Bible

 

Juges 5:11

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11 Le bruit des archers [ayant cessé] dans les lieux où l'on puisait l'eau, qu'on s'y entretienne des justices de l'Eternel, [et] des justices de ses villes non murées en Israël; alors le peuple de Dieu descendra aux portes.

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Arcanes Célestes # 9420

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9420. Et monta Moïse vers la montagne de Dieu, signifie vers le ciel : on le voit par la signification de la montagne de Sinaï, qui ici est la montagne de Dieu, en ce qu'elle est la Loi ou le Divin Vrai qui procède du Seigneur, ainsi la Parole telle qu'elle est dans le ciel, par conséquent aussi le Ciel, numéros 8399, 8753, 8793, 8805. Si la révélation a été faite sur une montagne, et si celle montagne a été appelée la montagne de Dieu, c'est parce que la Montagne signifie le céleste de l'amour, qui est le bien, et par suite le ciel, et dans le sens suprême le Seigneur, numéros 795, 796, 2722, 4210, 6435, 8327, et la Montagne de Dieu le Divin Vrai procédant du Divin Bien du Divin Amour du Seigneur, numéro 8758 ; car le Seigneur dans la Parole est appelé Dieu d'après le Divin Vrai, et Jéhovah d'après le Divin Bien, numéros 2769, 2807, 2822, 3921 (fin), 4295, 4402, 7010, 7268, 8192, 8301, 8988, 9167 ; c'est à cause de cela qu'il est dit la montagne de Dieu. Que la Montagne de Sinaï soit la Loi ou le Divin Vrai procédant du Divin bien du Seigneur, ainsi la Parole, et dans le sens suprême le Seigneur, on le voit dans David :

« La terre trembla, même les cieux se fondirent devant Dieu, ce Sinaï devant Dieu, le Dieu d'Israël. Les chars de Dieu sont des doubles myriades, des milliers d'anges de paix, le Seigneur (est) en eux, un Sinaï dans le Sanctuaire. “ - Psaumes 68:9, 18 ;

Que la terre et les cieux soient l'externe et l'interne de l'Église, on le voit, numéros 1733, 2117, 2118 (fin), 3355, 4535 ; et que le char soit la doctriné, on le voit, numéros 2760, 5321, 8146, 8148, 8215 ; déjà, les chars de Dieu sont les doctrinaux ou les vrais Divins tels qu'ils sont dans les cieux ; d'après cela, il est évident que par « ce Sinaï devant Dieu, le Dieu d'Israël, » et par « un Sinaï dans le Sanctuaire, » il est signifié la Loi ou le Divin Vrai procédant du Divin Rien du Seigneur, et dans le sens suprême le Seigneur dans le ciel. Dans le Livre des Juges :

« Jéhovah, quand tu sortis de Séir, quand tu partis du champ d'Édom, la terre trembla, même les cieux se fondirent, même les nuées se fondirent en eaux, les montagnes s'écoulèrent de devant Jéhovah, ce Sinaï de devant Jéhovah. » Juges 5:4-5 ;

Ici, Sinaï est encore le Divin Vrai procédant du Divin Rien du Seigneur. Pareillement dans Moïse :

« Jéhovah de Sinaï est venu, et il s'est levé de Séir pour eux ; il a resplendi de la montagne de Paran ; et il est venu d'entre les myriades de sainteté ; à sa droite le feu de la Loi pour eux. " - Deutéronome 33:2.

  
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Arcanes Célestes # 8148

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8148. Et il prit six cents char d'élite , signifie en général et en particulier tous les doctrinaux du faux, qui appartiennent à la foi séparée, dans leur ordre : on le voit par la signification du nombre six cents, en ce que ce sont toutes les choses en général et en particulier, du vrai et du bien de la foi dans un seul complexe, ainsi dans le sens opposé toute les choses, en général et en particulier, du faux et du mal de la foi séparée d'avec la charité ; que ce soit là ce qui est signifié par six cents, on peut le voir d'après ce qui a été montré sur le nombre six cent mille, numéro 7973 ; et par la signification des chars, en ce qu'ils sont les doctrinaux de la foi, ici de la foi séparée, numéro ; par les chars d'élite sont signifiés les doctrinaux principaux de cette foi, desquels dépendent tous les autres ; ceux qui en dépendent, ou qui sont à leur service, sont signifiés par les chars d'Egypte, dont il est ensuite parlé. Il faut qu'on sache que ces faux, qui sont signifiés ici par Pharaon, son armée et son peuple, puis par ses chars, ses chevaux et ses cavaliers, sont principalement les faux de ceux qui sont dans la foi persuasive, c'est-à-dire, qui se persuadent que les doctrinaux de l'Église, dans laquelle ils se trouvent, sont des vrais, et qui néanmoins vivent de la vie du mal ; la foi persuasive existe avec la vie du mal, mais non la foi salvifique ; Car la foi persuasive est la persuasion que toutes les choses qui appartiennent à la doctrine de l'Église sont des vrais, et cela, non pas pour le vrai, ni pour la vie, ni même pour le salut, car ils y croient à peine, mais pour des profits, c'est-à-dire pour acquérir honneurs et richesses, et pour la réputation ; c'est pour obtenir ces avantages, qu'ils s'instruisent des doctrinaux, ainsi ce n'est point pour être utiles à l'@?glise et au salut des âmes, mais c'est pour leur propre avantage et pour celui des leurs ; c'est pourquoi peu leur importe que ces doctrinaux soient des Vrais ou des faux, ils ne s'en inquiètent point, ils s'en enquièrent encore moins, car ils ne sont dans aucune affection du vrai pour le vrai ; mais ils les confirment, quels qu'ils soient, et quand ils les ont confirmés, ils se persuadent que ce sont des vrais, sans penser que les faux peuvent être confirmés aussi bien que les vrais, numéro 4741, 5033, 6865, 7012, 7680, 7950 ; de là la foi persuasive ; comme cette foi a pour fin et regarde, non pas le prochain et le bien du prochain, ni par conséquent le Seigneur, mais soi-même et le monde, c'est-à-dire, les honneurs et le gain, elle est conjointe avec le mal de la vie, et non avec le bien de la vie, car la foi conjointe avec ce bien est salvifique ; cette foi est donnée par le Seigneur, mais l'autre vient de l'homme lui-même ; celle-là reste pour l'éternité, celle-ci est dissipée dans l'autre vie ; elle est même dissipée dans le monde, si par elle ils ne font aucun profit ; mais tant qu'ils en tirent du profit, ils combattent pour elle, comme pour le ciel même, lorsque cependant c'est pour eux qu'ils combattent et non pour elle ; car les choses qui appartiennent à la foi, c'est-à-dire, les doctrinaux, leur servent de moyens pour leur fin, c'est-à-dire, pour la prééminence et pour l'opulence : ceux qui dans le monde sont dans cette foi peuvent difficilement être distingués de ceux qui sont dans la foi salvifique, car ils parlent et prêchent avec une ardeur comme de Zèle pour le doctrinal, mais cette ardeur est produite par le feu de l'amour de soi et du monde. Ce sont ceux-ci qui sont principalement signifiés par Pharaon et par les Égyptiens, et qui dans l'autre vie sont dévastés quant à cette foi : et cette foi étant dévastée, ils sont dans les faux sans mélange d'après le mal, car alors les faux s'élancent du mal : en effet, tout mal a avec lui son faux, car ils sont conjoints ; et ces faux apparaissent quand ils sont abandonnés au mal de leur vie ; alors le mal est comme un feu, et les faux sont comme la lueur qui provient de ce feu. Ce genre de mal et de faux provenant de ce mal diffère absolument des genres des autres maux et des faux de ces maux ; il est plus abominable que tous les autres, parce qu'il est contre les biens et les vrais de la foi, et par suite dans ce mal il y a la profanation ; la profanation est la reconnaissance du vrai et du bien, et néanmoins la vie contre ce vrai et ce bien, numéro 593, 1008, 1010, 1059, 2051, 3398, 3898, 4289, 4601, 6959, 6963, 6971.

  
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