ბიბლია

 

Genèse 3:1

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1 Or le serpent était le plus fin de tous les animaux des champs que l'Eternel Dieu avait faits; et il dit à la femme : Quoi! Dieu a dit, vous ne mangerez point de tout arbre du jardin?

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L'Amour Conjugal # 133

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133. Ils prirent ensuite le second sujet de discussion: « Pourquoi l'homme naît-il sans la connaissance d'aucun amour, alors que les bêtes et les oiseaux, tant bons que mauvais, naissent dans les connaissances de tous leurs amours? »

Ils commencèrent par confirmer la vérité de cette proposition par différentes considérations; par exemple, que l'homme naît sans aucune connaissance, pas même celle de l'amour conjugal. Des observateurs leur apprirent que l'enfant ne peut de lui-même s'approcher du sein de la mère, mais que c'est la mère ou la nourrice qui l'en approche. Il sait seulement téter, l'ayant appris par une continuelle succion dans l'utérus. Plus tard, il ne sait ni marcher, ni articuler le son en paroles humaines, ni même comme les bêtes, exprimer par des sons l'affection de son amour. En outre, il ne connaît aucun des aliments qui lui conviennent, comme les connaissent les bêtes, mais il prend ce qu'il rencontre, propre ou sale, et le porte à sa bouche. Ces observateurs ajoutèrent que, sans instruction, l'homme ne sait même pas discerner le sexe, ni les manières de l'aimer. A moins d'être instruits par d'autres, les jeunes filles et les jeunes garçons n'en savent rien, bien qu'ils aient été élevés dans diverses connaissances. En un mot, l'homme naît corporel comme le ver, et le demeure, à moins qu'il n'apprenne par d'autres à savoir, à comprendre et à devenir sage.

Après cela, ils confirmèrent que les bêtes, tant bonnes que mauvaises, naissent dans toutes les connaissances des amours de leur vie, dans tout ce qui concerne la nutrition, l'habitation, l'amour du sexe et la prolification, l'éducation de leurs petits. Ils confirmaient cela en se rappelant ce qu'ils avaient vu, entendu et lu dans le monde naturel (c'est ainsi qu'ils appellent notre monde), où ils avaient précédemment vécu, et dans lequel les bêtes sont repliés et non représentatives.

La vérité de la proposition ayant été ainsi établie, ils s'appliquèrent à trouver les fins et les causes qui serviraient à développer et à découvrir cet arcane. Ils dirent tous: « Cela ne peut exister ainsi que d'après la Divine Sagesse, afin que l'homme soit homme, et que la bête soit bête; et qu'ainsi l'imperfection de naissance de l'homme en devienne la perfection, et que la perfection de naissance de la bête en soit l'imperfection. »

  
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