Bible

 

Jérémie 51:2

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2 Et j'enverrai contre Babylone des vanneurs qui la vanneront, et qui videront son pays; car de tous côtés ils seront venus contre elle au jour de son mal.

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Arcanes Célestes # 3449

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3449. Et Isaac leur dit : Pourquoi êtes-vous venus vers moi ? Et vous m'avez haï, et vous m'avez renvoyé d'avec vous, signifie pourquoi ils voulaient le Divin, puisqu'ils le niaient, et avaient en aversion ce qui est dans le sens interne de la Parole : on peut le voir d'après ce qui a été dit ci-dessus, Vers. 15, 16, 19, 20, 21.

  
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Arcanes Célestes # 1832

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1832. Et il ne partagea pas la volatile, signifie les spirituels, en ce qu'à leur égard il n'existe pas un tel parallélisme ni une telle correspondance on en trouve la preuve dans la signification de volaille (oiseau, en ce qu'elle est le spirituel comme on vient de le voir au verset 9, et en ce que la volaille n' pas été divisée en deux parties, et que par conséquent il n'a pas un tel parallélisme ni une telle correspondance. Les spirituels , comme il a été souvent dit, signifient toutes les choses qui appartiennent à la foi, par conséquent dans les doctrinaux, car ceux-ci sont nommés choses de foi, quoiqu'ils n'appartiennent pas à la foi, avant d'être conjoints à la charité ; entre eux et le Seigneur il n'y a point de parallélisme ni de correspondance ; ils sont tels, en effet, qu'ils n'influent pas par le dictamen interne ni par la conscience, comme ce qui appartient à l'amour et à la charité, mais ils influent au moyen de l'instruction et par conséquent au moyen de l'audition ; ainsi c'est par l'extérieur et non par l'intérieur qu'ils influent, et par conséquent chez l'homme ils forment ses vases ou ses récipients. Pour la plus grande partie, ils paraissent comme des vrais et ne sont pas des vrais ; tels sont ceux qui appartiennent au sens littéral de la Parole et sont des représentatifs du vrai et significatifs du vrai, et qui par conséquent en eux-mêmes ne sont pas non plus des vrais ; il y en a même qui sont des faux, et qui cependant peuvent servir pour vases et pour récipients. Or, chez le Seigneur il n'y a que des vrais essentiellement vrais, c'est pour cela qu'il n'y a pour ces spirituels ni parallélisme, ni correspondance ; mais toutefois ils peuvent être adaptés pour servir de vases aux célestes qui appartiennent à l'amour et à la charité ; ce sont ces spirituels qui constituent la nuée de la partie intellectuelle, dont il a été précédemment parie, et dans laquelle le Seigneur insinue la charité et fait ainsi la conscience. Par exemple, chez ceux qui restent dans le sens littéral de la Parole et pensent que c'est le Seigneur qui induit en tentation, qui tourmente ainsi la conscience de l'homme ; que c'est lui qui en permettant le mal est la cause du mal ; que c'est lui qui précipite les méchants dans l'enfer, etc. ; de tels spirituels sont des vrais apparents, mais ils ne sont pas des vrais ; et parce qu'ils ne sont pas des vrais en eux-mêmes, il n'y a pas de parallélisme ni de correspondance ; le Seigneur néanmoins les laisse entiers chez l'homme et les adapte miraculeusement par la charité, pour qu'ils puissent servir de vases aux célestes. Il en est aussi de même du culte des nations proches, de leurs doctrinaux, de leur morale et même de leurs idoles, le Seigneur les laisse pareillement en entier, et toujours est-il que par la charité il les adapte afin qu'ils servent aussi de vases. Et il en fut de même d'un très-grand nombre de rites dans l'Eglise Ancienne et par la suite dans l'Eglise Judaïque, rites qui n'étaient en eux-mêmes que des pratiques religieuses dans lesquelles il n'y avait point de vrai, et qui furent tolérés, permis et même commandés, parce qu'ils avaient été considérés par leurs ancêtres comme des saintetés, et qu'ainsi ils avaient été implantés et gravés dans leurs esprit dès leur enfance comme des vrais. Ce sont ces choses et d'autres semblables qui sont signifiées quand il est dit que les oiseaux ne furent pas partagés ; car le Seigneur laisse entières les choses qui sont une fois implantées dans l'opinion de l'homme et regardées comme saintes, pourvu qu'elles ne soient pas contre l'ordre Divin ; et quoiqu'il n'y ait ni parallélisme, ni correspondance, il les adapte ; ce sont aussi ces choses qui furent signifiées dans l'Eglise Judaïque par l'usage de ne pas diviser les oiseaux dans les sacrifices, car diviser c'est placer les parties vis-à-vis l'une de l'autre pour qu'elles correspondent exactement ; or, comme les choses dont il a été parlé ne correspondent pas d'une manière adéquate, elles disparaissent dans l'autre vie chez ceux qui se laissent instruire, et les vrais mêmes sont implantés dans les affections du bien. Que les oiseaux n'aient pas non plus été divisés dans l'Eglise Judaïque, par le motif de cette représentation et de cette signification, c'est ce qu'on voit dans Moïse :

« Si son présent à Jéhovah est un holocauste d'oiseau et il apportera des tourterelles ou des petits de colombes ; et il l'entamera avec ses ailes, mais il ne le divisera pas. » - Lévitique 1:14, 17.

Il en était de même dans les sacrifices pour le péché.

Lévitique 5:7-8.

  
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