IBhayibheli

 

Jérémie 51:29

Funda

       

29 Et la terre en sera ébranlée, et en sera en travail, parce que tout ce que l'Eternel a pensé a été effectué contre Babylone, pour réduire le pays en désolation, tellement qu'il n'y ait personne qui [y] habite.

Okususelwe Emisebenzini kaSwedenborg

 

Arcanes Célestes #10287

Funda lesi Sigaba

  
Yiya esigabeni / 10837  
  

10287. Et qui en donnerait sur un étranger, signifie la conjonction avec ceux qui ne reconnaissent point le Seigneur, ainsi avec ceux qui sont dans les maux et dans les faux du mal : on le voit par la signification de donner sur quelqu'un, quand il s'agit des Divins vrais qui sont signifiés par l'onguent aromatique, en ce que c'est conjoindre ; et par la signification de l' étranger, en ce que c'est celui qui n'est pas de l'Église, ainsi celui qui ne reconnaît pas le Seigneur, et qui par suite est dans les maux et dans les faux ; car celui qui ne reconnaît pas le Seigneur n'est pas de l'Église ; et celui qui nie le Seigneur est dans les maux et dans les faux, puisque le bien et le vrai ne viennent, pas d'autre part que du Seigneur ; que les étrangers signifient de tels hommes, on le verra par les passages de la Parole qui vont suivre ; mais auparavant il sera dit quelque chose sur la conjonction du Divin Vrai avec ceux qui ne reconnaissent point le Seigneur : Cette conjonction est la profanation ; en effet, la profanation est la conjonction du Divin Vrai avec les faux d'après le mal ; et cette conjonction, qui est la profanation, n'existe que chez ceux qui ont d'abord reconnu les choses qui sont de l'Église, et principalement le Seigneur, et ensuite les nient, et non chez les autres ; car par la reconnaissance des vrais de l'Église et du Seigneur, il se fait une communication avec les cieux, et par suite une ouverture des intérieurs de l'homme vers le ciel ; et par le reniement ensuite il se fait une conjonction de ces mêmes intérieurs avec les faux d'après le mal ; en effet, toutes les choses que l'homme reconnaît restent implantées, car il ne périt rien de ce qui est entré chez l'homme par la reconnaissance. L'état de l'homme chez qui il y a profanation consiste en ce qu'il a communication avec les cieux et en même temps avec les enfers, avec les cieux par les vrais, et avec les enfers par les faux du mal ; de là, dans l'autre vie se fait la dilacération, d'après laquelle le tout de la vie intérieure périt ; ceux-là, après la dilacération, apparaissent à peine comme des hommes, mais ils sont comme des os brûlés dans lesquels il y a peu de vie : voir sur la profanation ce qui a déjà été dit et montré, à savoir, que ceux qui profanent sont ceux qui ont d'abord reconnu les vrais Divins, et qui ensuite les nient, numéro 1001, 1010, 1059, 2051, 3398, 4289, 4601, 6348, 6960, 6963, 6971, 8394 ; que ceux qui les ont nié dès l'enfance, comme les juifs et autres, ne profanent point, numéro 593, 1001, 1010, 1059, 3398, 3489, 6963 ; et que le Seigneur veille principalement à ce que chez l'homme la profanation ne se fasse point, numéro 301, 302, 303, 1327, 1328, 2426, 3398, 3402, 3489, 6595. Mais il faut qu'on sache qu'il y a plusieurs genres de profanations, et que chacun de ces genres a un grand nombre d'espèces ; en effet, il y a ceux qui profanent les biens de l'Église, et ceux qui profanent les vrais de l'Église ; ceux qui profanent beaucoup, et ceux qui profanent peu ; ceux qui profanent intérieurement, et ceux qui profanent extérieurement de plus en plus ; ceux qui profanent par la foi contre les vrais et les biens de l'Église, ceux qui profanent par la vie, et ceux qui profanent par le culte : de là, pour les profanateurs existent un grand nombre d'enfers, qui sont distincts entre eux selon les diversités des profanations ; les enfers des profanations du bien sont par derrière, et les enfers des profanations du vrai sont sous les pieds et sur les côtés ; ils sont plus profonds que les enfers des autres maux, et ils sont rarement ouverts. Que les étrangers soient ceux qui ne reconnaissent point le Seigneur, et ne veulent point le reconnaître, soit au dehors ou au dedans de l'Église, ainsi ceux qui sont dans les maux et dans les faux du mal, et dans le sens abstrait des personnes, les maux et les faux du mal, c'est ce qu'on voit dans la Parole d'après un grand nombre de passages : il est dit ceux qui ne reconnaissent point le Seigneur, ainsi ceux qui sont dans les maux et dans les faux du mal, parce que ceux qui ne reconnaissent point le Seigneur ne peuvent faire autrement que d'être dans les maux et dans les faux du mal, car c'est du Seigneur que procède tout bien et tout vrai du bien ; c'est pourquoi, ceux qui nient le Seigneur sont dans les maux et dans les faux du mal, selon les paroles du Seigneur dans Jean :

« Si vous ne croyez pas que Moi je suis, vous mourrez dans vos péchés. " - Jean 8:24.

Que les étrangers soient ceux-là, on le voit par ces passages ; dans Ésaïe :

« Votre terre est une solitude, vos villes ont été brûlées par le feu ; votre humus devant vous, des étrangers le dévoreront ; et il y aura une solitude comme un bouleversement par des étrangers. » - Ésaïe 1:7.

Ici par la terre il n'est pas entendu la terre, ni par les villes et l'humus, des villes et l'humus ; mais par la terre il est entendu l'Église, pareillement par l'humus, et par les villes les vrais de l'Église, appelés doctrinaux, qui sont dits avoir été brûlés par le feu, quand ils ont été consumés par les maux des amours de soi et du monde ; de là, on voit clairement ce qui est signifié par cela que

« des étrangers dévoreront l'humus, » à savoir, que les maux et les faux du mal consumeront l'Église ; et par cela que

« la terre sera une solitude ; » que la terre soit l'Église, on le voit aux articles cités, numéro 9325 ; et pareillement l'humus, numéro 566, 1068 ; il a aussi été montré que les villes sont les doctrinaux de l'Église, ainsi les vrais de l'Église, numéro 2268, 2451, 2712, 2943, 3216, 4492, 4493 ; et que le feu est le mal des amours de soi et du monde, numéro 1297, 1861, 2446, 5071, 5215, 6314, 6832, 7575, 9141.

Dans Jérémie :

« L'ignominie a couvert nos faces, quand sont venus des étrangers contre les sanctuaires de la maison de Jéhovah. " - Jérémie 51:51.

Les étrangers contre les sanctuaires de la maison de Jéhovah sont les maux et les faux du mal contre les biens et les vrais de l'Église ; on appelait étrangers ceux d'entre les nations, qui servaient dans l'Église Juive ; et par les nations de cette terre sont signifiés aussi les maux et les faux, numéro 9320.

Dans le Même :

« Tu dis : C'en est fait, non ; mais j'aimerai des étrangers, et après eux j'irai. " - Jérémie 2:25 ;

-aimer des étrangers et aller après eux, c'est aimer les maux et les faux du mal, et les adorer.

Dans Ézëchiel :

« L'épée j'amènerai sur vous, et je vous livrerai dans la main d'étrangers. » Jérémie 40:8, 9 ; amener l'épée, ce sont les faux d'après le mal qui combattent contre les vrais d'après le bien ; livrer dans la main des étrangers, c'est pour qu'ils croient et servent ces faux ; que l'épée soit le vrai qui combat contre les faux, et dans le sens opposé le faux qui combat contre les vrais, on le voit, numéro 2799, 6353, 7102, 8294.

Dans le Même :

« De la mort des incirconcis tu mourras, dans la main des étrangers. » - Jérémie 28:10.

Les incirconcis sont ceux qui sont dans les amours impurs et dans les cupidités de ces amours quant à la vie, quoiqu'ils soient dans les doctrinaux, numéro 2049, 3412, 3413, 4462, 7045, 7225 ; leur mort est la mort spirituelle ; dans la main des étrangers, c'est dans les maux mêmes et dans les faux du mal.

Dans le Même :

« Jérusalem, femme adultère ! sous son mari, elle reçoit les étrangers. » - ;

-Jérusalem, femme adultère, c'est l'Église dans laquelle le bien a été adultéré ; recevoir les étrangers, c'est reconnaître par la vie et par la doctrine les maux et les faux du mal.

Dans Joël :

« Jérusalem sera sainteté, et des étrangers ne passeront plus par elle. » - ; ici aussi Jérusalem est l'Église, mais l'Église dans laquelle le Seigneur est reconnu, et dans laquelle on vit du bien et on croit aux vrais qui procèdent du Seigneur ; des étrangers ne passeront plus par elle, c'est-à-dire que les maux et les faux du mal qui proviennent de l'enfer n'entreront point en elle.

Dans David :

« Des étrangers se sont élevés contre moi, et des violents ont cherché mon âme. » Psaumes 54:5 ; ici encore les étrangers sont les maux et les faux du mal ; les violents sont les mêmes qui font violence aux biens et aux vrais : ceux qui ne considèrent que le sens littéral de la Parole n'entendent par les étrangers que ceux qui sont hors de l'Église, et pensent que ceux-là s'élèveraient contre David, mais dans les cieux il n'entre rien de la personne, il n'y entre que les choses qui sont signifiées, numéro 8343, 8985, 9007 ; ainsi ce sont non pas les étrangers, mais au lieu des étrangers les choses étrangères, c'est-à-dire, celles qui ont été aliénées de l'Église, ainsi les maux et les faux du mal qui détruisent l'Église ; par David, contre qui ils s'élèveraient, il est aussi perçu le Seigneur, numéro 1888, 9951.

Dans Moïse :

« Il a abandonné le Dieu qui l'avait fait, et il a méprisé le rocher de son salut ; à la Jalousie ils L'ont provoqué par des étrangers.Deutéronome 32:15-16 ; abandonner Dieu et mépriser le rocher du salut, c'est nier le Seigneur ; provoquer par des étrangers, c'est par les maux et par les faux du mal ; que le Rocher soit le Seigneur quant aux vrais de la foi, on le voit, numéro 8581. En outre, ailleurs, les étrangers auesi sont les maux et les faux, par exemple, Ésaïe 25:2, 4, Ézéchiel 31:11-12. Comme les étrangers signifiaient ceux qui sont dans les maux et dans les faux du mal, et par suite dans le sens abstrait les maux et les faux du mal, c'est pour cela qu'il fut défendu

« que l'étranger mangeât des choses saintes. » - Lévitique 22:10.

Que

« l'étranger s'approchât de la fonction du sacerdoce, ou de la garde du sanctuaire ; et s'il s'en approchait il devait être tué. » - , ; et aussi

« de brûler du parfum avec un feu étranger ; pour en avoir brûlé, Nadab et Abihu fils d'Aharou furent consumés par le feu du ciel, » Lévitique 10:1-2.

Car le feu saint, qui était près de l'autel, signifiait l'amour Divin ; le feu étranger signifiait l'amour infernal, et par suite aussi les maux et les cupidités de ces maux, voir numéro 1297, 1861, 2446, 5071, 5215, 6314, 6832, 7575, 9141. Il y a aussi des étrangers (alienigenœ) désignés dans la Langue originale par un autre mot que les étrangers (alieni), et ceux-là signifient les faux mêmes ; par exemple, dans les Lamentations :

« Jéhovah ! regarde notre ignominie ; notre héritage a été transporté à des étrangers (ad aliènes), et nos maisons à des étrangers (ad alienigenas). » - Lamentations 5:1-2.

Dans Obadie :

« Des étrangers (alieni) ont emmené en captivité sa force, et des étrangers (alienigense) sont entrés dans ses portes, et sur Jérusalem ils jetteront le sort. » - Vers. , 11 ; jeter le sort sur Jérusalem, c'est détruire l'Église, et en dissiper les vrais.

Dans Zéphanie :

« Je ferai la visite sur les princes et sur les fils du roi, et sur tous ceux qui sont revêtus d'un habit d'étranger (alienigenae). » - Zéphanie 1:8.

Ceux qui sont revêtus d'un habit d'étranger sont ceux qui sont dans les faux ; car les princes et les fils du roi, sur lesquels la visite sera faite, sont les principaux vrais, et dans le sens opposé les principaux faux ; que les princes signifient ces faux, on le voit, numéro 1482, 2089, 5044 ; que les rois soient les vrais mêmes, et dans le sens opposé les faux mêmes, on le voit, numéro 2015, 2069, 3009, 4581, 4966, 5044, 5068, 6148 ; delà, les fils du roi sont ceux qui en proviennent.

Dans David :

« Délivre-moi, et arrache-moi de la main des fils de l'étranger (alienigense), dont la bouche prononce la vanité, et dont la droite est une droite de mensonge. » - Psaumes 144:7-8, 11.

Que les fils de l'étranger soient ceux qui sont dans les faux, ainsi les faux, cela est bien évident, car il est dit,

« dont la bouche prononce la vanité et dont la droite est une droite de mensonge ; en effet, la vanité est la fausseté de la doctrine, et le mensonge le faux de la vie, numéro 9248.

  
Yiya esigabeni / 10837  
  

Okususelwe Emisebenzini kaSwedenborg

 

Arcanes Célestes #6125

Funda lesi Sigaba

  
Yiya esigabeni / 10837  
  

6125. Pour les chevaux, signifie les scientifiques d'après l'intellectuel : on le voit par la signification des chevaux, en ce qu'ils sont les intellectuels, numéro 2760, 2761, 2762, 3217, 5321 ; et comme ils se disent de l'Egypte, par laquelle sont signifiés les scientifiques, les chevaux sont ici les scientifiques d'après l'intellectuel. Il faut dire ce que c'est que les scientifiques d'après l'intellectuel : il y a dans l'homme un Intellectuel, et il y a un Volontaire, et les deux sont non-seulement dans son homme Interne, mais aussi dans son homme Externe ; l'Intellectuel chez l'homme s'augmente et croît depuis son enfance jusqu'à son âge viril, et consiste dans l'intuition des choses d'après ce qui appartient à l'expérience et à la science, puis dans l'intuition des causes ? d'après les effets, et des Conséquences d'après l'enchaînement des causes ; ainsi l'Intellectuel consiste dans la compréhension et la perception des choses qui appartiennent à la vie civile et morale : il existe par l'influx de la lumière procédant du ciel, c'est pourquoi chaque homme quant à l'Intellectuel peut être perfectionné ; l'Intellectuel est donné à chacun selon l'application, selon la vie et selon le caractère, et ne manque à personne pourvu qu'on soit d'un mental sain ; et il est donné à l'homme afin qu'il puisse être dans le libre et dans le choix, c'est-à-dire, dans le libre de choisir le bien ou le mal ; s'il n'y a pas en lui un Intellectuel, tel qu'il a été décrit, il ne peut faire cela par lui-même, ainsi rien ne pourrait non plus lui être approprié. De plus, il faut qu'on sache que c'est l'Intellectuel de l'homme qui reçoit le spirituel en sorte qu'il est le récipient du vrai et du bien spirituels ; en effet, rien du bien, c'est-à-dire, de la charité, et rien du vrai, c'est-à-dire, de la foi, ne peut être insinué dans quelqu'un qui n'a pas l'Intellectuel, mais le bien et le vrai sont insinués selon son Intellectuel ; c'est même pour cela que l'homme n'est pas régénéré par le Seigneur avant qu'il soit dans l'âge adulte quand il a l'Intellectuel ; avant cela, le bien de l'amour et le vrai de la foi tombent comme une semence dans un humus entièrement stérile ; et quand l'homme a été régénéré, son Intellectuel remplit cet usage, qu'il voit et perçoit ce que c'est que le bien, et par là ce que c'est que le vrai, car l'Intellectuel transporte les choses qui appartiennent à la lumière du ciel dans celles qui appartiennent à la lueur de la nature, ce qui fait que celles-là apparaissent dans celles-ci comme les affections intérieures de l'homme dans une face sans déguisement : et comme l'Intellectuel remplit cet usage, c'est pour cela que, dans la Parole, dans un grand nombre de passages où il s'agit de l'Eglise spirituelle, il s'agit aussi de l'Intellectuel de cette Église ; ailleurs, d'après la Divine Miséricorde du Seigneur, il sera parlé de ce sujet. D'après cela, on peut maintenant voir ce qui est entendu par les scientifiques d'après l'Intellectuel, c'est-à-dire, que ce sont les scientifiques qui confirment les choses que l'homme saisit et perçoit intellectuellement, soit que ces choses soient des maux, ou qu'elles soient des biens ; ce sont là les scientifiques qui sont signifiés dans la Parole par les chevaux de l'Egypte ; comme dans Ésaïe :

« Malheur à ceux qui descendent en Egypte pour du secours, et sur les chevaux ils s'appuient, et ils se confient sur le char, parce qu'il y en a beaucoup, et sur les chevaux, parce qu'ils sont très forts, et ils ne regardent point vers le Saint d'Israël, et Jéhovah ils ne cherchent point ; car l'Egypte est homme et non Dieu, et leurs chevaux chair et non esprit. » - Ésaïe 31:1, 3.

Les chevaux de l'Egypte sont les scientifiques d'après l'intellectuel perverti.

Dans Ézéchiel :

« Il s'est rebellé contre lui, en envoyant ses ambassadeurs en Egypte, afin qu'elle lui donnât des chevaux, et un peuple nombreux ; prospérera-t-il, échappera-t-il, celui qui fait cela ? » - Ézéchiel 17:15 ;

Les chevaux de l'Egypte sont aussi les scientifiques d'après l'Intellectuel perverti, que l'on consulte dans les choses de la foi, ne croyant que d'après eux à la Parole, c'est-à-dire, au Seigneur ; ainsi l'on ne croit jamais, car dans l'Intellectuel perverti règne le négatif. Que de tels scientifiques aient été détruits, cela est représenté en ce que les Chevaux et les Chars de Pharaon ont été submergés dans la mer de Suph ; et comme ces scientifiques sont signifiés par les Chevaux, et les doctrinaux faux par les Chars, c'est pour cela que les Chevaux et les Chars y sont si souvent nommés, voir Exode 14:17-18, 23, 26, 28 ; et de là dans le cantique de Moïse et de Miriam :

« Le Cheval de Pharaon est entré, puis son Char, puis ses cavaliers, dans la mer ; mais Jéhovah a ramené sur eux les eaux de la mer. Chantez à Jéhovah, car en s'exaltant il s'est exalté, il a jeté le Cheval et son Cavalier dans la mer. » - Exode 15:19, 21.

De semblables scientifiques sont aussi signifiés par ce qui a été prescrit au Roi sur Israël, dans Moïse :

« S'ils désirent un Roi, du milieu de leurs frères sera établi sur eux un Roi ; seulement qu'il ne multiplie pas pour lui les Chevaux, et qu'il ne ramène pas le peuple en Egypte, pour multiplier les chevaux. » - Deutéronome 17:15-16 ;

Le Roi représentait le Seigneur-quant au Divin Vrai, numéro 1672, 1728, 2015, 2069, 3009, 3670, 4575, 4581, 4789, 4966, 5044, 5068, ainsi quant à l'Intelligence ; car celle-ci, lorsqu'elle est réelle, procède du Divin Vrai ; que l'Intelligence doive être acquise par la Parole, qui est le Divin Vrai, et non par les scientifiques provenant de l'Intellectuel propre, cela est signifié en ce que le Roi ne devait pas multiplier les Chevaux, ni ramener le peuple en Egypte pour multiplier les Chevaux.

  
Yiya esigabeni / 10837