qu'ici il n'est pas dit s'échauffer, comme au sujet du prompt accouplement ; en effet, s'échauffer signifie l'affection, et là, l'ardeur de l'affection ; tout ce qui ne provient pas de l'affection, provient du non-spontané ou du non-libre, car tout ce qui est spontané ou libre appartient à l'affection ou à l'amour, numéro 2870 ; il est encore évident, par la dérivation de ce mot dans la Langue originale, que c'est un manque ; en effet, quand l'ardeur de l'affection manque, la liberté cesse/et ce qui se fait alors est dit non-libre, et enfin contraint. Que toute conjonction du vrai et du bien se fasse dans la Liberté ou d'après le Spontané, par conséquent toute réformation et toute régénération, on peut le voir par les articles cités ci-dessus, numéro 4029 ; il en résulte donc que dans le non-libre ou par le contraint il ne peut se faire aucune conjonction, ainsi aucune régénération ; ce que c'est que la liberté et d'où procède la liberté, on le voit numéros , où il a été traité de la Liberté de l'homme : celui qui ne sait pas qu'aucune conjonction du vrai et du bien, c'est-à-dire, aucune appropriation, ni par conséquent aucune régénération, ne peut se faire que dans la liberté de l'homme, celui-là, quand il raisonne sur la Providence du Seigneur, sur la salvation de l'homme, et sur la damnation d'un grand nombre d'hommes, se jette dans de pures ombres et par suite dans de graves erreurs ; en effet, il s'imagine que le Seigneur peut, s'il le veut, sauver qui que ce soit, et cela, par d'innombrables moyens, par exemple, par des miracles, par des morts qui ressusciteraient, par des révélations immédiates, par des Anges qui détourneraient des maux et pousseraient au bien par une puissante force manifeste, par plusieurs états dans lesquels, quand l'homme est introduit, il fait pénitence, et par plusieurs autres moyens ; mais il ne sait pas que tous ces moyens sont des contraintes, et que l'homme ne peut être réformé par elles, car tout ce qui contraint l'homme, ne met en lui aucune affection, et si la contrainte est telle, qu'elle lui en mette, elle se lie à l'affection du mal ; il semble, en effet, qu'elle infuse quelque chose de saint, et même elle l'infuse, mais toujours est-il que quand l'état change, l'homme revient à ses précédentes affections, savoir, aux maux et aux faux, et alors ce saint se conjoint avec les maux et les faux, et devient profane à un tel point qu'il introduit dans l'enfer le plus terrible ; car cet homme reconnaît d'abord et croit, et même il est affecté du saint, et ensuite il nie, bien plus il a en aversion ; que ceux qui profanent soient ceux qui reconnaissent de cœur, et ensuite nient, mais non ceux qui n'ont point reconnu de cœur, on le voit numéros 301, 302, 303, 571, 582, 593, 1001, 1008, 1010, 1059, 1327, 1328, 2054, 2426, 3398, 3399, 3402, 3898 ; de là vient qu'aujourd'hui il ne se fait point de miracles manifestes, mais il s'en fait qui sont non-manifestes ou qui ne sont pas remarqués, et cela, afin qu'ils n'introduisent point le saint, et n'ôtent point à l'homme la liberté ; et c'est pour cela que les morts ne ressuscitent point, et que l'homme n'est point, par des révélations immédiates ni par des Anges, détourné des maux, et porté au bien par une puissante force manifeste ; c'est dans la liberté de l'homme que le Seigneur opère, et c'est par elle qu'il le ploie ; en effet, toute liberté de l'homme appartient à son amour ou à son affection, et par conséquent à sa volonté, numéro 3158 ; s'il ne reçoit pas le bien et le vrai dans sa liberté, le bien et le vrai ne peuvent lui être appropriés ou devenir siens ; car ce à quoi il est contraint n'est pas à lui, mais est à celui qui contraint, parce qu'il ne fait pas cela de lui-même, quoique cela soit fait par lui ; il semble parfois que l'homme est contraint au bien, par exemple, dans les tentations et les combats spirituels, mais alors sa liberté est plus forte que hors des tentations, comme on le voit numéros 1937, 1947, 2884 ; il semble aussi que l'homme est contraint au bien, lorsqu'il s'y contraint lui-même ; mais autre chose est de se contraindre soi-même, et autre chose d'être contraint ; celui qui se contraint soi-même, le fait d'après la liberté qui est au dedans de lui ; mais être contraint, c'est l'être d'après la non-liberté. Puisqu'il en est ainsi, on peut voir dans quelles ombres et par suite dans quelles erreurs peuvent se jeter ceux qui raisonnent sur la Providence du Seigneur, sur la salvation de l'homme, et sur la damnation d'un grand nombre d'hommes, et qui ne savent pas que c'est par la liberté que le Seigneur opère, et nullement par la contrainte, parce que dans les choses du saint, si le saint n'est pas reçu par la liberté, la contrainte est dangereuse.

  
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