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Jérémie 51:35

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35 Ce qu'il m'a ravi par violence, et ma chair [est] à Babylone, dira l'habitante de Sion; et mon sang est chez les habitants de la Caldée, dira Jérusalem.

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Apocalypse Explained # 358

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358. And a crown was given [unto Him], signifies eternal life which is the reward of victory. This is evident from the signification of "crown," as being, when spiritual combat is treated of, as here, eternal life which is the reward of victory. That spiritual combat is here treated of is evident from what precedes and follows; in what precedes it is said that "He that sat upon the white horse had a bow," and "a bow" signifies the doctrine of charity and faith, from which one fights against evils and falsities and disperses them. It is also evident from what follows, in which it is said, "and He went forth conquering and that He might conquer," by which is signified victory over evils and falsities; therefore "crown" here signifies eternal life, which is the reward of victory.

[2] "Crown" has a similar signification where temptations are treated of, because temptations are spiritual combats, as in the second chapter of this book, where these words occur:

Behold, the devil is about to cast some of you into prison, that ye may be tried; and ye shall have affliction ten days; be thou faithful even till death, and I will give thee the crown of life (Revelation 2:10).

Here "crown" signifies wisdom and eternal happiness, as may be seen above n. 126. Wisdom and eternal happiness taken together are eternal life, for the very life of heaven is in wisdom and eternal happiness. The "crown" of the martyrs has a like signification because they were in affliction, and were "faithful even till death," and were also in temptations and conquered; moreover, after death crowns were given them; but lest they should on that account appropriate honor to themselves, and thus acquire haughtiness, they cast them off from their heads.

[3] Because in the Word "wars" signify wars in a spiritual sense which are combats against evils and falsities, and "kings" signify truths from good which fight against evils and falsities, in ancient times, when men had a knowledge of correspondences and representations, kings in their battles wore a crown upon the head, and a bracelet upon the arm, as can be seen in the second book of Samuel:

The young man, the son of an Amalekite, who told David that Saul and Jonathan were dead, said, I came upon Mount Gilboa, when behold, Saul leaned upon his spear; and the chariots and leaders followed hard after him. And he said to me, Come and put me to death. And I stood against him, and put him to death, and I took the crown that was upon his head and the bracelet that was on his arm, and I bring them to thee (2 Samuel 1:6, 8-10).

A crown in battle has then a sign of combat, and a bracelet upon the arm was a sign of power, each against evils and falsities. These combats are also signified by battles everywhere in the Word, even in the historical parts. (That "bracelet upon the arm" signifies the power of truth from good, see Arcana Coelestia 3105. What further "crowns of kings" and "crowns" in general signify, see above, n. 272)

  
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Thanks to the Swedenborg Foundation for their permission to use this translation.

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Arcanes Célestes # 934

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934. Que le froid signifie l'absence de l'amour, ou l'absence de la charité et de la foi ; et que le chaud ou le feu signifie l'amour ou la charité et la foi, c'est ce dont on peut s'assurer par les passages suivants de la Parole.

Dans Jean il est dit à l'Eglise de Laodicée :

« Je connais tes œuvres (savoir) que tu n'es ni Froid ni Chaud : mieux vaudrait que tu fusses Froid ou Chaud c'est pourquoi, parce que tu es tiède, et que tu n'es ni Froid ni Chaud, je te vomirai de ma bouche. » - Apocalypse 3:15-16.

Là, être froid, c'est n'avoir aucune charité ; être chaud, c'est avoir beaucoup de charité.

Dans Ésaïe :

« Ainsi a dit Jéhovah : Je me reposerai et Je regarderai dans mon lieu, comme une Chaleur sereine sur la lumière, comme une nuée de rosée dans la Chaleur de la moisson. » - Ésaïe 18:4.

Il s’agit là d'une nouvelle Eglise à établir ; la chaleur sur la lumière et la chaleur de la moisson sont employés au lieu de l'amour et de la charité.

Dans le Même :

« Jéhovah dont le Feu (est) dans Sion, et la fournaise dans Jérusalem. " - Ésaïe 31:9.

Le feu est mis pour l'amour. Il est dit au sujet des Chérubins vus par Ézéchiel :

« (Voici) la ressemblance des Animaux ; leur aspect (était) comme des charbons ardents de feu, comme l'aspect des lampes ; ce (feu) courait parmi les animaux, et (c'était) une splendeur de Feu, et de ce Feu sortait un éclair. » - Ézéchiel 1:13

Dans le Même, il est dit en parlant du Seigneur :

« Au-dessus de l'étendue qui (était) sur la tête des chérubins, (il y avait) comme l'aspect d'une pierre de saphir, une ressemblance de trône, et sur la ressemblance du trône une ressemblance comme l'aspect d'un homme (placé) plus haut sur lui. et je vis comme une apparence de braise ardente (et) comme une apparence de feu au-dedans d'elle (et) tout autour, depuis l'aspect des reins de Cet (homme) et au-dessus ; et depuis l'aspect de Ses reins et au-dessus, je vis comme l'aspect d'un Feu, dont la splendeur (se répandait) tout autour. » Ézéchiel 1:26-27; Ézéchiel 8:2.

Là, le feu est mis au lieu de l'amour.

Dans Daniel :

« L'Ancien des jours s'assit ; son trône (était) des Flammes de Feu ; les roues de ce (trône), un Feu ardent. Un fleuve de Feu coulait et sortait de devant lui ; mille milliers Le servaient, et une myriade de myriades se tenait debout devant Lui. » - Daniel 7:9-10.

Le feu c'est l'amour du Seigneur.

Dans Zacharie :

« Je » lui serai, dit Jéhovah, une muraille de Feu tout autour. » - Zacharie 2:9.

Il s’agit là de la Nouvelle Jérusalem.

Dans David : » Jéhovah fait des vents ses messagers, et du Feu enflammé ses ministres. » - Psaumes 104:4, - Le feu enflammé, c'est le céleste spirituel. Comme le feu signifiait l'amour, le feu est devenu aussi le représentatif du Seigneur ; on en a la preuve par le Feu qui était sur l'autel de l'holocauste, et qui ne devait jamais être éteint, - Lévitique 6:2, 5, 6.

Il représentait la Miséricorde du Seigneur : voilà pourquoi Aharon, avant d'entrer dans le propitiatoire, devait faire brûler le parfum avec du Feu pris sur l'autel de l'holocauste, - Lévitique 16:12-13, 14.

C'était aussi pour signifier que le culte avait été accepté par le Seigneur, que le Feu descendait du ciel et consumait les holocaustes, comme on le voit, - Lévitique 9:24, [Il manque du texte ici], ; Lévitique 10:1-2.

Le feu étranger représente tout amour de soi et tout amour du monde et toute cupidité produite par ces amours. De plus, l'amour céleste ne parait jamais autrement aux impies que comme un feu ardent et consumant ; et c'est pour cela que, dans la Parole, il est dit que le Seigneur est un feu consumant ; ainsi, sur le mont Sinaï, le Feu, qui représentait l'Amour ou la Miséricorde du Seigneur, parut aux yeux du peuple comme un feu consumant ; aussi les Israélites dirent-ils à Moïse de ne plus leur faire entendre la voix de Jéhovah-Dieu ni voir le grand Feu, de peur qu'ils ne mourussent, - Deutéronome 18:16.

C'est ainsi que l'Amour ou la Miséricorde du Seigneur se manifeste à ceux qui sont dans le feu des amours de soi et du monde.

  
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