ബൈബിൾ

 

Lamentations 5

പഠനം

   

1 Souviens-toi, Eternel, de ce qui nous est arrivé! Regarde, vois notre opprobre!

2 Notre héritage a passé à des étrangers, Nos maisons à des inconnus.

3 Nous sommes orphelins, sans père; Nos mères sont comme des veuves.

4 Nous buvons notre eau à prix d'argent, Nous payons notre bois.

5 Nous sommes poursuivis, le joug sur le cou; Nous sommes épuisés, Nous n'avons point de repos.

6 Nous avons tendu la main vers l'Egypte, vers l'Assyrie, Pour nous rassasier de pain.

7 Nos pères ont péché, ils ne sont plus, Et c'est nous qui portons la peine de leurs iniquités.

8 Des esclaves dominent sur nous, Et personne ne nous délivre de leurs mains.

9 Nous cherchons notre pain au péril de notre vie, Devant l'épée du désert.

10 Notre peau est brûlante comme un four, Par l'ardeur de la faim.

11 Ils ont déshonoré les femmes dans Sion, Les vierges dans les villes de Juda.

12 Des chefs ont été pendus par leurs mains; La personne des vieillards n'a pas été respectée.

13 Les jeunes hommes ont porté la meule, Les enfants chancelaient sous des fardeaux de bois.

14 Les vieillards ne vont plus à la porte, Les jeunes hommes ont cessé leurs chants.

15 La joie a disparu de nos coeurs, Le deuil a remplacé nos danses.

16 La couronne de notre tête est tombée! Malheur à nous, parce que nous avons péché!

17 Si notre coeur est souffrant, Si nos yeux sont obscurcis,

18 C'est que la montagne de Sion est ravagée, C'est que les renards s'y promènent.

19 Toi, l'Eternel, tu règnes à jamais; Ton trône subsiste de génération en génération.

20 Pourquoi nous oublierais-tu pour toujours, nous abandonnerais-tu pour de longues années?

21 Fais-nous revenir vers toi, ô Eternel, et nous reviendrons! Donne-nous encore des jours comme ceux d'autrefois!

22 Nous aurais-tu entièrement rejetés, Et t'irriterais-tu contre Nous jusqu'à l'excès!

   

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Arcanes Célestes #9050

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9050. L'âme signifie la vie spirituelle : on le voit par la signification de l'âme, en ce qu'elle est la vie de l'homme, mais la vie de sa foi, qui est la vie spirituelle. Dans la Parole, il est dit ça t là le Cœur et l'Ame, et là par le Cœur est signifiée la vie de l'amour, et par l'Ame la vie de la foi : il y a dans l'homme deux facultés qui reçoivent la vie procédant du Seigneur ; l'une est appelée volonté, l'autre l'entendement ; à la faculté qui est appelée volonté appartient l'amour, car les, biens de l'amour font la vie de la volonté, et à la faculté qui est appelée entendement appartient la foi, car les vrais de la foi font la vie de l'entendement ; mais ces deux vies chez l'homme sont un néanmoins, et lorsqu'elles sont un, les choses qui appartiennent à la foi appartiennent aussi à l'amour, car elles sont aimées, et réciproquement celles qui appartiennent à l'amour appartiennent aussi à la foi, parce qu'elles sont crues : telle est la vie de tous dans le ciel. Si dans la Parole la vie de l'amour, ou, ce qui est la même chose, la volonté, est appelée le cœur ; et si la vie de la foi, ou, ce qui est la même chose, l'entendement, est appelée l'âme, c'est parce que ceux qui sont dans l'amour envers le Seigneur, et sont nommés célestes, constituent dans le Très-Grand Homme ou le Ciel la Province du Cœur, et que ceux qui sont dans la foi envers le Seigneur et par suite dans la charité à l'égard du prochain , constituent la province des Poumons, voir numéros 3635, ; de là vient que le Cœur dans la Parole signifie l'amour qui est la vie de la volonté, et que l'âme signifie la foi qui est la vie de l'entendement, numéros 2930, 7542, 8910 : en effet, dans la Langue originale, l'Ame se dit de la Respiration qui appartient aux poumons. La foi appartient à la faculté intellectuelle, parce que cette faculté est illustrée par le Seigneur quand l'homme reçoit la foi, d'où il résulte qu'il a la lumière ou l'aperception du vrai dans les choses qui appartiennent à la foi, quand il lit la Parole ; et l'amour appartient à la faculté volontaire, parce que cette faculté est embrasée par le Seigneur, quand l'homme reçoit l'amour, d'où il résulte, qu'il a le feu de la vie et la perception sensitive du bien. D'après cela on peut voir ce qui proprement, dans la Parole, est entendu par le Cœur, et ce qui l'est par l'Ame, par exemple, dans les passages suivants ; dans Moïse :

« Tu aimeras Jéhovah ton Dieu de tout ton cœur, et de toute ton âme, et de toutes tes forces. » - Deutéronome 6:5-6.

Dans le Même :

« Tu aimeras Jéhovah ton Dieu, et tu Le serviras de tout ton cœur et de toute ton âme. » - .

Dans le Même :

« Tu garderas les statuts et les jugements, et tu les feras de tout ton cœur et de toute ton âme. » - Deutéronome 26:16.

Dans les Évangélistes :

« Jésus dit : Tu aimeras le Seigneur ton Dieu de tout ton cœur, et de toute ton âme, et de toute ta force, et de toute ta pensée. » - Marc 12:30, 32. Luc 10:27.

Le cœur est la vie de l'amour et l'âme la vie de la foi, la force est ce qui procède de la vie de l'amour, ainsi ce qui procède du cœur ou de la volonté, et la pensée ce qui procède de la vie de la foi, ainsi ce qui procède de l'âme ou de l'entendement illustré.

Pareillement dans Ésaïe :

« Son cœur abusé le fait égarer, afin qu'il ne délivre point son âme, et qu'il ne dise point : N'est-ce pas un mensonge dans ma droite ? » - Ésaïe 44:20.

Dans Jérémie :

« Je me réjouirai sur eux pour leur faire du bien, et je les planterai dans cette terre, dans la vérité, de tout mon cœur et de toute mon âme. » - .

Là, il s'agit de Jéhovah, c'est-à-dire, du Seigneur ; le cœur se dit du Divin Bien qui appartient à l'Amour ou à la Miséricorde, et l'âme se dit du Divin Vrai qui appartient à la foi chez homme. Que le Cœur et l'Ame aient ces significations dans la Parole, il en est peu aujourd'hui, au dedans de l'Église, qui le sachent, et cela, parce qu'on n'a pas considéré qu'il y a dans l'homme deux facultés, distinctes entre elles, savoir, la Volonté et l'Entendement, et que ces deux facultés doivent constituer un seul mental, pour que l'homme soit véritablement homme ; on n'a pas non plus considéré que toutes choses dans l'univers, tant dans le ciel que dans le monde, se réfèrent au bien et au vrai, et que le bien et le vrai doivent être conjoints pour qu'ils soient quelque chose et qu'ils produisent ; de cette ignorance il est résulté qu'on a séparé la foi d'avec l'amour ; car celui qui ignore ces lois universelles ne peut pas savoir que la foi se réfère au vrai et l'amour au bien, et que, s'ils n'ont pas été conjoints, ils ne sont pas quelque chose, car la foi sans l'amour n'est as la foi, et l'amour sans la foi n'est pas l'amour, puisque l'amour sa qualité par la foi, et que la foi a sa vie par l'amour, ainsi la foi sans l'amour est morte, et la foi avec l'amour est vivante : que cela soit ainsi, on peut le voir par chaque expression dans la Parole, car où il s'agit de la foi, là aussi il s'agit de l'amour, afin qu'il y ait ainsi le mariage du bien et du vrai, c'est-à-dire, le Ciel, et dans le mis suprême le Seigneur, dans toutes et dans chacune des choses e la Parole ; qu'il y ait un tel mariage, on le voit, numéros 683, 793, , 2516, 2712, 4138 (fin), 5138, 5502, 6343, 7945, 8339 (fin). ; d'après cela, on peut voir maintenant d'où vient que l'homme de Église n'a pas su jusqu'à présent ce qui a été entendu dans la 'arole par le cœur, et ce qui a été entendu par l'âme. Que l'âme ans la Parole soit la vie de la foi, on peut le voir avec évidence par les passages où il est fait mention de l'âme, par exemple, dans les suivants ; dans Moïse :

« En gage tu ne prendras point la meule ou la meule de dessus, car c'est prendre l'Ame en gage. " - Deutéronome 24:6.

Il est dit que celui qui prend en gage la meule rend l'âme en gage, parce que dans le sens interne la meule signifie les choses qui appartiennent à la foi, numéro 7780.

Dans Ésaïe :

“ Il arrivera comme lorsque songe l'affamé comme s'il mangeait, mais » quand il se réveille, à jeun est son âme, ou lorsque songe l'altéré comme s'il buvait, mais quand il se réveille, et voici, il est fatigué, et son âme est avide - Ésaïe 29:8.

L'âme à jeun, et l'âme avide, c'est le désir d'apprendre les biens et les vrais de la foi.

Dans le Même :

« Si tu déploies devant l'affamé ton âme, et que l'âme affligée tu rassasies. » - Ésaïe 58:10.

Déployer devant l'affamé ton âme, c'est instruire celui qui désire dans les vrais de la foi ; rassasier l'âme affligée, c'est instruire dans le bien de la foi.

Dans Jérémie :

« Quand tu te revêtirais d'écarlate, quand tu te parerais d'ornements d'or, quand tu déchirerais avec le fard tes yeux, en vain belle tu te rendras, en horreur t'auront tes amants, ton âme ils chercheront. » - Jérémie 4:30 ;

Ici l'âme est la vie de la foi, par conséquent la foi elle-même chez l'homme, parce que la foi fait sa vie spirituelle ; que ce soit la foi qui est entendue par l'âme, chaque expression de ce Verset le montre clairement.

Dans le Même :

« Ils viendront et ils chanteront sur la hauteur de Sion, et ils afflueront vers le bien de Jéhovah, vers le froment et vers le moût et vers l'huile, et vers les fds du menu et du gros bétail, et deviendra leur âme comme un jardin arrosé ; j'arroserai l'âme fatiguée et toute âme qui souffre. » - Jérémie 31:12, 25 ;

L'âme est la vie de la foi chez l'homme de l'Église ; cet homme est dit devenir comme un jardin, parce que le jardin signifie l'intelligence qui provient des vrais de la foi, numéros 100, 108, 2702 ; et l'âme est dite être arrosée, parce que par être arrosé il est signifié être instruit.

Dans le Même :

« Au péril de nos âmes nous amenions notre pain, à cause de l'épée du désert. » - Lamentations 5:9.

Le péril des âmes est le danger de la perte de la foi, et conséquemment de la. vie spirituelle ; car l'épée du désert est le faux combattant contre les vrais qui appartiennent à la foi, numéros 2799, 4499, 6353, 7102, 8294.

Dans Ézéchiel :

« Javan, Thubal et Meschech, eux tes négociants, avec âme d'homme et vases d'airain ils ont fourni ton commerce. » - Ézéchiel 27:13.

L'âme d'homme, c'est le vrai intérieur de la foi d'après le bien, les vases d'airain sont les vrais extérieurs de la foi d'après le bien, car les vases sont les vrais extérieurs ou les vrais scientifiques, numéros 3068, 3079, et l'airain est le bien du naturel, numéros 425, 1551 ; si l'on ne sait pas que l'âme d'homme est le vrai de la foi, on ne peut pas comprendre ce que signifie commercer avec Ame d'homme et avec vases d'airain.

Dans le Même :

« Toute âme vivante, qui rampe, en quel qu’endroit que viennent les torrents, vit ; et le poisson devient très-nombreux, parce que là viennent ces eaux, et elles sont rendues saines. » - Ézéchiel 47:9.

Là, il s'agit du nouveau Temple, c'est-à-dire, de la nouvelle Église spirituelle qui vient du Seigneur ; toute âme vivante qui rampe, ce sont les vrais scientifiques qui appartiennent à la foi ; le poisson qui en devient nombreux, ce sont les scientifiques, numéros 40, 991 ; les torrents, ce sont les choses qui appartiennent à l'intelligence provenant des vrais de la foi, numéros 2702, 3051 ; ici, sans le sens interne, ou ne saurait pas non plus ce que signifierait le poisson devenu nombreux parce que là viennent les torrents.

Dans David :

« Sauve-moi, ô Dieu ! car les eaux sont venues jusqu’à mon âme. » - Psaumes 69:2 :

Et dans Jonas :

« Elles m'avaient enveloppé tes eaux jusqu'à mon âme. » - Jonas 2:6.

Ici, les eaux sont les faux, et aussi les tentations qui sont faites par des faux injectés, numéros 705, 739, 756, 790, 8137, 8138, 8368.

Dans Jérémie :

« Jéhovah dit : Est-ce que d'une nation, comme celle-ci, ne tirera point vengeance mon âme ? 11- Jérémie 5:9, 29.

Dans le Même

« Endure la correction, Jérusalem, de peur que ne se détourne mon âme de toi, et que je ne te réduise en dévastation. » - Jérémie 6:8.

L'âme, quand il s'agit du Seigneur, est le Divin Vrai.

Dans Jean :

« Le second Ange versa sa coupe dans la mer, et il se fit du sang comme (celui) d'un mort, et toute âme vivante mourut dans la mer. “ - Apocalypse 16:3.

La mer, ce sont les scientifiques dans le complexe, numéro 28 ; le sang, ce sont les vrais de la foi d'après le bien, et dans le sens opposé, les vrais de la foi falsifiés et profanés, numéros 4735, 6978, 7317, 7326 ; de là, l'âme vivante est la vie d'après la foi.

Dans Matthieu :

« Ne soyez point en » souci pour votre âme, de ce que vous mangerez ou de ce que n vous boirez. » - Matthieu 6:25 ;

L'âme, ce sont les vrais de la foi ; manger et boire, c'est être instruit clans le bien et dans le vrai de la foi, car là, dans le sens interne, il s'agit de la vie spirituelle et de sa nourriture.

Dans le Même :

« Celui qui veut trouver son âme la perdra, et celui qui aura perdu son âme, à cause de Moi, la trouvera. » - Matthieu 10:39.

L'âme, c'est la vie de la foi telle qu'elle est chez ceux qui croient, et dans le sens opposé, c'est la vie de la non-foi telle qu'elle est chez ceux qui ne croient point.

Dans Luc :

« Dans votre patience possédez-vos âmes. » - Luc 21:19.

Posséder les âmes, c'est-à-dire, les choses qui appartiennent à la foi, et par suite à la vie spirituelle. Il en est de môme dans plusieurs autres passages.

  
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Arcanes Célestes #2799

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2799. Et il prit dans sa main le feu et le couteau, signifie le bien de l'amour et le vrai de la foi : on le voit par la signification du feu, en ce qu'il est le bien de l'amour, numéro 934 ; et par la signification du couteau, en ce qu'il est le vrai de la foi : que le couteau, dont on se servait dans les sacrifices pour immoler les victimes, ait signifié le vrai de la foi, c'est ce qu'on peut voir par la signification de l'épée ou de la courte épée dans la Parole, car au lieu de couteau il est dit courte épée ; l'un et l'autre a la même signification, mais avec cette différence, que le couteau qui servait à immoler les victimes signifiait le vrai de la foi, tandis que l'épée signifiait le vrai qui combat ; et comme le couteau est rarement nommé dans la Parole, par une raison secrète, dont il sera parlé plus bas, il m'est permis de montrer ce que signifie l'Épée. Dans le sens interne l'Epée signifie le Vrai de la foi qui combat, puis la Vastation du vrai, et, dans le sens opposé, le Faux qui combat, puis la Punition du faux.

L'Epée signifie le Vrai de la Foi qui combat : on peut le voir par ces passages.

Dans David :

« Ceins-toi de ton Epée sur ta cuisse, ô puissant, prospère par ta gloire et par ton honneur ; sois à cheval sur la parole de vérité, et ta droite t'enseignera des merveilles. » - Psaumes 45:4-5.

Là, il s'agit du Seigneur, l'Epée est pour le vrai qui combat.

Dans le Même :

« Les miséricordieux bondiront dans la gloire, ils chanteront sur leurs lits ; les louanges de Dieu (seront) dans leur gosier, et l'Epée à deux tranchants dans leur main. » - Psaumes 149:5-6.

Dans Ésaïe :

« Jéhovah M'a appelé dès l'utérus, dès les entrailles de ma mère il a mentionné mon nom, et il a placé ma bouche comme une Epée aiguë, et il M'a placé en flèche polie. » - Ésaïe 49:1-2.

L'Epée aiguë est pour le vrai qui combat, et la flèche polie pour le vrai de la doctrine, Voir numéros 2686, 2709.

Dans le Même :

« Aschur tombera par l'Epée non d'un homme (viri), l'Epée non de l'homme (hominis) le dévorera, et il s'enfuira de devant l'Epée, et ses jeunes gens seront rendus tributaires. » - Ésaïe 31:8.

Aschur est le raisonnement dans les choses Divines, numéros 119, 1186 ; l'épée non d'un homme (viri) et non de l'homme (hominis) est le faux, l'épée de devant laquelle il s'enfuira, est le vrai qui combat.

Dans Zacharie :

« Retournez au retranchement, captifs dans l'attente ; même aujourd'hui je t'annonce que je te rendrai le double, (moi) qui me suis tendu Juda (comme) un arc, qui ai rempli Éphraïm, et ai excité tes fils, ô Sion ! Contre tes fils, ô Javan ! Et je te mettrai comme l'Epée du fort, et Jéhovah apparaîtra sur eux, et son javelot sortira comme la foudre, Zacharie 9:12-14.

L'épée du fort est le vrai qui combat.

Dans Jean :

« Au milieu des sept chandeliers (quelqu'un) semblable au Fils de l'homme avait dans sa main droite sept étoiles, et de sa bouche sortait une Epée aiguë à deux tranchants, et son visage était comme le Soleil brillant dans sa force. » - Apocalypse 1:13, 16.

Et ensuite :

« Voici ce que dit celui qui a l'Epée aiguë à deux tranchants : Je viendrai à toi bientôt, et je combattrai contre eux avec l'Epée de ma bouche. » - Apocalypse 2:12, 16.

L'épée aiguë à deux tranchants est évidemment le vrai qui combat, lequel est en conséquence représenté comme une Épée qui sort de la bouche.

Dans le Même :

« De la bouche de celui qui était monté sur le cheval blanc sortait une Epée aiguë, pour en frapper les nations. Et ils furent tués par l'Epée sortant de la bouche de celui qui était monté sur le cheval. » - Apocalypse 19:15, 21.

Là, il est évident que l'Epée sortant de la bouche est le vrai qui combat : on voit, ci-dessus, Numéro 2760, 2761, 2762, 2763, que celui qui est monté sur le cheval blanc est la Parole, et par conséquent le Seigneur, qui est la Parole : c'est de là que le Seigneur dit dans Matthieu :

« Ne pensez donc pas que je sois venu pour mettre la paix sur la terre ; je suis venu mettre non la paix, mais l'Epée. » - Matthieu 10:34 ;

Et dans Luc : Maintenant que celui qui a une bourse la prenne, de même aussi un sac, mais que celui qui n'en a pas vende ses vêtements et qu'il achète une Epée. Et ils dirent : Seigneur, voici deux épées ici : mais Jésus dit : Cela suffit. » - Luc 22:36, 37, 38.

Là, par l'Épée on n'entend autre chose que le Vrai d'après lequel et pour lequel ils devaient combattre.

Dans Osée :

« Je traiterai pour eux alliance en ce jour-là avec les bêtes féroces du champ, et avec l'oiseau des cieux, et le reptile de l'humus, et je briserai de dessus la terre l'arc et l'Epée et la guerre, et je les ferai coucher en sûreté. Osée 2:18.

Là, il s'agit du Royaume du Seigneur ; par briser l'arc, l'épée et la guerre, il est signifié qu'il n'y a là aucun combat au sujet de la doctrine et du vrai.

Dans Josué :

« Josué leva ses yeux, et il vit, et voici, un homme se tenait debout vis-à-vis de lui, et son épée dégainée dans sa main. Il dit à Josué : Moi, (je suis) le chef de l'armée de Jéhovah. Et Josué tomba sur sa face à terre. » - Josué 5:13-14.

Cela arriva quand Josué entra avec les fils d'Israël dans la terre de Canaan, et par là est entendue l'introduction des fidèles dans le Royaume du Seigneur ; le Vrai combattant, qui appartient à l'Eglise, est l'Epée dégainée dans la main du chef de l'armée de Jéhovah. Quant aux courtes épées ou couteaux, la preuve qu'ils signifient le vrai de la foi peut se tirer de ce qu'ils étaient employés non-seulement dans les Sacrifices, mais aussi dans la Circoncision, pour laquelle ils étaient de pierre et nommés couteaux de pierres, comme on le voit dans Josué :

« Jéhovah dit à Josué : Fais-toi des couteaux de pierres, et recommence, circoncis les fils d'Israël une seconde fois ; et Josué se fit des couteaux de pierres, et il circoncit les fils d'Israël à la colline des prépuces. » - Josué 5:2-3.

Que la circoncision ait été le représentatif de la purification de l'amour de soi et du monde, on le voit numéros 2039, 2632 ; et comme cette purification se fait par les vrais de la foi, c'est pour cela qu'on employait des couteaux de pierres, numéros 2039 (fin), 2046 (fin). L'Epée signifie la vastation du vrai : on le voit par ces passages :

Dans Ésaïe :

« Ces deux choses t'arriveront, qui te plaindra ? la vastation et le Brisement, et la famine et l'Epée, qui te consolera ? Tes fils sont tombés en défaillance et sont restés étendus à la tête de toutes les places. » - Ésaïe 51:19-20.

La famine est la vastation du bien, et l'épée la vastation du vrai ; rester étendus à la tête de toutes les places, c'est être privé de tout vrai ; la place est le vrai, numéro 2336 ; quant à la vastation, Voir ce que c'est numéros 301, 302, 303, 304, 407, 408, 410, 411.

Dans le Même :

« Je vous compterai par l'Epée, et vous tous vous vous courberez pour être égorgés, parce que j'ai appelé, et vous n'avez point répondu ; j'ai parlé et vous n'avez point écouté. » - Ésaïe 65:12.

Dans le Même ;

« Dans le feu Jéhovah contestera, et par son Epée avec toute chair, et ils seront en grand nombre les transpercés de Jéhovah. » - Ésaïe 66:16.

Les transpercés de Jéhovah, ce sont ceux qui ont été dévastés.

Dans Jérémie :

« Sur toutes les collines dans le désert sont venus les dévastateurs, parce que l'Epée de Jéhovah dévore depuis l'extrémité de la terre jusqu'à l'extrémité de la terre ; point de paix pour aucune chair ; ils ont semé des froments, et ils ont moissonnés des épines. » - Jérémie 12:12-13.

L'Épée de Jéhovah est évidemment la vastation du vrai.

Dans le Même :

« Ils ont menti contre Jéhovah, et ils ont dit : ce n'est point Lui ; et le mal ne viendra point sur nous, et nous ne verrons ni l'Epée, ni la famine : et les prophètes deviendront du vent, et la Parole point en eux. » - Jérémie 5:12-13 :

Dans le Même :

« Moi, je vais les visiter ; les jeunes gens mourront par l'Epée, leurs fils et leurs filles mourront par la famine. » - Jérémie 11:22.

Dans le Même : Quand ils offriront l'holocauste et la mincha, Moi je ne les recevrai pas favorablement, parce que par l'Épée et par la Famine et par la Peste, Moi je les consumerai. Et je dis : Ah ! Ah ! Seigneur Jéhovih, voici, les prophètes leur disent : vous ne verrez point l'Epée, et la famine ne sera point parmi vous. » - Jérémie 14:12-13 :

Dans le Même :

« La ville a été livrée dans la main des Chaldéens qui combattent contre elle, de devant l'Épée et la Famine et la Peste. » - Jérémie 32:24, 36 :

Dans le Même :

« J'enverrai sur eux l'Epée, la Famine et la Peste jusqu'à les consumer de dessus l'humus que j'ai donné à eux et à leurs pères. » - Jérémie 24:10 ;

Dans ces passages, la Vastation est décrite par l'Épée, par la famine et par la peste ; par l'Épée, la vastation du vrai ; par la famine, la vastation du bien ; et par la peste, le pillage jusqu'à la consommation.

Dans Ézéchiel :

« Fils de l'homme, prends une Epée tranchante, un rasoir des barbiers, prends-le à toi, et fais-le passer sur ta tête et sur ta barbe, et prends-toi des balances à peser, et fais-en le partage ; brûle une troisième partie au feu dans le milieu de la ville, frappe une troisième partie par l'Epée autour d'elle, et disperse une troisième partie au vent, et je tirerai l'Epée après eux. Une troisième partie mourront de la peste, et seront consumés par la famine au milieu de toi, et une troisième partie tombera par l'Epée tout autour, et je disperserai une troisième partie à tout vent, et je tirerai l'Epée après eux. » - Ézéchiel 5:1-2, 12, 17.

Là, il s'agit de la vastation du Vrai naturel, qui est ainsi décrite.

Dans le Même :

« L'Epée au dehors, et la peste et la famine au-dedans ; celui qui est dans le champ mourra par l'épée, et celui qui est dans la ville, la famine et la peste le dévoreront. » - Ézéchiel 7:15.

Dans le Même :

« Dis à l'humus d'Israël : Ainsi a dit Jéhovah : Me voici vers toi, et je tirerai mon Epée de son fourreau, et je ferai retrancher de toi le juste et le méchant ; parce que je ferai retrancher de toi le juste et le méchant, à cause de cela mon Epée sortira de son fourreau ; elle n'y retournera plus. La Parole de Jéhovah (fut) vers moi, en disant : Fils de l'homme, prophétise et dis : Ainsi a dit Jéhovah : Dis : L'Epée, l'Epée aiguisée, et même fourbie ; pour faire le carnage elle a été aiguisée, pour que l'éclair soit en elle, elle a été fourbie. Fils de l'homme, prophétise et dis : Ainsi a dit le Seigneur Jéhovih touchant les fils d'Ammon, et touchant leur opprobre : Et dis : l'Epée, l'Épée, l'Epée dégainée pour le carnage, et fourbie pour consumer à cause de l'éclair, pendant qu'on voit pour toi la vanité, pendant qu'on devine pour toi le mensonge. » - Ézéchiel 21:3-5, 8-10, 28-29.

Là, par l'épée il n'est signifié autre chose que la vastation, comme on le voit par chaque mot dans le sens interne.

Dans le Même :

« Le Roi de Babel détruira tes tours par ses Epées ; à cause de la multitude de ses chevaux leur poussière te couvrira ; à cause de la voix du cavalier, et de la roue, et du chariot, tes murailles seront ébranlées ; sous les sabots de ses chevaux il foulera toutes tes rues. » - Ézéchiel 26:9, 10, 11.

On voit numéro 1326, ce que c'est que Babel, et numéro 1327, qu'elle dévaste.

Dans David :

« S'il ne se convertit pas, Dieu aiguisera son Epée, il tendra son arc, et il le préparera. » - Psaumes 7:12 .

Dans Jérémie :

« J'ai dit : Ah ! Ah ! Seigneur, véritablement en abusant tu as abusé ce peuple et Jérusalem, en disant : vous aurez la paix ; et l'Epée a atteint jusqu'à l'âme. » - Jérémie 4:10 .

Dans le Même : Annoncez en Egypte, et faites eu tendre dans Migdol : Arrête-toi et prépare-toi, parce que l'Epée dévorera tes circuits. » - Jérémie 46:14 .

Dans le Même :

« L'Epée (est) sur les Chaldéens et sur les habitants de Babel, et sur ses préfets et sur ses sages : l'Epée sur les conteurs, et ils seront insensés : l'Epée sur ses forts, et ils seront consternés : l'Epée sur ses chevaux, et sur son char, et sur la foule pèle mêle qui est au milieu d'elle, et ils seront comme des femmes : l'Epée sur ses trésors, et ils seront pillés ; la sécheresse sur ses eaux, et elles tariront. » - Jérémie 50:35-38.

L'Epée est évidemment la vastation du vrai ; car il est dit l'Épée sur les sages, sur les conteurs, sur les forts, sur les chevaux et le char, sur les trésors, et la sécheresse sur les eaux et elles tariront.

Dans le Même :

« Nous avons donné la main à l'Egypte, à Aschur pour nous rassasier de pain ; des esclaves ont dominé sur nous, personne ne nous délivre de leur main ; au péril de notre âme nous amenions notre pain, de devant l'Epée du désert. » - Lamentations 5:6, 8-9 .

Dans Osée :

« Il ne retournera pas vers la terre d'Egypte ; et Aschur, lui, (sera) son Roi, parce qu'ils ont refusé de revenir à Moi ; et l'Epée sera suspendue sur ses vides, et elle consumera ses barres, et elle dévorera, à cause de leurs desseins. » - Osée 11:5-6.

Dans Amos :

« J'ai envoyé contre vous la Peste dans le chemin de l'Egypte, j'ai tué par l'Epée vos jeunes gens avec la captivité de vos chevaux. » - Amos 4:10 .

Dans le chemin de l'Egypte, ce sont les scientifiques qui dévastent, quand on raisonne d'après eux sur les choses Divines ; la captivité des chevaux, c'est l'intellectuel entièrement privé de sa qualité. Voir Amos 3.

L'Epée, dans le sens opposé, signifie le faux gui combat : on peut le voir dans David :

« Par mon âme je couche au milieu des lions qui enflamment les fils de l'homme ; leurs dents (sont) une lance et des javelots ; et leurs langues, une Epée aiguë. » - Psaumes 5 :

Dans le même :

Voici, ils rendent des exhalaisons par leur bouche ; des Epées (sont) dans leurs lèvres, car (disent-ils) : qui (nous) entend ? - Psaumes 59:8 :

Dans Ésaïe :

« Tu as été jeté hors de ton sépulcre, comme un tronc abominable, un vêtement de (gens) tués, transpercés par l'Epée, qui sont descendus vers les pierres de la fosse comme un cadavre foulé aux pieds. » - Ésaïe 14:19.

Là, il s'agit de Lucifer.

Dans Jérémie :

« En vain j'ai frappé vos fils, ils n'ont point reçu d'instruction ; votre Epée a dévoré vos prophètes, comme un lion qui ravage, ô génération, vous-mêmes voyez la Parole de Jéhovah, ai-je été un désert à Israël ? » - Jérémie 2:30.

Dans le Même :

« Ne sors point au champ, et ne marche point dans le chemin, parce que (là est) l'Epée de l'ennemi, la frayeur (est) tout à l'entour. » - Jérémie 6:25-26 .

Dans le Même :

« Prends la coupe du vin de la fureur, et fais-la boire à toutes les nations vers lesquelles Moi je t'envoie ; et ils boiront, et ils seront ébranlés, et ils deviendront insensés devant l'Epée que j'en verrai parmi vous ; buvez et enivrez-vous, et vomissez, et tombez, et que vous ne vous releviez point devant l'Epée. » - Jérémie 25:15-16, 27 .

Dans le Même :

« Montez, chevaux ; élancez-vous avec fureur, chariots ; qu'ils sortent les forts, Kusch et Puth en saisissant le bouclier, et les Ludions en saisissant, en tendant l'arc ; et ce jour (est) au Seigneur Jéhovih des armées, jour de vengeance ; et l'Epée dévorera, et elle sera rassasiée, et elle sera enivrée de leur sang. » - Jérémie 46:9-10 .

Dans Ézéchiel :

« Ils te dépouilleront de tes vêtements, et ils prendront les joyaux de ta gloire, et ils te laisseront nue et découverte ; et ils feront monter sur toi l'assemblée, et ils te lapideront de pierre, ils te transperceront de leurs Epées. » - Ézéchiel 16:39-40.

Là, il s'agit des abominations de Jérusalem.

Dans Zacharie :

« Malheur au pasteur de vanité, qui abandonne le troupeau ; l'Epée tombera sur son bras, et sur son œil droit ; son bras en séchant séchera, et son œil droit en s'obscurcissant sera obscurci. » - Zacharie 11:17.

Dans Osée :

« Contre Moi ils ont pensé le mal ; ils tomberont par l'Epée leurs princes, à cause de la colère de leur langue, ce sera leur dérision dans la terre d'Égypte. » - Osée 7:15-16.

Dans Luc :

« Il y aura une grande angoisse sur la terre, et une colère sur ce peuple ; car ils tomberont sous le tranchant de l'Epée, et ils seront captifs parmi toutes les » nations, enfin Jérusalem sera foulée par les nations, » - , .

Là, le Seigneur parle de la consommation du siècle ; dans le sens de la lettre, des Juifs, en ce qu'ils doivent être dispersés, et de Jérusalem, en ce qu'elle doit être détruite ; mais dans le sens interne, du dernier état de l'Eglise ; tomber sous le tranchant de l'épée, signifie qu'il n'y aura plus le vrai, et qu'il n'y aura que le faux ; toutes les nations signifient les maux de tout genre parmi lesquels ils seront captifs ; on peut voir, numéros 1259, 1260, 1849, 1868, que les nations sont les maux ; et numéro 2117, que Jérusalem est l'Église qui doit être ainsi foulée aux Luc pieds.

4: L'Epée signifie aussi la punition du faux : on le voit dans Ésaïe :

« En ce jour là Jéhovah fera la visite, avec son épée dure et grande et forte, sur Léviathan le serpent long, et sur Léviathan le serpent tortueux, et il tuera les baleines qui (sont) dans la mer. » - Ésaïe 27:1.

Là, il s'agit de ceux qui entrent dans les mystères de la foi par des raisonnements tirés des sensuels et des scientifiques ; l'épée dure, grande et forte signifie les punitions du faux qui en résultent. Quand on lit qu'ils ont été dévoués et passés au fil de l'Epée, parfois depuis l'homme jusqu'à la femme, depuis l'enfant jusqu'au vieillard, jusqu' au bœuf, au bétail et à l'âne, dans le sens interne cela signifie la peine de la damnation du faux, comme dans , Josué 10:28, 30, 37, 39, 11:10, 11, 12, 14, 13:22, 19:47. Juges 1, 8, 25. Josué 4:15, 16, 1 Samuel 15:8, 11. 2 Rois 10:25, et ailleurs ; - de là vient qu'il fut ordonné que la Ville qui adorerait d'autres Dieux serait frappée par l'Epée, serait dévouée et brûlée par le feu, et serait éternellement un monceau (de ruines). » - Deutéronome 13:13, .

L'Epée est la peine du faux, et le feu la peine du mal. L'Ange de Jéhovah qui se tint l'Epée dégainée dans le chemin vis-à-vis Biléam, - Nombres 22:22, 31, - signifiait le vrai qui s'opposait au faux dans lequel était Biléam, aussi celui-ci fut-il tué par l'Epée, - Nombres 31:8.

Si l'Epée signifie dans le sens pur le vrai qui combat, et dans le sens opposé le faux qui combat, puis la vastation du vrai et la punition du faux, cela tire son origine des représentatifs dans l'autre vie ; là, en effet, quand quelqu'un prononce ce qu'il sait être faux, aussitôt il lui tombe sur la tête comme de petites épées qui le frappent d'épouvante ; et en outre le Vrai qui combat est représenté par des choses qui sont pointues comme des épées ; car le vrai sans le bien est tel ; mais, avec le bien, il est arrondi et sans aspérité : comme telle est l'origine, de là vient que toutes les fois que le couteau, ou la lance, ou la courte épée, ou l'épée, sont nommés dans la Parole, le vrai qui combat se présente aux Anges. Toutefois si le Couteau est très rarement nommé dans la Parole, c'est parce qu'il y a dans l'autre vie des mauvais esprits, qui sont nommés porte-couteaux (cultrarii), et au côté desquels apparaissent suspendus des Couteaux, et cela parce qu'ils sont d'une nature si féroce qu'ils veulent avec leur couteau égorger tous les autres ; de là vient qu'il n'est presque point fait mention du couteau, mais qu'il est parlé de la courte épée et de l'épée ; car ces armes, étant usitées dans les combats, éveille l'idée de la guerre, et par conséquent du vrai qui combat. Comme les Anciens savaient que la courte épée, la lancette et le couteau signifiaient le vrai, de là les gentils, auxquels cela était venu par tradition, avaient coutume, en faisant leurs sacrifices, de se piquer et de se lacérer jusqu'au sang avec de courtes épées, des lancettes ou des couteaux, ainsi qu'on le lit au sujet des prières de Baal :

« Les Prêtres de Baal criaient à grande voix, et ils se faisaient des incisions, selon leur coutume, avec des épées et des lancettes, jusqu'à faire couler le sang. » - Nombres 1 Rois 18:28.

Que toutes les armes de guerre, dans la Parole, signifient les choses qui appartiennent au combat spirituel, et chacune en particulier, quelque chose de spécial, on le voit numéro 2686.

  
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