ბიბლია

 

Nombres 6:12

Სწავლა

       

12 Il consacrera de nouveau à l'Eternel les jours de son naziréat, et il offrira un agneau d'un an en sacrifice de culpabilité; les jours précédents ne seront point comptés, parce que son naziréat a été souillé.

სვედენბორგის ნაშრომებიდან

 

Arcanes Célestes # 7978

შეისწავლეთ ეს პასაჟი.

  
/ 10837  
  

7978. Et ils cuisirent la pâte qu'ils avaient emportée d'Egypte en gâteaux azymes, signifie que d'après le vrai du bien était de nouveau produit le bien dans lequel il n'y avait rien du faux : on le voit par la signification de cuire, quand cela se dit du vrai qui est signifié parla pâte, en ce que c'est produire ; par la signification de la pâte, en ce qu'elle est le vrai du bien, numéro 7966 ; et par la signification des gâteaux azymes, en ce qu'il sont les biens dans lesquels il n'y a rien du faux ; que les azymes soient ce qui est sans le faux, on le voit numéros 2342, 7906. Que ce second état soit celui du vrai d'après le bien, dans lequel ils étaient quand ils furent délivrés, on le voit numéros 7966, 7972. Si les gâteaux sont les biens, c'est parce qu'ils sont du pain, et que le pain dans le sens interne est le bien de l'amour, numéro 276, 680, 2165, 2177, 3464, 3478, 3735, 3813, 4211, 4217, 4735, 4976, 5915 ; mais le pain des gâteaux est distingué du pain commun, en ce que le pain des gâteaux signifie le bien de l'amour en vers le prochain, ainsi le bien spirituel, et que le pain commun signifie le bien de l'amour pour le Seigneur, ainsi le bien céleste : ce bien spirituel a été signifié par la minchah, qui était offerte et brûlée avec le sacrifice sur l'autel, car la minchah était cuite en gâteau et en beignets, comme on peut le voir, Exode 29:2-3, 23-24, Lévitique 2:2, Nombres 6:15, ,.

La même chose était signifiée par les douze pains de proposition, qui étaient cuits aussi en gâteaux, dont il est parlé ainsi dans Moïse :

« Tu prendras de la fine farine, et tu la cuiras en douze gâteaux ; de deux dixièmes sera chaque gâteau ; et tu les placeras en deux rangées, six par rangée, sur la table pure devant Jéhovah ; et tu mettras sur (chaque) rangée de l'encens pur ; et ce sera pour pains en mémorial, ignition à Jéhovah. » - Lévitique 24:5-6, 7, 8, 9.

D’après cela, on peut voir que les pains signifiaient le saint, car autrement une telle chose n'eût jamais été commandée ; et parce qu'ils signifiaient le saint, ils sont aussi appelés la sainteté des saintetés, - Lévitique 24:9 : mais par ces pains était signifié le bien de l'amour céleste, et par la cuisson en gâteaux étaient signifiés les biens de l'amour spirituel. D'après ce qui vient d'être dit, et d'après ce qui a été rapporté dans les passages ci-dessus cités, on peut voir que la même chose est entendue par le pain dans la Sainte Cène.

  
/ 10837  
  

სვედენბორგის ნაშრომებიდან

 

Arcanes Célestes # 276

შეისწავლეთ ეს პასაჟი.

  
/ 10837  
  

276. Manger le pain à la sueur du visage signifie avoir en aversion ce qui est céleste : on peut le voir par la signification du Pain ; par Pain, il est entendu tout ce qui est spirituel et céleste, c'est-à-dire, la nourriture angélique, sans laquelle l'ange ne pourrait pas plus vivre que l'homme qui serait privé de pain ou de nourriture. Le céleste et le spirituel dans le ciel correspondent aussi au pain sur les terres ; et même ils sont représentés par le pain, comme on le voit par beaucoup de passages : que le Seigneur soit le Pain, parce que de Lui vient tout ce qui est Céleste et Spirituel, Lui-Même l'enseigne dans Jean :

« C'est ici le Pain qui du Ciel est descendu ; celui qui mangera ce pain, vivra éternellement. » - Jean 6:58.

C’est pour cela aussi que le Pain et le Vin sont des Symboles dans la Sainte Cène ; ce céleste a aussi été représenté par la Manne. Que le Céleste et le Spirituel soient la nourriture angélique, on le voit aussi par les paroles du Seigneur :

« Non pas de pain seul vivra l'homme, mais de toute parole sortant de la bouche de Dieu. » - Matthieu 4:4,

C'est-à-dire, de la vie du Seigneur, de laquelle émane tout ce qui est céleste et spirituel. La dernière Postérité de la Très-Ancienne Eglise, qui précéda immédiatement le déluge, et dont il s'agit ici, était tellement corrompue, et plongée dans les sensuels et les corporels, que ces hommes ne voulaient pas entendre ce que c'était que la vérité de la foi, ce que c'était que le Seigneur, ni qu'il devait venir et les sauver ; et lorsqu'on parlait de telles choses, ils les avaient en aversion ; cette aversion est décrite par manger le pain à la sueur du visage. Il en fut de même des Juifs, qui, parce qu'ils étaient tels, qu'ils ne reconnaissaient pas les célestes, et ne voulaient d'autre Messie qu'un Messie mondain, ne purent s'empêcher d'avoir en aversion la manne, parce qu'elle était la représentation du Seigneur, et de la nommer pain méprisable ; c'est pourquoi des serpents furent envoyés contre eux, - Nombres 21:5-6.

De plus, les célestes qui leur causaient des angoisses, de la misère, des larmes, étaient appelés pain d'angoisse, pain de misère, pain de larmes ; ceux qui leur causaient de l'aversion sont nommés ici pain de la sueur du visage.

  
/ 10837