Bible

 

Deutéronome 33:11

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11 Bénis sa force, ô Eternel! Agrée l'oeuvre de ses mains! Brise les reins de ses adversaires, Et que ses ennemis ne se relèvent plus!

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Arcanes Célestes # 9420

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9420. Et monta Moïse vers la montagne de Dieu, signifie vers le ciel : on le voit par la signification de la montagne de Sinaï, qui ici est la montagne de Dieu, en ce qu'elle est la Loi ou le Divin Vrai qui procède du Seigneur, ainsi la Parole telle qu'elle est dans le ciel, par conséquent aussi le Ciel, numéros 8399, 8753, 8793, 8805. Si la révélation a été faite sur une montagne, et si celle montagne a été appelée la montagne de Dieu, c'est parce que la Montagne signifie le céleste de l'amour, qui est le bien, et par suite le ciel, et dans le sens suprême le Seigneur, numéros 795, 796, 2722, 4210, 6435, 8327, et la Montagne de Dieu le Divin Vrai procédant du Divin Bien du Divin Amour du Seigneur, numéro 8758 ; car le Seigneur dans la Parole est appelé Dieu d'après le Divin Vrai, et Jéhovah d'après le Divin Bien, numéros 2769, 2807, 2822, 3921 (fin), 4295, 4402, 7010, 7268, 8192, 8301, 8988, 9167 ; c'est à cause de cela qu'il est dit la montagne de Dieu. Que la Montagne de Sinaï soit la Loi ou le Divin Vrai procédant du Divin bien du Seigneur, ainsi la Parole, et dans le sens suprême le Seigneur, on le voit dans David :

« La terre trembla, même les cieux se fondirent devant Dieu, ce Sinaï devant Dieu, le Dieu d'Israël. Les chars de Dieu sont des doubles myriades, des milliers d'anges de paix, le Seigneur (est) en eux, un Sinaï dans le Sanctuaire. “ - Psaumes 68:9, 18 ;

Que la terre et les cieux soient l'externe et l'interne de l'Église, on le voit, numéros 1733, 2117, 2118 (fin), 3355, 4535 ; et que le char soit la doctriné, on le voit, numéros 2760, 5321, 8146, 8148, 8215 ; déjà, les chars de Dieu sont les doctrinaux ou les vrais Divins tels qu'ils sont dans les cieux ; d'après cela, il est évident que par « ce Sinaï devant Dieu, le Dieu d'Israël, » et par « un Sinaï dans le Sanctuaire, » il est signifié la Loi ou le Divin Vrai procédant du Divin Rien du Seigneur, et dans le sens suprême le Seigneur dans le ciel. Dans le Livre des Juges :

« Jéhovah, quand tu sortis de Séir, quand tu partis du champ d'Édom, la terre trembla, même les cieux se fondirent, même les nuées se fondirent en eaux, les montagnes s'écoulèrent de devant Jéhovah, ce Sinaï de devant Jéhovah. » Juges 5:4-5 ;

Ici, Sinaï est encore le Divin Vrai procédant du Divin Rien du Seigneur. Pareillement dans Moïse :

« Jéhovah de Sinaï est venu, et il s'est levé de Séir pour eux ; il a resplendi de la montagne de Paran ; et il est venu d'entre les myriades de sainteté ; à sa droite le feu de la Loi pour eux. " - Deutéronome 33:2.

  
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Arcanes Célestes # 4210

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4210. Et sacrifia Jacob un sacrifice dans la montagne, signifie le culte d'après le bien de l'amour : on le voit par la signification du sacrifice, en ce qu'il est le culte, numéro 922, 923, 2180 ; et par la signification de la montagne, en ce qu'elle est le bien de l'amour, numéro 795, 796, 1430 : le sacrifice signifie le culte, parce que les sacrifices et les holocaustes ont été les choses principales de tout le culte dans l'Église représentative postérieure ou dans l'Église Hébraïque : on sacrifiait aussi sur les montagnes, comme on le voit encore çà et là dans la Parole, parce que les montagnes d'après la hauteur signifiaient les choses qui sont élevées, comme sont celles qui appartiennent au ciel et qui sont nommées célestes, et par suite dans le sens suprême elles signifiaient le Seigneur qu'on appelait le Très-Haut ; on croyait ainsi d'après l'apparence, car les choses qui sont intérieures apparaissent comme plus élevées, par exemple, le ciel chez l'homme ; le ciel est intérieurement en lui, et cependant l'homme s'imagine qu'il est en haut ; de là vient que le haut, quand cette expression se trouve dans la Parole, signifie dans le sens interne intérieurement ; dans le monde, on ne peut savoir autrement sinon que le ciel est en haut, tant parce qu'on nomme aussi ciel cette voûte qu'on voit de tout côté dans le haut, que parce que l'homme est dans le temps et dans un lieu, et qu'ainsi il pense d'après les idées qui proviennent de là, et aussi parce qu'il en est peu qui sachent ce que c'est que l'intérieur, et encore moins qui sachent que là il n'y a ni lieu ni temps ; de là vient que dans la Parole il a été parlé selon les idées de la pensée de l'homme ; s'il y eût été parlé non pas selon ces idées, mais selon celles des anges, l'homme n'y aurait rien perçu, mais chacun se serait demandé avec étonnement : Qu'est-ce que cela ? Est-ce bien quelque chose ? Et aurait ainsi rejeté la Parole comme une chose dans laquelle rien ne serait semblable à l'entendement.

  
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