IBhayibheli

 

Jérémie 51:56

Funda

       

56 Car le destructeur est venu contre elle, contre Babylone; ses hommes forts ont été pris, et leurs arcs ont été brisés; car le [Dieu] Fort des rétributions, l'Eternel, ne manque jamais à rendre la pareille.

IBhayibheli

 

Jérémie 51:34

Funda

       

34 Nébucadnetsar Roi de Babylone, [dira Jérusalem], m'a dévorée et m'a froissée; il m'a mise dans le même état qu'un vaisseau qui ne sert de rien; il m'a engloutie comme un dragon; il a rempli son ventre de mes délices, il m'a chassée au loin.

Okususelwe Emisebenzini kaSwedenborg

 

Arcanes Célestes #5259

Funda lesi Sigaba

  
Yiya esigabeni / 10837  
  

5259. Et parla Pharaon à Joseph, signifie la pensée du céleste du spirituel d'après le naturel : on le voit d'après ce qui a été dit ci-dessus, numéro 5251, où sont des expressions semblables, excepté seulement qu'il est dit là, Pharaon dit à Joseph ; et ici, Pharaon parla à Joseph ; en effet, il dit, signifie la perception, et il parla, signifie la pensée, numéro 2271, 2287, 2619. Que par

« Pharaon parla à Joseph, » il soit signifié la pensée du céleste du spirituel d'après le naturel, et non vice versa, c'est parce que ce qui est extérieur ne pense jamais d'après soi, mais pense d'après l'intérieur ; ou, ce qui est la même chose, ce qui est inférieur ne pense que d'après le supérieur, quoique, lorsque l'intérieur ou le supérieur pense dans l'extérieur ou l'inférieur, il semble que l'extérieur ou l'inférieur pense d'après lui-même, mais c'est une illusion ; il en est de cela comme d'un homme qui voit un objet dans un miroir et ne sait pas qu'il y a là un miroir, il s'imagine que l'objet est où il paraît, et cependant il n'y est pas ; puis donc que le céleste du spirituel est l'inférieur ou le supérieur, et que le naturel est l'extérieur ou l'inférieur, il s'ensuit que, par

« Pharaon parla à Joseph, » il est signifié, dans le sens interne, la pensée du céleste du spirituel d'après le naturel. En un mot, rien de ce qui est au-dessous n'a aucun pouvoir par soi-même, mais ce qu'il peut il le tient du supérieur ; et puisqu'il en est ainsi, il s'ensuit évidemment que tout vient du suprême, c'est-à-dire, du Divin ; par conséquent si l'homme pense d'après l'entendement et agit d'après la volonté, il tient cela du Suprême ou du Divin, mais s'il pense faux et agit mal, c'est d'après la forme qu'il s'est imprimée à lui-même, tandis que s'il pense vrai et agit bien, c'est d'après la forme qu'il avait reçue du Seigneur ; on sait, en effet, qu'une seule et même puissance, qu'une seule et même force produit des mouvements divers selon les arrangements dans les milieux et dans les extrêmes, ainsi dans l'homme la vie procédant du Divin produit des pensées diverses et des actions diverses selon les formes.

  
Yiya esigabeni / 10837