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Jérémie 51:44

പഠനം

       

44 Je punirai aussi Bel à Babylone, et je tirerai hors de sa bouche ce qu'il avait englouti, et les nations n'aborderont plus vers lui; la muraille même de Babylone est tombée.

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Arcanes Célestes #3353

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3353. La plus grande partie des hommes croit que toutes les choses qui sont dans le monde visible doivent périr, quand le jugement dernier arrivera, c'est-à-dire que la terre sera embrasée, que le Soleil et la Lune seront dissipés, que les astres s'évanouiront, et qu'ensuite un Nouveau Ciel et une nouvelle terre s'élèveront : ils se sont formé cette opinion d'après les révélations prophétiques, dans lesquelles de tels événements sont mentionnés ; mais qu'il en soit autrement, c'est ce qu'on peut voir d'après ce qui a été précédemment exposé sur le Jugement Dernier, numéros 900, 931, 1850, ; il en résulte avec évidence que le Jugement Dernier n'est autre chose que la lin de l'Église chez une nation, et le commencement de l'Église chez une autre nation, fin et commencement qui ont lieu alors qu'il n'y a plus aucune reconnaissance du Seigneur, ou, ce qui est la même chose, quand il n'y a plus aucune foi ; il n'y a plus de reconnaissance ou de foi, quand il n'y a plus de charité, car la foi ne peut jamais exister que chez ceux qui sont dans la charité : qu'il y ait alors fin de l'Église et translation de l'Église chez d'autres, on le voit clairement par toutes les choses que le Seigneur a Lui-Même enseignées et prédites dans les Évangélistes sur ce Dernier jour ou sur la consommation du siècle, savoir, dans Matthieu 24 ; dans Marc 13 ; et dans Luc 21 ; mais, comme sans une clef, qui est le sens interne, ces choses ne peuvent être comprises par qui que ce soit, il m'est permis de développer successivement celles qui y sont ; ici, d'abord, les suivantes qui sont dans Matthieu :

« Les disciples s'approchèrent de Jésus, disant : dis-nous quand ces choses arriveront, et quel (sera) le signe de ton avènement et de la consommation du siècle ; et Jésus répondant, leur dit : Prenez garde que personne ne vous séduise : car beaucoup viendront en mon Nom, disant : Moi, je suis le Christ ; et ils (en) séduiront beaucoup : or vous allez entendre des guerres et des bruits de guerres ; prenez garde que vous ne soyez troublés ; car il faut que toutes ces choses arrivent ; mais ce n'est pas encore la fin ; car il sera excité nation contre nation, et royaume contre, royaume ; et il y aura des famines et des pestes et des tremblements de terre en divers lieux : or tout cela (sera) un commencement de douleurs. » - Matthieu 24:3, 4, 5-6, 7-8.

Ceux qui restent dans le sens de la lettre ne peuvent savoir si ces paroles et celles qui suivent dans ce Chapitre ont été dites de la destruction de Jérusalem et de la dispersion de la Nation Juive, ou de la fin des jours, qui est appelée le Jugement Dernier ; mais ceux qui sont dans le sens interne voient clairement qu'il s'agit ici de la fin de l'Eglise, fin qui ici et ailleurs est appelée Avènement du Seigneur et Consommation du siècle ; et comme c'est cette fin qui est entendue, on peut savoir que toutes ces paroles signifient des choses qui concernent l'Église ; quant à ce qu'elles signifient, on peut le voir par chacune des expressions dans le sens interne ; par exemple : beaucoup viendront en Mon Nom, disant : moi, je suis le Christ ; et ils en séduiront beaucoup ; là, le nom ne signifie pas le nom, et le Christ ne signifie pas le Christ ; mais le nom signifie ce par quoi le Seigneur est adoré, numéros 2724, 3006, et le Christ signifie le vrai même, numéros 3009, 3010 ; ainsi ces paroles signifient qu'il en viendra qui diront que telle chose appartient à la foi ou que c'est le vrai, tandis que cependant elle n'appartiendra pas à la foi, et sera non le vrai mais le faux ; vous allez entendre des guerres et des bruits de guerres, c'est-à-dire qu'il y aura au sujet des vrais des discussions et des contestations, qui sont des guerres dans le sens spirituel ; il sera excité nation contre nation, et royaume contre royaume, c'est-à-dire que le mal combattra contre le mal et le faux contre le faux ; que la nation soit le bien, et dans le sens opposé, le mal, on le voit numéros 1259, 1260, 1416, 1849 ; et que le royaume soit le vrai, et dans le sens opposé, le faux, ou le voit numéros 1672, 2547 ; et il y aura des famines, et des pentes, et des tremblements de terre en divers lieux, c'est-à-dire qu'il n'y aura plus aucune connaissance du bien et du vrai, et qu'ainsi l'état de l'Église aura été changé, ce qui est signifié par les tremblements de terre.

  
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Arcanes Célestes #1416

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1416. Je ferai de toi une grande nation, signifie le Royaume dans les cieux et sur les terres : c'est ce qu'on peut voir par la signification Nation. Dans le sans interne, la nation signifie le céleste de l'amour et le bien qui en procède, par conséquent tous ceux, dans l'univers, chez lesquels il y a le céleste de l'amour et de la charité : ici, comme dans le sens interne il s'agit du Seigneur, on entend tout céleste et tout bien qui en procède, par conséquent son Royaume, lequel est chez ceux qui sont dans l'amour et la charité. Dans le sens suprême, c'est le Seigneur Lui-même qui est cette grande nation, parce qu'il est le Céleste Même et le Bien Même, car tout bien de l'amour et de la charité vient de Lui Seul ; c'est pourquoi le Seigneur est aussi son Royaume même, c'est-à-dire qu'il est tout dans l'unités les choses de son Royaume, ainsi que cela est aussi reconnu par tous les Anges dans le ciel. On voit donc par là que ces mots : je ferai de toi une grande nation, signifient le Royaume du Seigneur dans les cieux et sur les terres. Que dans le sens interne, quand il s'agit du Seigneur et des célestes de l'amour, la nation le signifie Lui-Même et tous les célestes, c'est aussi ce qu'on peut voir d'après ce qui a été rapporte, numéros 1258, 1259, sur la signification de la Nation et des Nations ; on peut encore le confirmer par ces passages : Il est dit d'Abram dans ce qui suit :

« On ne t'appellera plus du nom, d'Abram, et ton nom » sera Abraham, parce que je t'ai donné pour père d'une multitude de Nations. » - Genèse 17:5.

C'est du nom de Jéhovah qu'est tirée, la lettre (h) dans Abraham, pour la représentation de Jéhovah ou du Seigneur. Il est dit de même de Saraï :

« Tu ne l'appelleras plus du nom de Saraï, mais son nom (sera) » Sarah ; et je la bénirai, et même je te donnerai d'elle un fils ; et je le bénirai, et il sera en Nations ; des rois des peuples sortiront d'elle. » - Genèse 17:15-16.

Là, les nations sont les célestes de l'amour, et les rois des peuples les spirituels de la foi qui en précèdent, les uns et les autres appartenant au Seigneur seul. Il est dit pareillement de Jacob :

« On ne t'appellera plus du nom de Jacob, mais Israël sera ton nom ; et il l'appela du nom d'Israël ; et Dieu dit : Je suis le Dieu foudroyant ; crois et multiplie, une Nation et une assemblée de Nations seront faites de toi, et des rois sortiront de tes reins. » - Genèse 35:10-11.

Là, Israël représente le Seigneur ; qu'Israël, dans le sens suprême, soit le Seigneur Lui-même, c'est ce qui est connu de quelques-uns ; et comme c'est le Seigneur Lui-même, il est évident que la nation et l'assemblée des nations, ainsi que les rois sortis de ses reins, sont les célestes et les spirituels de l'amour, et par conséquent tous ceux qui sont dans les célestes et les spirituels de l'amour. Il est dit au sujet d'Ismaël, fils d'Abram par Hagar :

« Quant au fils de la servante, je le poserai en Nation, parce qu'il est ta semence. » - Genèse 21:13, 18.

A l'endroit où se trouvent ces paroles on verra ce que représente Ismaël ; la semence d'Abram est l'amour même ; c'est d'après cet amour que le mot nation est appliqué à la génération d'Ismaël. On voit, dans Moïse, que nation signifie les célestes de l'amour :

« Si en » écoutant vous écoutez ma voix et si vous gardez mon alliance, » vous serez pour Moi un pécule entre tous les peuples ; et vous » serez pour Moi un Royaume de Prêtres et une Nation sainte. » - Exode 19:5-6.

Là, le Royaume de prêtres, qui est le Royaume du Seigneur dans les cieux et sur les terres, étant l'attribut des célestes de l'amour, est évidemment appelé nation sainte, tandis que le royaume du Seigneur par sa Royauté est l'attribut des spirituels de l'amour, et est appelé peuple saint ; c'est pour cela que les rois sortis de ses reins sont, comme on vient de le voir, les spirituels.

Dans Jérémie :

« Si ces statuts se retirent de devant Moi, a dit Jéhovah, la semence d'Israël cessera aussi, » pour qu'elle ne soit plus une Nation devant Moi tous les jours. » - Jérémie 31:36.

La semence d'Israël, c'est le céleste de la charité, et quand la charité cesse, il n'y a plus de nation devant le Seigneur, Dans Ésaïe :

« Le peuple, ceux qui marchaient dans les ténèbres ont vu une grande lumière ; tu as multiplié la , .

Il s’agit spécialement de l'Eglise des nations, et en général de tous ceux qui sont dans l'ignorance, mais qui vivent dans la charité ; ceux-ci sont la Nation, parce qu'ils appartiennent au Royaume du Seigneur.

Dans David :

« Afin que je » voie le bien de tes élus, afin que je me réjouisse dans la joie de la Nation, afin que je me glorifie dans ton héritage. » - Psaumes 106:5.

Là évidemment la Nation est le royaume du Seigneur. La signification de la nation, en ce qu'elle est le céleste de l'amour et le bien qui en procède, a tiré son origine de ce perceptif, que les hommes de la Très-Ancienne Eglise avaient été distingués en maisons, en familles et en nations ; et c'est ainsi qu'ils percevaient le Royaume du Seigneur ; et comme ils percevaient le Royaume du Seigneur, ils percevaient le céleste lui-même ; de ce perceptif naquit le significatif, et du significatif naquit le représentatif.

  
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