Bible

 

Lévitique 7:14

Studie

       

14 Et il en offrira une pièce de toutes les espèces qu'il offrira pour oblation élevée à l'Eternel; [et] cela appartiendra au Sacrificateur qui répandra le sang du sacrifice de prospérités.

Komentář

 

Explication du Lévitique 7:14

Napsal(a) Henry MacLagan (strojově přeloženo do Français)

Verset 14. Et donc, cet état céleste est confessé comme étant reçu du Seigneur, le résultat étant que le pur bien céleste est approprié par celui qui associe la vérité au bien dans un tel culte.

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Arcanes Célestes # 874

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874. Ici est décrit le premier état de la régénération de l'homme de cette Eglise, après la tentation, état commun à tous ceux qui se régénèrent, et consistant en ce qu'ils croient faire le bien et penser le vrai par eux-mêmes ; et comme ils sont encore dans une très grande obscurité, le Seigneur les laisse jusque-là dans cette opinion ; mais néanmoins tout le bien qu'ils font et tout le vrai qu'ils pensent, tant qu'ils conservent cette opinion qui est fausse, n'est ni le bien ni le vrai de la foi ; car tout ce que l'homme produit de lui-même ne peut être le bien, parce qu'il est lui-même une source impure et immonde, et que jamais le bien ne peut sortir d'une source impure et immonde. Un tel homme, en effet, pense toujours à son propre mérite et à sa propre justice ; quelques-uns vont encore plus loin, et méprisent les autres, quand ils les comparent à eux-mêmes, comme le Seigneur l'enseigne.

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D'autres enfin donnent dans d'autres excès ses propres cupidités se mettent de la partie, de sorte qu'au dehors il y a apparence de bien, et néanmoins la corruption est au dedans. Voilà pourquoi le bien que l'homme fait dans cet état n'est pas le bien de la foi. Il en est de même du vrai qu'il pense ; lors même que ce qu'il pense serait très-vrai, néanmoins tant que cette pensée vient du propre, il n'y à point en elle le bien de la foi, quoique en elle-même soit certainement le vrai de la foi. Tout vrai, pour être le vrai de la foi, doit avoir en lui par le Seigneur le bien de la foi ; c'est alors seulement qu'il devient bien et vrai.

  
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