圣经文本

 

Exode第29章:27

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27 Tu sanctifieras la poitrine et l'épaule du bélier qui aura servi à la consécration d'Aaron et de ses fils, la poitrine en l'agitant de côté et d'autre, l'épaule en la présentant par élévation.

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Arcanes Célestes#10001

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10001. Tu feras approcher vers l'entrée de la Tente de convention, signifie la conjonction de l'un et de l'autre dans le ciel : on le voit par la signification de faire approcher, en ce que c'est la présence et la conjonction, comme ci-dessus, numéro 9997, ici la conjonction du Divin Bien et du Divin Vrai procédant du Seigneur dans le ciel ; par la signification de l'entrée, en ce que c'est l'introduction, numéro 8989 ; et par la représentation de la Tente de convention, en ce que c'est le ciel, numéros 9457, 9481, 9485, 9963. Si le taureau, les béliers, le pain, les gâteaux et les beignets d'azymes dans une corbeille, et Aharon avec ses fils, devaient être à l'entrée de la Tente de convention, et si ceux-ci devaient y être revêtus et oints, et les autres choses y être offertes sur l'autel, c'est parce que le lieu où était l'entrée de la Tente de convention représentait le mariage du Divin Bien avec le Divin Vrai ; en effet, l'Autels qui avait aussi été placé à l'entrée de la Tente représentait le Seigneur quant au Divin Bien, et la Tente de convention représentait le Seigneur quant au Divin Vrai ; par suite le lieu vers l'entrée de la Tente représentait la conjonction du Bien et du Vrai, conjonction qui est appelée mariage céleste : que l'Autel de l'holocauste ait représenté le Seigneur quant au Divin Bien, on le voit, numéro 9964 ; et que la Tente de convention ait représenté le Seigneur quant au Divin Vrai, on le voit, numéro 9963 ; que l'Autel ait été placé dans cet endroit, cela est évident dans Moïse :

« Et Moïse plaça l'Autel de l'holocauste vers l'entrée de la Tente. " - Exode 40:29 :

Que la conjonction du bien et du vrai soit le mariage céleste, et qu'elle soit aussi le ciel, on le voit, numéros 2173, 2508, 2618, 2803, 3004, suivants, 3132, .3952, 4434, 6179. Maintenant, d'après cela, il est évident que par

« faire approcher Aharon et ses fils vers » l'entrée de la Tente de convention, » il est signifié la conjonction de l'un et de l'autre, savoir, du Divin Bien et du Divin Vrai procédant du Seigneur dans le ciel.

  
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Arcanes Célestes#8990

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8990. Et son maître lui percera l'oreille avec un poinçon, signifie le représentatif de l'obéissance : on le voit par la signification de l'oreille, en ce qu'elle est l'obéissance, numéros 2542, 3869, 4551, ; et par la signification de percer avec un poinçon, savoir, à la porte et au poteau, en ce que c'est attacher, ici, comme il s'agit de l'obéissance, c'est assujettir ; c'est pourquoi, aussitôt après il est dit qu'il le servira à perpétuité, c'est-à-dire qu'il obéira : de là, il est évident que le percement de l'oreille avec un poinçon à la porte ou au poteau par son maître, est lercprésen-la.i if de l'obéissance. D'après ce qui a été dit précédem-ment on peut voir comment les choses se passent, à savoir, que ceux qui sont dans les vrais seuls et non dans le bien correspondant, c'est-à-dire, qui sont dans la foi et non dans la charité, ne sont pas libres, mais sont serviteurs ; en effet, ceux qui agissent d'après le bien ou la char-ité sont libres, car ils agissent d'après eux-mêmes, parce qu'agir d'après le bien ou la charité, c'est agir d'après le cœur, c'est-à-dire, d'après la volonté, ainsi de soi-même, car ce qui appartient à la volonté de l'homme appartient à l'homme même ; et ce qui est fait d'après la volonté est dit sortir du cœur ; au contraire, ceux qui sont seulement dans les vrais de la foi, et non dans le bien de la charité, sont respectivement serviteurs, car ils n'agissent pas d'après eux-mêmes, parce qu'ils n'ont pas en eux le bien d'après lequel ils agissent, mais ils l'ont hors d'eux, et ils le font toutes les fois qu'ils se le rappellent : ceux qui sont tels jusqu'à la fin de leur vie demeurent après la mort dans cet état, et ne peuvent être conduits à l'état d'agir d'après l'affection de la charité, ainsi d'après le bien, mais ils agissent d'après l'obéissance. Ceux-ci, dans le Très-Grand Homme, qui est le Ciel, constituent les parties qui sont Tau service des intérieurs, comme les membranes et les peaux, numéros 8977, 8980. D'après cela, on peut voir comment la chose se passe à l'égard de la foi seule, par conséquent à l'égard de ceux qui d'après la doctrine placent la foi au premier rang, et le bien de la charité au second, et même au dernier ; ceux qui la placent ainsi en actua-lité, c'est-à-dire, dans la vie même, sont des serviteurs Hébreux dans le sens représentatif ; par là on peut conclure aussi comment la chose se passe à l'égard de ceux qui placent le tout du salut dans les vrais de la foi, et rien dans le bien de la charité, à savoir, rien en actualité ou dans la vie même, on peut conclure qu'ils ne peuvent pas entrer dans le ciel, car dans le ciel règne le bien, et non le vrai sans le bien ; et le vrai n'est le vrai, ou la foi n'est la foi, que chez ceux qui sont dans le bien. Que le percement de l'oreille avec un poinçon par le maître soit le représentatif de l'obéissance, cela est encore évident en ce que clouer l'oreille à la porte, c'est faire qu'il porte son attention sur ce que commande son maître qui est dans la chambre, ainsi c'est écouter continuellement, par conséquent obéir, ici dans le sens spirituel, faire ce que le bien veut et commande, car le maître du serviteur représente le bien spirituel, numéros 8981, 8986 : comme l'oreille signifie l'action d'écouter qui appartient à l'obéissance, de là, par une origine provenant du monde spirituel, a influé dans le langage humain l'expression de pincer l'oreille pour faire qu'on porte attention et qu'on se ressouvienne ; pareillement les expressions écouter quelqu'un, prêter l'oreille à quelqu'un, pour obéir ; car le sens intérieur d'un grand nombre de mots a découlé des correspondances provenant du monde spirituel ; de même que quand on dit Lumière spirituelle, et vue spirituelle, en parlant des choses qui appartiennent à la foi ; et quand on dit feu spirituel et vie spirituelle en parlant des choses qui appartiennent à l'amour. Si le percement de l'oreille était fait avec un poinçon, c'était parce que le poinçon signifie la même chose que le pieu ou le clou, savoir, l'attache ou l'adjonction, et dans le sens spirituel l'assujettissement à quelque chose ; mais le poinçon était un instrument de travail, servant pour cela même à représenter l'assujettissement à une obéissance perpétuelle chez le serviteur. Que les pieux ou les clous signifient l'attache ou l'adjonction, on le voit par les passages où ils sont nommés, comme dans . . .

  
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