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Jérémie 51:53

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53 Quand Babylone serait montée jusqu'aux cieux, et qu'elle aurait fortifié le plus haut de sa forteresse, toutefois les destructeurs y entreront de par moi, dit l'Eternel.

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L’Apocalypse Révélée # 763

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763. Vers. 18:7. Autant elle s'est glorifiée elle-même, et s'est livrée à des délices, autant donnez-lui de tourment et de deuil, signifie qu'au même degré où il y a eu fierté de cœur à cause de la domination, et bondissement de mental (animus) et de corps à cause des richesses, il y a pour eux après la mort douleur interne à cause de leur chute et des railleries, et à cause de l'indigence et de la misère. Par autant elle s'est glorifiée elle-même, il est signifié au même degré où il y a eu fierté de cœur à cause de la domination, car ils se glorifient de cette domination ; par autant elle s'est livrée à des délices, il est signifié au même degré où il y a eu bondissement de mental (animus) et de corps à cause des richesses, et à cause des plaisirs et des agréments qu'elles procurent, comme ci-dessus, No. 759 ; par lui donner du tourment, est signifiée la douleur interne à cause de la perle de la domination et alors à cause des railleries, leur tourment après la mort ne vient pas d'autre part ; et par lui donner du deuil, est signifiée la douleur interne à cause de l'indigence et de la misère, leur deuil après la mort vient de là. Le plaisir de l'amour de dominer d'après l'amour de soi sur toutes les choses du Seigneur, qui sont toutes les choses du Ciel et de l'Église, est changé après la mort en un tel tourment, et le charme de l'amour de remplir son mental (animus) et son corps par les délices que procure l'opulence, chez ceux qui sont dans cet amour de dominer, est changé en un tel deuil ; car les plaisirs et les charmes procédant des amours font la vie de chacun ; c'est pourquoi, quand ils sont changés en leurs opposés il y a tourment et deuil : ce sont là les rétributions et les peines, qui sont entendues dans la Parole par les tourments dans l'enfer ; et par suite la haine contre le Seigneur, et la haine contre toutes les choses du Ciel et de l'Église, sont entendues par le feu de l'enfer. Des choses semblables sont dites de Babel dans les Prophètes ; par exemple :

— « Je rendrai à Babel et à tous les habitants de la Chaldée tout le mal qu'ils ont fait dans Sion devant vos yeux. » — Jérémie 51:24.

— « Il viendra sur Babel, le dévastateur ; car le Dieu des rétributions, Jéhovah, en rétribuant rétribuera. » — Jérémie 51:6, 56.

— « Elle a été plongée dans l'enfer, ta magnificence ; sous toi est étendu le ver (le tourment qui est la douleur interne) ; tu avais dit dans ton cœur : Aux Cieux je monterai, au-dessus des étoiles de Dieu j'élèverai mon trône, semblable je deviendrai au Très-Haut ; cependant vers l'enfer tu a été précipité ; ceux qui te verront diront : Est-ce là cet homme qui ébranlait la terre, qui faisait trembler les royaumes etc. » — Ésaïe 14:11, 13-14, 15, 16 ; — ces choses ont été dites de Lucifer, qui là est Babel, comme on le voit là par les Vers, 4 et 22.

  
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Arcanes Célestes # 1003

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1003. Ne mangez pas la chair dans son âme, le sang, c'est ne pas mêler les choses profanes avec les choses saintes : ce qui précède le prouve. Les choses profanes ne sont nullement mêlées avec les choses saintes, parce que quelqu'un mange le sang avec la chair ; et le Seigneur l'enseigne bien clairement dans Matthieu :

« Ce qui entre dans la bouche ne rend pas l'homme impur ; mais ce qui sort de la bouche, cela rend l'homme impur ; car les choses qui sortent de la bouche sortent du cœur. » - Matthieu 15:11, 17, , .

mais cela fut défendu dans l'Eglise Judaïque, parce qu'alors, comme on l'a dit, la profanation était représentée, dans le ciel, par l'action de manger le sang avec la chair. Tout ce qui se faisait dans cette Eglise se changeait, dans le Ciel, en représentatifs correspondants ; ainsi le sang se changeait en une sainteté céleste ; la chair, excepté celle des sacrifices, se changeait en une profanation, parce qu'elle signifiait, comme on l'a montré, les cupidités ; et l'action de manger l'un et l'autre se changeait en un mélange de sainteté et de profanation. Voilà pourquoi cette action fut alors si sévèrement interdite. Mais, après l'Avènement du Seigneur, les rites externes ayant été abolis, et les représentatifs ayant par conséquent cessé, alors de telles choses ne se changeaient plus dans le ciel en représentatifs correspondants : en effet, quand l'homme devient interne et qu'il est instruit sur les internes, les externes ne sont plus rien pour lui ; alors il sait en quoi consiste la sainteté, il sait qu'elle consiste dans la charité et dans la foi qui précède de la charité ; alors c'est d'après elles que l'on considère ses externes, c'est-à-dire que l'on voit combien il y a dans les externes déchante et de foi dans le Seigneur. C'est pourquoi, depuis l'Avènement du Seigneur, l'homme est considéré dans le ciel, non par les externes, mais par les internes ; si quelqu'un est considéré par les externes, c'est qu'il y a en lui de la simplicité, et que dans cette simplicité il y a l'innocence et la charité qui sont placées par le Seigneur dans les externes, ou dans le culte externe de cet homme, sans qu'il en sache rien.

  
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