IBhayibheli

 

Jérémie 51:14

Funda

       

14 L'Eternel des armées a juré par soi-même, en disant : si je ne te remplis d'hommes comme de hurebecs, et s'ils ne s'entre-répondent pour s'encourager contre toi.

Okususelwe Emisebenzini kaSwedenborg

 

L’Apocalypse Révélée #336

Funda lesi Sigaba

  
Yiya esigabeni / 962  
  

336. Et toute montagne et toute île furent remuées de leurs places, signifie que tout bien de l'amour et tout vrai de la foi se retirèrent. Que ce soit là ce que signifient ces paroles, personne ne le peut voir que par le sens spirituel ; si telle est leur signification, c'est parce que par des Montagnes sont entendus ceux qui sont dans le bien de l'amour, par cette raison que les Anges habitent sur des montagnes ; sur les plus élevées, ceux qui sont dans l'amour envers le Seigneur, et sur les moins élevées, ceux qui sont dans l'amour à l'égard du prochain, c'est pourquoi par toute montagne il est signifié tout bien de l'amour ; que par les Iles soient entendus ceux qui sont les plus éloignés du culte de Dieu, on le voit ci-dessus, No. 34 ; ici, ceux qui sont dans la foi, et non autant dans le bien de l'amour ; par suite dans le sens abstrait par toute fie il est signifié tout vrai de la foi ; par être remuées de leurs places il est signifié se retirer : des habitations donc des Anges sur des montagnes et sur des collines, il est dérivé que les montagnes et les collines dans la Parole signifient le Ciel et l'Église, où il y a l'Amour envers le Seigneur et l'Amour à l'égard du prochain, et dans le sens opposé l'enfer où il y a l'amour de soi et l'amour du monde. Que le Ciel et l'Église où il y a l'amour envers le Seigneur et l'amour à l'égard du prochain, et ainsi où est le Seigneur, soient signifiés par les montagnes et par les collines, on le voit clairement par ces passages qui suivent. » Je lève mes y eux vers les MONTAGNES, d'où vient mon secours. » — Psaumes 121:1.

— « Voici sur les MONTAGNES les pieds d'un messager de bonnes nouvelles, proclamant la paix. » — Nahum 2:1 ; Ésaïe 52:7.

— « Louez Jéhovah, MONTAGNE et COLLINES. » — Psaumes 148:9.

— « MONTAGNE DE DIEU, LA MONTAGNE et COLLINE de Baschan ; MONTAGNE DE COLLINE, la montagne de Baschan ; pourquoi sautez-vous MONTAGNE, COLLINES DE LA MONTAGNE que Jéhovah désire habiter, que Jéhovah habitera à perpétuité ? » — Psaumes 68:16-17.

— « Les MONTAGNES sautèrent comme des béliers ; les COLLINES, comme des fils du troupeau ; par devant le Seigneur tu enfantes, ô Terre. » — Psaumes 4 à 7.

— « Je ferai sortir de Jacob une semence, et de Jéhovah un héritier de mes MONTAGNES, afin que les possèdent mes élus, et que mes serviteurs y habitent. » — Ésaïe 65:9.

— « A la consommation du siècle, que ceux qui sont dans la Judée s'enfuient dans les MONTAGNES. » — Matthieu 24:16.

— « Jéhovah! ta justice, ce sont les MONTAGNES DE DIEU. » — Psaumes 36:7.

— « Jéhovah sortira et combattra, ses pieds se tiendront en ce jour-là sur la MONTAGNE DES OLIVIERS, devant les faces de Jérusalem, à l'orient. » — Zacharie 14:3-4.

— Comme la Montagne des Oliviers signifiait le Divin Amour, c'est pour cela que le Seigneur pendant le jour prêchait dans le Temple, mais sortait pendant les nuits pour les passer sur la MONTAGNE DES OLIVIERS, — Luc 21:37 ; 22:39 ; Jean 8:1 ; — et c'est pour cela que sur cette MONTAGNE le Seigneur s'entretint avec ses disciples sur son avènement et sur la consommation du siècle, — Matthieu 24:3 ; Marc 13:3.

— et que, de là il vint à Jérusalem et y souffrit, — Matthieu 21:1 ; 26:30 ; Marc 11:1 ; 14:26 ; Luc 19:29, 37. 37. 22:39.

— Parce que la Montagne signifiait le Ciel et l'Amour, Jéhovah descendit sur le SOMMET DE LA MONTAGNE DE SINAÏ, et promulgua la Loi, — Exode 19:20 ; 24:17.

— et c'est pour cela que le Seigneur fut transfiguré sur une haute montagne devant Pierre, Jacques et Jean, — Matthieu 17:1.

— C'est encore pour cela que Sion était sur une Montagne, et Jérusalem aussi, et que l'une et l'autre a été appelée montagne de Jéhovah et montagne de sainteté dans un grand nombre de passages de la Parole. Les Montagnes et les Collines ont les mêmes significations ailleurs ; par exemple, — Ésaïe 7:25 ; 30:25 ; 40:9 ; 44:23 ; 49:11, 13 ; 55:12 ; Jérémie 16:15-16 ; Ézéchiel 36:8 ; Joël 4:18 ; Amos 4:1, 13 ; 9:13-14 ; Psaumes 65:7 ; Psaumes 80:9, 11 ; Psaumes 104:5 à 10, 13.

— Que les Montagnes et les Collines signifient ces Amours, on le voit encore plus clairement par le sens opposé, dans lequel elles signifient les amours infernaux, qui sont l'Amour de soi et l'Amour du monde, comme il est évident d'après ces passages :

— « Le jour de Jéhovah viendra sur toutes les MONTAGNES et HAUTES, et sur toutes les COLLINES ELEVEES. » — Ésaïe 2:12, 14.

« Toute Vallée sera élevée, et toute MONTAGNE et COLLINE seront abaissées. » — Ésaïe 40:3-5

— « Renversées seront les montagnes, et tomberont les degrés. » — Ézéchiel 38:20-21.

— « Me voici contre toi, Montagne qui détruis toute la terre ; je te réduirai en MONTAGNE DE COMBUSTION. » — Jérémie 51:25.

— « J'ai vu les MONTAGNES, et voici, elles sont ébranlées, et toutes les collines sont renversées. « — Jérémie 4:23-24, 25.

— « Un feu s'est embrasé dans ma colère, et il enflammera, les fondements des montagnes. » — Deutéronome 32:22.

— « Je dévasterai montagnes et collines. » — Ésaïe 42:15.

— « Voici, Jacob, je t'ai disposé comme une herse, afin que tu broies et que tu écrases les montagnes, et afin que les collines comme de la balle tu réduises, pour que le vent les emporte. » — Ésaïe 41:15-16.

— « Donnez gloire à Jéhovah, avant que bronchent vos pieds sur les MONTAGNES DU CREPUSCULE. » — Jérémie 13:16.

— Il n'est pas non plus entendu autre chose par les « SEPT MONTAGNES sur lesquelles était assise la Femme, qui était Babylone. » — Apocalypse 17:9 ;

— outre d'autres passages ; par exemple, — Ésaïe 14:13 ; 50:6 ; Jérémie 9:9 ; Ézéchiel 6:3-4 ; 34:6. Mien. 6:1-2 ; Nahum 1:5-6 ; Psaumes 46:3-4.

D'après ce qui précède on peut maintenant voir ce qui est entendu paru toute Montagne et toute Ile furent remuées de leurs places, puis aussi, ce qui est entendu dans ce qui suit par « toute Ile s'enfuit, et les Montagnes ne furent plus trouvées. » — Apocalypse 16:20, No. 714.

  
Yiya esigabeni / 962  
  

Okususelwe Emisebenzini kaSwedenborg

 

Arcanes Célestes #3158

Funda lesi Sigaba

  
Yiya esigabeni / 10837  
  

3158. Déclarez-le-moi et sinon, déclarez-le-moi, signifie leur état libre de délibération : cela est évident d'après le sens des paroles. Par tout ce qui précède on voit que les choses qui, dans le sens de la lettre de ce Chapitre, traitent des fiançailles et du mariage de Rébecca avec Isaac, traitent, dans le sens interne, de l'initiation et de la conjonction du bien et du vrai, car l'initiation et la conjonction du vrai et du bien sont les fiançailles spirituelles et le mariage spirituel : il est exigé de l'un et de l'autre côté un état libre de délibération ; pour les fiançailles et le mariage, on le sait ; mais pour l'initiation et la conjonction du bien et du vrai, on ne le sait pas de même, parce qu'elles ne se manifestent pas à l'homme naturel, et parce qu'elles sont du nombre de ces choses qui sont faites sans que l'homme y réfléchisse, cependant toujours est-il que cela existe à chaque moment lorsque l'homme est réformé et régénéré, c'est-à-dire qu'il est dans un état libre, lorsque le vrai est conjoint au bien. Chacun peut savoir, pour peu qu'il réfléchisse, que jamais rien n'appartient à l'homme comme étant à lui-même, à moins d'appartenir à sa volonté ; ce qui appartient seulement à l'entendement ne devient pas le propre de l'homme, avant d'appartenir aussi à sa volonté, car les choses qui appartiennent à la volonté constituent l'être de la vie de l'homme, mais celles qui appartiennent à l'entendement constituent l'exister de cette vie ; le consentement d'après l'entendement seul n'est pas un consentement, mais tout consentement procède de la volonté ; si donc le vrai de la foi, qui appartient à l'entendement, n'est pas reçu par le bien de l'amour, qui appartient à la volonté, il n'y a jamais de vrai qui soit reconnu, ainsi il n'y a pas de foi ; mais pour qu'il soit reçu par le bien qui appartient à la volonté, il est nécessaire qu'il y ait un état libre ; tout ce qui appartient à la volonté se montre libre, l'état même de la volonté est la liberté, car ce que je veux, je le choisis, je le désire, parce que je l'aime et le reconnais comme un bien ; de là on peut voir que le vrai, qui appartient à la foi, ne devient jamais pour l'homme comme son propre, avant d'avoir été reçu par la volonté, c'est-à-dire, avant d'avoir été initié et conjoint au bien qui est dans la volonté, et que cela ne peut s'opérer que dans l'état libre.

  
Yiya esigabeni / 10837