IBhayibheli

 

Lévitique 1:3

Funda

       

3 Si son offrande pour un holocauste est de gros bétail, il offrira un mâle sans tare; il l'offrira de son bon gré, à l'entrée du Tabernacle d'assignation, devant l'Eternel.

Okususelwe Emisebenzini kaSwedenborg

 

Arcanes Célestes #10047

Funda lesi Sigaba

  
Yiya esigabeni / 10837  
  

10047. Et tu en feras aspersion sur l'autel alentour, signifie la conjonction avec le Divin Bien : on le voit par la signification du sang dont il était fait aspersion sur l'autel alentour, en ce qu'il est le Divin Vrai, numéros 10026, 10033 ; et par la représentation de l’autel, en ce que c'est le représentatif du Seigneur quant au Divin Bien, N0> 9388, 9389, 9714, 9964 ; de là, il est évident que faire aspersion du sang sur l'autel alentour, c'est unir le Divin Vrai avec le Divin Bien dans le Seigneur. Voici ce qu'il en est : et il a été dit ci-dessus que, dans ce Chapitre, il s'agit de la Glorification de l'Humain du Seigneur, et, dans le sens représentatif, de la Régénération de l'homme par le Seigneur ; quant à ce qui concerne la Glorification de l'Humain du Seigneur, elle a été faite par l'union du Divin Vrai avec le Divin Bien ; le Divin Bien, qui est Jéhovah, a été dans le Seigneur comme l'âme provenant du père dans l'homme, car il a été conçu de Jéhovah, et il a fait Divin Vrai son Humain par les Divins Moyens, principalement par les combats des tentations, et autant il a uni, autant il a glorifié, c'est-à-dire, fait Divin ; c'est cette union qui est signifiée dans le sens suprême par l'aspersion du sang autour de l'autel : que le Seigneur, pendant qu'il était dans le monde, ait fait Divin Vrai son Humain, et ait uni ce Vrai avec le1 Divin Bien qui était en Lui, et qu'ainsi il ait glorifié son Humain, on le voit dans les articles cités, numéros 9199 (fin), 9315 (fin). ; et que Jéhovah son Père soit le Divin Bien qui était en Lui, on le voit dans les articles cités, numéro 9194. Le Seigneur régénère aussi l'homme de la même manière qu'il a glorifié son Humain ; en effet, le Seigneur influe chez l'homme avec le bien par l'âme, ce qui est par le chemin interne, et avec le vrai par l'ouïe et par la vue, ce qui est par le chemin externe, et autant l'homme renonce aux maux, autant le Seigneur conjoint le bien avec le vrai, et le bien devient bien de la charité à l'égard du prochain et bien de l'amour envers Dieu, et le vrai devient vrai de la foi ; ainsi le Seigneur crée un*homme nouveau ou régénère l'homme, car la régénération de l'homme, ainsi qu'il a déjà été dit, se fait par la purification des maux et des faux, par l'implantation du bien et du vrai, et par leur conjonction ; c'est la régénération de l'homme, et dans le sens suprême la glorification du Seigneur, qui ont été représentées par les sacrifices et par les holocaustes, numéro 10022. Il faut qu'on sache que dans les Holocaustes le sang était répandu sur l'Autel alentour ; pareillement dans les sacrifices eucharistiques ; mais dans les sacrifices pour le délit et pour le péché le sang était répandu au fondement de l'autel ; l'aspersion du sang sur l'autel alentour représentait l'union du Divin Vrai et du Divin Bien en toute manière, tant dans l'homme interne que dans l'homme externe, et l'aspersion du sang au fondement de l'autel représentait l'union du Divin Vrai et du Divin Bien seulement dans l'homme externe ; chez les régénérés la conjonction se fait dans l'homme externe, selon les paroles du Seigneur dans Jean :

« Celui qui a été lavé n'a besoin que d'être lavé quant aux pieds, et net il est tout entier. » - Jean 13:9-10.

Etre lavé signifie la purification et la régénération, numéros 3147, 9089 ; ainsi celui qui a été lavé signifie celui qui a été purifié et régénéré ; et les pieds signifient le naturel ou l'externe de l'homme, numéros 2162, 3147, , 9406. Que dans les Holocaustes le sang ait été répandu sur l'autel alentour, on le voit, - Lévitique 1:5, 11.

Pareillement dans les sacrifices eucharistiques, - Lévitique 3:2, 8, 13.

Et que dans les sacrifices pour le délit et pour le péché le sang ait été répandu au fondement de l'autel, on le voit, - Lévitique 4:7, 18, 25, 30, Lévitique 5:9.

  
Yiya esigabeni / 10837  
  

Okususelwe Emisebenzini kaSwedenborg

 

Arcanes Célestes #8865

Funda lesi Sigaba

  
Yiya esigabeni / 10837  
  

8865. Ce qu'il faut entendre par l'universellement régnant, on peut le voir d'après ce qui a été dit et montré ci-dessus, numéros , à savoir, que l'universellement régnant est ce qui, chez l'homme, est dans toutes et dans chacune des choses de sa pensée, et dans toutes et dans chacune des choses de sa volonté, par conséquent ce qui constitue son mental même ou sa vie : c'est le Seigneur qui doit être ce régnant chez l'homme, car c'est le Seigneur qui est ce régnant chez les Anges dans le ciel, aussi est-il dit des Anges qu'ils sont dans le Seigneur : le Seigneur devient le régnant, quand non-seulement on croit que tout bien et tout vrai procèdent de Lui, mais qu'en outre on aime que cela soit ainsi ; les Anges sont non-seulement dans la foi, mais même dans la perception que cela est ainsi, d'où il résulte que leur vie est la vie du Seigneur en eux ; la vie de leur volonté est la vie de l'amour procédant du Seigneur, et la vie de leur entendement est la vie de la foi procédant du Seigneur ; d'après ces explications, on voit clairement ce qu'il faut entendre, quand on dit que le Seigneur est tout dans toutes les choses du ciel, et que Lui-Même est le ciel : quand le Seigneur règne universellement chez un homme de l'Église, comme chez les anges du ciel, le Seigneur est dans tous les vrais et dans tous les biens de la foi chez cet homme, comme le cœur dans tous les vaisseaux sanguins, parce que ces vaisseaux tiennent du cœur leur origine et le sang qui est leur vie. En outre il faut qu'on sache que tel est l'universel régnant dans l'homme, tels sont chez lui les esprits et les anges ; et cela, parce que l'uni-versellement régnant est l'être de la vie de chacun, numéros 8853, 8858 ; toute gaîté et tout contentement chez l'homme, même quand il pense à d'autres choses, viennent de là ; car les Anges et les esprits qui sont chez l'homme habitent et font pour ainsi dire leur demeure dans ce régnant, leur gaîté influe chez l'homme, et fait la sienne ; que la gaîté de l'homme provienne de là, c'est ce qui ne vient pas à sa perception, parce que l'homme ne sait pas que sa vie influe, ni que l'universel régnant fait sa vie, ni que, quand le régnant de la vie est touché, c'est comme lorsque la prunelle de l'œil est touchée, soit avec plaisir quand c'est par des objets beaux, soit avec douleur quand c'est par des objets laids. Il est dit l'universel, parce que c'est tout singulier dans le complexe, et qu'ainsi l'universel régnant est ce qui est dans toutes choses en général et en particulier, voir numéros 1919 (fin), 5949, 6159, 6338, 6482, 6483, 6571, 7648, 8067.

  
Yiya esigabeni / 10837