IBhayibheli

 

Exode 34:18

Funda

       

18 Tu garderas la fête solennelle des pains sans levain; tu mangeras les pains sans levain pendant sept jours, comme je t'ai commandé, en la saison du mois auquel les épis mûrissent; car au mois que les épis mûrissent, tu es sorti du pays d'Egypte.

Okususelwe Emisebenzini kaSwedenborg

 

Arcanes Célestes #8106

Funda lesi Sigaba

  
Yiya esigabeni / 10837  
  

8106. De jour dans une colonne de nuée, signifie que quand il y avait état d'illustration , il était tempéré par l'obscur du vrai : on le voit par la signification de de jour ou dans le jour, en ce que c'est dans l'état d'illustration, car les temps du jour, comme le matin, le midi, le soir et la nuit, correspondent aux illustrations qui appartiennent à l'intelligence et à la sagesse dans l'autre vie, numéros 5672, 5962, 6110 ; de là le jour est l'état d'illustration ou de perception claire, et la nuit l'état de non-illustration ou de perception obscure. numéro 7680 ; et par la signification de la nuée, en ce qu'elle est l'obscur du vrai ; et cela, parce que la nuée ôte la clarté de la lumière provenant du soleil, et aussi la tempère. Dans la Parole il est dit çà et là que Jéhovah est apparu dans une nuée, qu'il était environné d'une nuée, que sous ses pieds était une nuée ; là par la nuée est entendu l'obscur du vrai, et spécialement le sens littéral de la Parole, car ce sens, respectivement au sens interne, est l'obscur du vrai, voir la Préface du Chapitre 18 de la Genèse, puis numéro 4391, 5922, 6343, 6752 ; cela était signifié par la nuée, quand le Seigneur apparut à Pierre, à Jacques et à Jean dans sa gloire, Luc 9:34 ; quand de la montagne de Sinaï il apparut au peuple, et à Moïse lorsque celui-ci y entra vers Lui, Exode 19:9 ; Exode 20:18 ; Exode 24:15-16, 17, 18 ; Exode 34:5 ; comme aussi en ce que le Seigneur a dit tant de fois qu'il viendrait dans les nuées du ciel, - Matthieu 24:30 ; Matthieu 26:63-64 ; Marc 13:26 ; Marc 14:61-62 ; Luc 21:27 :

Le sens littéral de la Parole est appelé nuée, parce que le sens interne, qui est appelé gloire ne peut être saisi par l'homme, à moins qu'il ne soit régénéré, et alors illustré ; le sens interne de la Parole, ou le Vrai Divin dans sa gloire, s'il apparaissait devant un homme non régénéré, serait comme une obscurité dans laquelle il ne verrait absolument rien, et aussi d'après laquelle il serait aveuglé , c'est-à-dire, ne croirait rien. D'après cela on peut voir ce qui est signifié par la nuée de jour, c'est-à-dire que c'est l'obscur du vrai, et lorsqu'il s'agit de la Parole, le sens littéral. Il est dit dans une colonne de nuée et dans une colonne de feu, parce que la colonne signifie un appui, ce qui soutient, comme dans Jérémie 1:18; Psaumes 75:4 ; Apocalypse 3:12 ; Job 9:6, et se dit du naturel, parce que le naturel est comme un appui ou une base pour le spirituel ; car le spirituel finit dans le naturel et y repose ; c'est de là que les pieds de l'ange qui descendait du ciel apparurent

« comme une colonne de feu. » - Apocalypse 10:1, - car les pieds signifient le naturel, numéros 2162, 3147, 3761, 3986, 4280, , 5327, 5328.

  
Yiya esigabeni / 10837  
  

Okususelwe Emisebenzini kaSwedenborg

 

Arcanes Célestes #6343

Funda lesi Sigaba

  
Yiya esigabeni / 10837  
  

6343. Toi, ma vigueur, signifie par elle la puissance au bien : on le voit par la représentation de Reuben, qui ici est toi, en ce qu'il est la foi par l'entendement, numéro 6342 ; et par la signi-fication de la vigueur, en ce que c'est la puissance qui est au bien : quant à ce qui concerne la puissance, à savoir, la puissance de penser et de vouloir, de percevoir, défaire le bien, de croire, de dissiper les faux et les maux, elle vient tout entière du bien par le vrai, le bien est le principal, et le vrai est seulement l'instrumental, numéros 3563, 4931, 5623. S'il est signifié la puissance qui est au bien, c'est parce que la vigueur signifie cette puissance, et que la force signifie la puissance du vrai ; de là vient que le commencement de ma force, comme il est dit ensuite, signifie la première puissance au vrai ; en effet, dans la Parole, le mot par lequel est exprimée la force dans la Langue originale se dit du vrai, et le mot par lequel est exprimée la vigueur se dit du bien. Que la Parole soit sainte, et très-sainte dans ses intérieurs, c'est ce qu'on voit clairement, en ce que dans chacune des choses de la Parole il y a le mariage céleste, à savoir, le mariage du bien et du vrai, ainsi le ciel ; et que, dans le sens intime, il y a dans chaque chose le mariage du Divin Humain du Seigneur avec son Royaume et avec l'Église ; et que, même dans le sens suprême, il y a l'union du Divin Même et du Divin Humain dans le Seigneur ; ces arcanes très-saints sont dans chaque chose de la Parole, ce qui est un indice manifeste que la Parole est descendue du Divin que cela soit ainsi, on peut le voir en ce que, quand il est parlé du bien, il est aussi parlé du vrai ; et que, quand il est parlé de l'Interne, il est aussi parlé de l'Externe ; il y a même des mots qui constamment signifient le bien, et des mots qui constamment signifient le vrai, et des mots qui signifient l'un et l'autre, tant le bien que le vrai ; et s'ils ne les signifient pas, toujours est-il qu'ils s'y appliquent ou qu'ils les enveloppent ; d'après l'application et la signification de ces mots, il est évident que dans chaque chose, comme il a été dit, il y a le mariage du bien et du vrai, c'est-à-dire, le mariage céleste, et dans le sens intime et suprême le Mariage Divin qui est dans le Seigneur, ainsi le Seigneur Lui-Même : cela se présente partout, mais n'est bien évident que dans ces passages, où il y a des répétitions d'une même chose, avec de simples changements de mots, comme dans ce Chapitre, où il est dit de Reuben ;

« Toi, ma vigueur, et le commencement de ma force ; » puis,

« excellent en éminence, et excellent en valeur ; » ici la vigueur se rapporte au bien, et la force au vrai ; excellent en éminence se rapporte au vrai, et excellent en valeur au bien : pareillement dans le Verset qui suit sur Reuben :

« Tu es monté sur la couche de ton père, alors tu l'as profanée ; sur mon lit il est monté : » pareillement dans les Versets qui suivent sur Schiméon et Lévi :

« Maudite (soit) leur colère, car (elle est) véhémente ; et leur emportement, car (il est) dur ; je les diviserai en Jacob, et je les disperserai en Israël. » - Vers. 7.

Où la colère signifie l'aversion contre le bien, et l'emportement l'aversion contre le vrai, et où Jacob est l'Externe de l'Église, et Israël l'Interne. Puis il est dit de Jehudah :

« Tes frères te célébreront ; vers toi se prosterneront les fils de ton père. " - Vers. 8.

Et ensuite :

« Il attache au cep son ânon, et au cep excellent le fils de son ânesse. Il lave dans le vin son vêtement, et dans le sang des raisins son manteau. “ - Vers. 11.

De Zébulon :

« Au port des mers il habitera, et lui au port des navires. » - Vers. 13.

De Dan :

« Il sera un serpent sur le chemin, un serpent à élan sur le sentier. " - Vers. 17.

De semblables répétitions se rencontrent fréquemment dans les Psaumes et dans les Prophètes ; par exemple, dans Ésaïe :

« Babel ne sera point habitée à toute éternité, et l'on n'y demeurera point jusqu'à génération et génération. Proche est son temps, et il viendra, et ses jours ne seront point prolongés. » - Ésaïe 13:20, 22.

Dans le Même :

« Cherchez dans le Livre de Jéhovah, et lisez : Aucune de ces choses ne manquera, l'une ne désirera pas l'autre : car de bouche Lui-Même a commandé, et son Esprit les a rassemblées. Lui-Même leur a jeté le sort, et sa main en a fait le partage pour eux à ta règle : jusqu'à éternité ils la posséderont, pour génération et génération ils y habiteront. " - Ésaïe 34:16-17.

De même dans mille autres passages : celui qui ne sait pas que dans la Parole les mots sont significatifs des spirituels et des célestes, et que quelques-uns se disent du bien, et quelques autres du vrai, ne peut faire autrement que de croire que ce sont là des répétitions employées seulement pour remplir, et qu'ainsi en elles-mêmes elles sont inutiles ; de là vient que ceux qui pensent peu favorablement de la Parole rangent aussi ces répétitions parmi les sujets de mépris, tandis que cependant elles renferment les Divins mêmes, à savoir, le mariage céleste qui est le ciel même, et le Mariage Divin qui est le Seigneur Lui-Même : c'est ce sens qui est la gloire dans laquelle est le Seigneur, et le sens littéral est la nuée dans laquelle est cette gloire ; - Luc 21:27.

voir la Préface à la 5922.

  
Yiya esigabeni / 10837