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Jérémie 50:45

പഠനം

       

45 C'est pourquoi écoutez la résolution que l'Eternel a prise contre Babylone, et les desseins qu'il a faits contre le pays des Caldéens : si les plus petits du troupeau ne les traînent par terre, et si on ne réduit en désolation leurs cabanes sur eux.

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L’Apocalypse Révélée #766

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766. Et au feu elle sera brûlée, parce que fort est le Seigneur Dieu qui la juge, signifie qu'ils deviendront des haines contre le Seigneur, et contre son Ciel et son Église, parce qu'alors ils verront que le Seigneur Seul domine et règne sur toutes choses dans les deux et dans les Terres, et que aucun homme par soi-même ne peut rien. Par le feu, dans lequel elle sera brûlée, est signifiée la haine contre le Seigneur, et contre son Ciel et son Église, ainsi qu'il va être expliqué ; par parce que fort est le Seigneur Dieu qui la juge, il est signifié parce qu'ils voient alors, c'est-à-dire, dans le Monde spirituel, dans lequel ils viennent après la mort, que le Seigneur Seul domine et règne sur toutes choses dans les d'eux et dans les Terres, et que aucun homme par soi-même ne peut rien ; que ce soit là ce qui est signifié par « parce que fort est le Seigneur Dieu qui la juge, » c'est parce que le Seigneur ne juge personne pour l'enfer, mais eux-mêmes se jugent ; en effet, lorsqu'ils sentent la sphère angélique découlant du Seigneur par le Ciel, ils s'enfuient et se jettent dans l'enfer, comme on peut le voir d'après ce qui a été montré ci-dessus, Nos. 233, 325, 340, 387, 502. Que par le feu il soit signifié l'amour dans l'un et dans l'autre sens, l'amour céleste qui est l'amour du Seigneur, et l'amour infernal qui est l'amour de soi, on le voit ci-dessus, Nos. 468, 494, . Si le feu infernal est la haine, c'est parce que l'amour de soi hait, car tous ceux qui sont dans cet amour s'embrasent de colère selon son degré, et brûlent de haine et de vengeance contre ceux qui l'attaquent, et ceux qui sont de Babylone contre ceux qui nient qu'ils doivent recevoir un culte et être adorés comme des saintetés ; c'est pourquoi, quand ils entendent dire que dans le Ciel le Seigneur Seul reçoit un culte et est adoré, et que rendre un culte à un homme à la place du Seigneur c'est une profanation, l'adoration du Seigneur devient en eux une haine contre Lui, et l'adultération de la Parole dans ce but de recevoir un culte devient une profanation : c'est donc là ce qui est signifié, par « Babylone au feu sera brûlée ; » qu'être brûlé au feu, ce soit la peine de la profanation du saint, on le voit ci-dessus, No. 748. La même chose est entendue par ces paroles, dans Jérémie :

— « Me voici contre toi, Babel, Montagne qui détruis, qui détruis toute la terre ; je te ferai dérouler d'entre les rochers, et je te réduirai en montagne de combustion. Les murailles de Babel seront renversées, et ses portes élevées seront brûlées au feu. » — Jérémie 51:25, 58.

  
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Arcanes Célestes #3402

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3402. Celui qui touchera cet homme et cette femme en mourant il mourra, signifie que le Divin Vrai et le Divin Bien ne doivent point être ouverts, et que cependant on ne doit pas en approcher par la foi, à cause du danger de la damnation éternelle s'ils sont, profanés : on le voit par la signification de toucher cet homme et cette femme, en ce que c'est s'approcher du Divin Vrai et du Divin Bien, qui sont représentés par Isaac et Rébecca, - ici le vrai est nommé en premier lieu, et le bien en second lieu, parce qu'il s'agit de ceux qui sont dans l'Eglise spirituelle, lesquels peuvent adultérer et même profaner le vrai, mais non le bien, et comme il en est ainsi, il est dit l'homme et la femme, voir numéros 915, 2517.

Et par la signification de mourir en mourant, en ce que c'est la damnation éternelle, qui est la mort spirituelle ; ici, à cause de la profanation dont il s'agit. Que ce soit d'après la Providence du Seigneur que personne n'est admis dans le bien et dans le vrai, c'est-à-dire dans la reconnaissance et dans l'affection de l'un et de l'autre, plus avant qu'il ne peut demeurer en eux, à cause du danger de la damnation éternelle, on le voit ci-dessus, numéro 3398 : il arrive à l'égard du bien et du vrai, ainsi qu'il a déjà été quelquefois dit et expliqué, que chez l'homme ils se retirent en dedans en proportion que celui-ci est dans le mal et dans le faux, que par conséquent les anges qui du ciel sont chez lui se retirent autant, et que les esprits diaboliques qui de l'enfer sont chez lui s'approchent autant ; de même vice-versa ; l'éloignement du bien et du vrai, par conséquent des Anges, d'avec l'homme qui est dans le mal et dans le faux, ne se manifeste pas à lui, parce qu'alors il est dans la persuasion que le mal est le bien et que le faux est le vrai, et cela, à cause de l'affection qu'il a pour eux, et du plaisir qu'elle lui procure ; et quand il est dans cet état, il ne peut nullement savoir que le bien et le vrai se sont éloignés de lui : le bien et le vrai, ou les anges, sont dits s'être éloignés de l'homme, quand l'homme n'en est plus affecté, c'est-à-dire, quand ils ne font plus ses délices, et quand au contraire il est affecté de ce qui appartient à l'amour de soi et à l'amour du monde, c'est-à-dire, quand c'est là seulement ce qui fait ses délices : savoir le bien et le vrai, ou les tenir par la mémoire et les avoir sur les lèvres, ce n'est point avoir le bien et le vrai, mais il faut en être affecté de cœur ; ce n'est pas non plus avoir le bien et le vrai, que d'en être affecté quand c'est pour acquérir de la réputation et des richesses, alors c'est de l'honneur et du gain qu'on est affecté et non du bien et du vrai, et c'est faire de ceux-ci des moyens pour obtenir ceux-là ; dans l'autre vie, chez ceux qui sont tels, les biens et les vrais qu'ils ont connus, qu'ils ont même prêches, leur sont retirés, mais l'amour de soi et du monde, dont leur vie se composait, leur reste. D'après ce qui vient d'être dit : on peut voir ce qui arrive au sujet du bien et du vrai, c'est-à-dire qu'il n'est permis à personne d'en approcher par l'affection et par la foi, à moins qu'on ne soit tel, qu'on puisse demeurer en eux jusqu'à la fin de sa vie ; mais ceux qui profanent ne peuvent pas en être détournés.

  
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