Bible

 

Juges 5:14

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14 Leur racine est depuis Ephraïm jusqu'à Hamalek; Benjamin [a été] après toi parmi tes peuples; de Makir sont descendus les Gouverneurs; et de Zabulon ceux qui manient la plume du Scribe.

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Arcanes Célestes # 9420

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9420. Et monta Moïse vers la montagne de Dieu, signifie vers le ciel : on le voit par la signification de la montagne de Sinaï, qui ici est la montagne de Dieu, en ce qu'elle est la Loi ou le Divin Vrai qui procède du Seigneur, ainsi la Parole telle qu'elle est dans le ciel, par conséquent aussi le Ciel, numéros 8399, 8753, 8793, 8805. Si la révélation a été faite sur une montagne, et si celle montagne a été appelée la montagne de Dieu, c'est parce que la Montagne signifie le céleste de l'amour, qui est le bien, et par suite le ciel, et dans le sens suprême le Seigneur, numéros 795, 796, 2722, 4210, 6435, 8327, et la Montagne de Dieu le Divin Vrai procédant du Divin Bien du Divin Amour du Seigneur, numéro 8758 ; car le Seigneur dans la Parole est appelé Dieu d'après le Divin Vrai, et Jéhovah d'après le Divin Bien, numéros 2769, 2807, 2822, 3921 (fin), 4295, 4402, 7010, 7268, 8192, 8301, 8988, 9167 ; c'est à cause de cela qu'il est dit la montagne de Dieu. Que la Montagne de Sinaï soit la Loi ou le Divin Vrai procédant du Divin bien du Seigneur, ainsi la Parole, et dans le sens suprême le Seigneur, on le voit dans David :

« La terre trembla, même les cieux se fondirent devant Dieu, ce Sinaï devant Dieu, le Dieu d'Israël. Les chars de Dieu sont des doubles myriades, des milliers d'anges de paix, le Seigneur (est) en eux, un Sinaï dans le Sanctuaire. “ - Psaumes 68:9, 18 ;

Que la terre et les cieux soient l'externe et l'interne de l'Église, on le voit, numéros 1733, 2117, 2118 (fin), 3355, 4535 ; et que le char soit la doctriné, on le voit, numéros 2760, 5321, 8146, 8148, 8215 ; déjà, les chars de Dieu sont les doctrinaux ou les vrais Divins tels qu'ils sont dans les cieux ; d'après cela, il est évident que par « ce Sinaï devant Dieu, le Dieu d'Israël, » et par « un Sinaï dans le Sanctuaire, » il est signifié la Loi ou le Divin Vrai procédant du Divin Rien du Seigneur, et dans le sens suprême le Seigneur dans le ciel. Dans le Livre des Juges :

« Jéhovah, quand tu sortis de Séir, quand tu partis du champ d'Édom, la terre trembla, même les cieux se fondirent, même les nuées se fondirent en eaux, les montagnes s'écoulèrent de devant Jéhovah, ce Sinaï de devant Jéhovah. » Juges 5:4-5 ;

Ici, Sinaï est encore le Divin Vrai procédant du Divin Rien du Seigneur. Pareillement dans Moïse :

« Jéhovah de Sinaï est venu, et il s'est levé de Séir pour eux ; il a resplendi de la montagne de Paran ; et il est venu d'entre les myriades de sainteté ; à sa droite le feu de la Loi pour eux. " - Deutéronome 33:2.

  
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Arcanes Célestes # 8215

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8215. Et il détourna la roue de ses chars, signifie la puissance d'introduire les faux enlevés : on le voit par la signification de détourner, en ce que c'est enlever ; par la signification de la roue, en ce qu'elle est la puissance d'aller en avant, ainsi qu'il va être exposé ; et par la signification des chars de Pharaon, en ce qu'ils sont les doctrinaux du faux, numéro 8146, 8148, ainsi les faux. Quant à ce que signifie la roue dans le sens réel, on peut le voir d'après la signification du char : Les chars étaient de deux genres ; il y avait les chars pour transporter les marchandises, et il y avait les chars pour combattre ; les chars pour transporter les marchandises signifiaient les doctrinaux vrai, et dans le sens opposé les doctrinaux du faux : les chars pour combattre signifiaient aussi les doctrinaux dans l'un et l'autre sens, mais doctrinaux qui combattent, ainsi les vrais mêmes, et les faux mêmes, disposés aux combats ; de là on peut voir ce qui est entendu par la roue du char, savoir, la puissance d'aller en avant, ici d'introduire les faux, et de combattre contre les vrais ; comme cette puissance appartient à la partie intellectuelle de l'homme, c'est pour cela que la roue signifie aussi l'intellectuel quant aux choses qui sont de la doctrine. Dans l'autre vie il apparaît très-souvent des chars chargés de marchandises de divers genre, et ils diffèrent de forme et de grandeur ; par ces chars, quand ils apparaissent, sont signifiés les vrais dans leur complexe, ou les doctrinaux qui sont comme les réceptacles du vrai, et par les marchandises les connaissances de divers usage ; ces choses apparaissent quand, dans le ciel, les anges s'entretiennent des doctrines ; car leur discours, ne pouvant être saisi par ceux qui sont au-dessous d'eux, se présente d'une manière représentative, et pour certains esprits par des chars, comme il a été dit, dans lesquels toutes les choses, en général et en particulier du discours des anges, se montrent dans une forme et devant les yeux, d'où il résulte qu'à l'instant les choses que contient le discours peuvent être saisies et vues, quelques-unes dans la forme du char, d'autres dans sa contexture, d'autres dans sa couleur, d'autres dans ses roues, d'autres dans les chevaux qui le traînent, d'autres dans les marchandises qu'il transporte : c'est d'après ces représentatifs que les chars, dans la Parole, signifient les doctrinaux : par là on peut, en quelque manière, voir que la roue des chars signifie la puissance qui est dans l'intellectuel ; car de même que le char a son mouvement et sa progression par ses roues, de même les vrais qui appartiennent aux doctrinaux ont leur progression par l'intellectuel : c'est ce qui est signifié aussi par les roues dans Ésaïe :

« Ses traits (sont) aigus, et tous ses arcs tendus, les ongles de ses chevaux sont réputés comme des cailloux, ses roues comme la tempête. » - Ésaïe 5:28.

Là il s'agit du dévastateur du vrai ; les traits sont les faux, et les arcs la doctrine du faux, numéros 2686, 2709 ; les ongles des chevaux sont les scientifiques sensuels provenant de l'intellectuel perverti, numéro 7729 ; les roues sont les puissances de pervertir et de détruire les vrais, comme une tempête.

Dans Ézéchiel :

« Je vis les Animaux, et voici, une roue sur la terre auprès des Animaux selon ses quatre faces : l'aspect des roues et leur travail (était) comme l'apparence d'un Tharrchisch, et une même ressemblance pour les quatre : de plus, leur aspect et leur travail (étaient) comme si une roue eût été dans le milieu d'une roue : sur leurs quatre quadratures, où elles allaient, elles allaient, elles ne se tournaient point quand elles allaient : leurs jantes, et leur hauteur, et crainte pour elles : de plus, leurs jantes (étaient) pleines d'yeux tout autour d'elles quatre : ainsi quand les animaux allaient, les roues allaient auprès d'eux ; l'esprit de l'animal (était) dans les roues. » - ; puis Chapitre .

Par les quatre animaux, qui étaient des Chérubins, est signifiée la Providence du Seigneur, numéro 308 ; par les roues, la Divine Intelligence, ou la prévoyance, d'où il est dit que les roues allaient en même temps avec les animaux, et que leurs jantes étaient pleines d'yeux, et enfin qu'en elles il y avait l'esprit de l'animal, c'est-à-dire, le vrai de la sagesse.

Dans Daniel :

« Je fus voyant jusqu'à ce que des trônes furent renversés, et que l'Ancien des jours s'assit ; son Vêtement (était) blanc comme de la neige, et la chevelure de sa tête comme de la laine pure, son trône était des flammes de feu ; ses roues, un feu ardent. » - Daniel 7:9.

Là, l'Ancien des jours est le Seigneur quant au Divin Bien ; les trônes renversés sont les faux ; son Vêtement est le vrai Divin dans la forme externe ; la chevelure de sa tête est le Divin Bien dans l'a forme externe : son trône est le ciel et l'Église ; les roues sont les choses qui appartiennent à la sagesse et à l'intelligence, ainsi les vrais Divins ; le feu ardent, ce sont les choses qui appartiennent à l'amour et à la charité. Sous les dix Bassins autour du Temple de Salomon, il y avait aussi

« des roues d'airain ; l'œuvre des roues (était) comme l'œuvre d'une roue de char ; leurs mains, et leurs dos, leurs bandes, et, leurs rayons, (étaient) tous de fonte. » - Daniel 1 Rois 7:30, 31, 32, 33.

Ces bassins ou soubassements signifiaient les réceptibles du vrai, par lequel l'homme est purifié et régénéré ; les roues signifiaient les puissances intellectuelles par lesquelles il y a progression.

  
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