IBhayibheli

 

Jérémie 51:47

Funda

       

47 C'est pourquoi voici, les jours viennent que je punirai les images taillées de Babylone, et tout son pays sera rendu honteux, et tous ses blessés à mort tomberont au milieu d'elle.

Okususelwe Emisebenzini kaSwedenborg

 

L’Apocalypse Révélée #551

Funda lesi Sigaba

  
Yiya esigabeni / 962  
  

551. Qui séduit tout le globe, signifie qu'ils pervertissent toutes les choses de l'Église. Par séduire il est signifié pervertir, et par le globe est signifiée l'Église, de même que par la terre, No. 285 : par le Globe il est signifié, non le globe de la terre, mais l'Église sur ce globe, dans les passages suivants :

— « Elle sera dans le deuil et elle sera confondue, la terre ; il languira et il sera confondu, le globe. » — Ésaïe 24:4.

— « Les terres apprendront tes jugements, et les habitants du globe ta justice. » — Ésaïe 26:9.

— « Facteur de la terre par sa vertu, disposant le globe par sa sagesse. » — Jérémie 10:12 ; 51:15.

— « Découverts ont été les fondements du globe par le souffle de ton esprit. » — Psaumes 18:16.

— « A Jéhovah la terre et sa plénitude, le globe et ceux qui y habitent ; Lui, sur les mers il l'a fondé, et sur les fleuves il l'a établi. » — Psaumes 24:1-2.

— « A Toi les deux et à Toi la terre, le globe et sa plénitude, Toi tu les as fondés. » — Psaumes 89:12.

— « Un trône de gloire il les fera hériter ; car à Jéhovah les bases de la terre, et il a disposé sur elles le globe. » — 1 Samuel 2:8.

— « Babel, tu as réduit le globe en désert ; ta terre tu as perdu ; ton peuple lu as tué. » — Ésaïe 14:17, 20 ;

— et en outre ailleurs ; par exemple, — Ésaïe 18:3 ; 26:18 ; 27:6 ; 34:1 ; Nahum 1:5 ; Psaumes 9:9 ; Psaumes 77:19 ; Psaumes 98:9 ; Lamentations 4:12 ; Job 18:18 ; 24:14 ; Luc 21:26 ; Apocalypse 16:14 :

— mais il faut qu'on sache que quand le Globe et la Terre sont nommés ensemble, par le Globe est signifiée l'Église quant au bien, et par la Terre l'Église quant au vrai.

  
Yiya esigabeni / 962  
  

Okususelwe Emisebenzini kaSwedenborg

 

Arcanes Célestes #4976

Funda lesi Sigaba

  
Yiya esigabeni / 10837  
  

4976. Et il le servait, signifie que le scientifique était approprié à son bien : on le voit par la signification de servir (ministrare), en ce que c'est être utile à quelqu'un en lui fournissant ce qui lui manque ; ici c'est être approprié, parce qu'il s'agit du bien naturel auquel le scientifique devait être approprié ; servir (minister) et le serviteur (servus) signifient le scientifique ou le vrai naturel, parce que ce vrai est subordonné au bien, comme à son seigneur : il en est du scientifique par rapport au plaisir de l'homme naturel, ou, ce qui est la même chose, il en est du vrai naturel par rapport à son bien, absolument comme il en est de l'eau par rapport au pain, ou, de la boisson par rapport à l'aliment ; l'eau ou la boisson fait que le pain et l'aliment se délaient, et qu'étant délayés ils se portent dans le sang, et par suite dans les parties du corps de tous côtés, et les nourrissent ; car, sans l'eau ou la boisson, le pain ou l'aliment ne se résout pas en parcelles, et n'est pas transporté de tous côtés pour l'usage : il en est aussi de même du scientifique par rapport au plaisir, ou du vrai par rapport au bien ; c'est pourquoi le bien souhaite et désire le vrai, et cela à cause de l'usage, afin qu'il lui fournisse son ministère et son service ; ils correspondent aussi pareillement ; l'homme dans l'autre vie se nourrit, non de quelque aliment ni de quelque boisson naturels, mais d'un aliment et d'une boisson spirituels ; l'aliment spirituel est le bien, et la boisson spirituelle est le vrai ; lors donc que dans la Parole le pain ou l'aliment est nommé, les anges entendent le pain ou l'aliment spirituel, à savoir le bien de l'amour et de la charité ; et lorsque l'eau ou la boisson est nommée, ils entendent l'eau ou la boisson spirituelle, à savoir, le vrai de la foi : par là on peut voir ce que c'est que le vrai de la foi sans le bien de la charité, et comment ce vrai sans ce bien peut nourrir l'homme interne ; c'est comme si l'homme prenait de l'eau seule ou de la boisson seule sans faire usage de pain et d'aliment ; qu'en agissant ainsi l'homme maigrisse et périsse, cela est notoire.

  
Yiya esigabeni / 10837