Bible

 

Jérémie 51:60

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60 Car Jérémie écrivit dans un livre tout le mal qui devait venir sur Babylone; savoir toutes ces paroles qui sont écrites contre Babylone.

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L’Apocalypse Révélée # 672

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672. Vers. 15:7. Et l'un des quatre Animaux donna aux sept Anges sept fioles d'or, signifie que ces vrais et ces biens, par lesquels les maux et les faux de l'Église sont découverts, sont tirés du sens de la lettre de la Parole. Que les quatre animaux, qui sont des Chérubins, signifient la Parole dans les derniers, et les gardes, de peur que ses vrais et ses biens réels ne soient violés, on le voit ci-dessus. No. 239 ; et comme les vrais et les biens intérieurs de la Parole sont gardés par le sens de sa lettre, c'est pour cela que ce sens de la Parole est signifié par l'un des quatre animaux ; par les sept fioles, il est signifié la même chose que par les sept plaies, car elles sont les contenants, et par les contenants dans la Parole sont signifiées les mêmes choses que par les contenus ; par exemple, par la coupe la même chose que par le vin, et par le plat la même chose que par le mets : que par les coupes, les calices, les fioles, les plats, il soit signifié les mêmes choses que par les contenus, on le verra dans ce qui va suivre : ce qui est signifié par les sept Anges a été dit ci-dessus : s'il leur a été donné des fioles, c'est parce qu'il s'agit de l'influx du vrai et du bien dans l'Eglise pour découvrir les maux et les faux, et que les vrais et les biens nus ne peuvent influer ; en effet, ils ne sont point reçus, mais les vrais revêtus, tels qu'ils sont dans le sens de la lettre de la Parole, sont reçus ; et, outre cela, le Seigneur opère toujours d'après les intimes par les derniers, ou dans le plein : voilà pourquoi il fut donné aux Anges des fioles, par lesquellessont signifiés les vrais et les biens contenants, tels qu'ils sont dans le sens de la lettre de la Parole, par lesquels les faux et les maux sont découverts : que le sens de la lettre de la Parole soit le contenant, on le voit dans la DOCTRINE DE LA NOUVELLE JÉRUSALEM SUR L'ÉCRITURE SAINTE, Nos. 27 à 36, et 37 à 49. Que par les fioles, les plats, les coupes et les calices, et par les outres, soient signifiées les choses qui y sont contenues, on peut le voir par les passages suivants :

— « Ainsi m'a dit Jéhovah : Prends de ma main ce CALICE de colère, et fais boire toutes les nations ; quand elles refuseront de prendre le CALICE, lu diras : Buvant vous boirez. » — Jérémie 25:15-16, 28.

— « CALICE d'or, Babel, dans la main de Jéliovah, enivrant toute la terre. » — Jérémie 51:7.

— « Je mettrai le CALICE de la sœur dans ta main ; d'ivresse et de tristesse tu seras remplie, par le CALICE de dévastation, par le CALICE de ta sœur Samarie. » — Ézéchiel 23:31-34 — . « A ta ronde ira vers toi le CALICE de Jéhovah, afin qu'un vomissement soit sur ta gloire. » — Habacuc 2:16.

— « Aussi vers toi, Fille d'Édorn, passera le CALICE ; tu t'enivreras, et tu te mettras à nu. » — Lamentations 4:21.

— « Jéliovah fera pleuvoir sur les impics ; un vent de tcm.pétes (sera) la portion de leur CALICE. » — Psaumes 11:6.

— « Un CALICE est dans la main de Jéhovah, et du vin il y a mêlé ; il l'a rempli d'un mélange, et il en a versé ; ils-en boiront, tous les impies de la terre. » — Psaumes 75:9.

— « Ceux qui adoreront lu bêle boiront du vin de la colère de Dieu, mêlé au (vin) pur dans la COUPE de son emportement. » — Apocalypse 14:10.

— « Réveille-toi, lève-toi, Jérusalem, qui as bu de la main de Jéliovah le CALICE de sa colère ; les Iles du CALICE de tremblement, tu les as bues. » — Ésaïe 51:17.

— « La femme ayant en sa main une coupe d'or, pleine d'abomination et d'impureté de sa scortalion. » — Apocalypse 17:4.

— « Doublez-lui au double ; dans la COUPE où elle a mélangé, mélangez-lui double. » — Apocalypse 18:6.

— « Moi j'établis Jérusalem en CALICE de tremblement pour tous les peuples. » — Zacharie 12:2.

— « Pharisien aveugle, nettoie premièrement l'intérieur de la coupe, afin qu'aussi l'extérieur devienne net. » — Matthieu 23:25, 20 ; Luc 11:39.

— « Jésus dit aux fils de Zébédée : Pouvez-vous boire la COUPE que je dois boire ? » — Matthieu 20:22-23 ; Marc 10:38-39.

— « Jésus dit à Pierre : La COUPE, que M'a donnée le Père, ne la boirai-je pas ? » — Jean 18:11.

— « Jésus dans Getlisémané dit : S'il est possible, qu'elle passe loin de Moi, cette COUPE! » — Matthieu 26:39, 42, 44.

— « Jésus, prenant la COUPE, dit : Buvez-en tous ; ceci est mon sang, celui du Nouveau Testament. » — Matthieu 26:27-28 ; Marc 14:23, 24. Luc 22:17.

— « Jéhovah, mon CALICE ; Toi, tu soutiens mon lot. » — Psaumes 16:5.

— « Tu dresseras devant moi la table, ma coupe aura abondance. » — Psaumes 23:5.

— « Que rendrai-je à Jéhovah ? La COUPE de saints je prendrai. » — Psaumes 106:12, 13.

— « Abreuver du CALICE de consolations. » — Jérémie 16:7.

— Semblable chose que par le calice et la coupe est aussi signifiée par la fiole, et même par l'outre, — Matthieu 9:17 ; Luc 5:37-38 ; Jérémie 13:12 ; 48:12. Habacuc 2:15.

— Par les coupes, les encensoirs et les cassolelles, dans lesquels il y avait les parfums, il est signifié la même chose que par les parfums ; en général, par les vases de tout genre, la même chose que par ce qui est en eux.

  
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Arcanes Célestes # 4874

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4874. Et elle dit : Ton cachet, signifie la marque du consentement : on le voit par la signification du cachet, en ce qu'il est la marque du consentement ; si le cachet est la marque du consentement, c'est parce que dans les temps anciens on confirmait les décrets par un cachet, aussi le cachet signifie-t-il proprement la confirmation elle-même, et le témoignage que la chose était ainsi. Que Thamar ait demandé son cachet, son pannicule et son bâton, pour arrhes qu'il lui serait envoyé un bouquetin de chèvres, que plus tard elle n'accepta pas, cela enveloppe un arcane qui ne peut nullement être connu sans le sens interne ; c'est un arcane, parce que le bouquetin de chèvres signifiait le conjugal réel, par conséquent un interne, - car toute chose réelle est en même temps interne, - qui n'existait pas de la part de Jehudah ; c'est pourquoi elle n'acceptait pas le bouquetin de chèvres, comme on le voit par ce qui suit, mais à sa place elle prit l'externe avec lequel l'interne de l'Église, qui est signifié par Thamar, serait conjoint ; l'externe de l'Église est signifié par le cachet, par le pannicule et par le bâton ; par le cachet, le consentement même ; par le pannicule, le vrai externe ; et par le bâton, la puissance de ce vrai ; ces objets sont aussi les gages de la conjonction de l'homme externe ou naturel. La conjonction du vrai interne avec l'externe ou avec la religiosité de la nation Juive, est représentée par la conjonction de Thamar avec Jehudah, comme bru avec beau-père sous prétexte du lévirat, et la conjonction de la religiosité de la nation Juive avec l'interne de l'Église est représentée par la conjonction de Jehudah avec Thamar comme courtisane ; il en est aussi tout à fait de même à l'égard des conjonctions ; mais leur qualité ne peut pas être de même exposée devant la conception humaine ; elle est dans une évidence manifeste devant les anges et les bons esprits, car elle se présente à eux dans la lumière du Ciel, dans laquelle les arcanes de la Parole se montrent comme dans la clarté du jour ; il en est tout autrement dans la lumière du monde chez l'homme : il faut seulement dire quelques mots sur ce sujet : Les représentatifs qui ont été institués chez les descendants de Jacob, n'ont pas été absolument semblables à ceux qui étaient dans l'Église Ancienne ; ils étaient, quant à la plus grande partie, semblables à ceux qui avaient été institués dans l'Église fondée par Éber et appelée Église Hébraïque, dans laquelle il y eut plusieurs cultes nouveaux, tels que les holocaustes et les sacrifices qui étaient inconnus dans l'Ancienne Église, et en outre plusieurs autres : l'interne de l'Église n'a pas été conjoint avec ces représentatifs de la même manière qu'il l'avait été avec les représentatifs de l'Église Ancienne ; or la manière dont l'interne de l'Église a été conjoint avec les représentatifs chez la nation Juive, et vice versa, est décrite dans le sens interne par là conjonction de Thamar avec Jehudah, comme bru avec beau-père sous prétexte du lévirat, et par la conjonction de Jehudah avec Thamar comme courtisane : Sur l'Église Hébraïque, voir numéro 1238, 1241, 1327, 1343, 3031, 4516, 4317 ; que dans cette Église il y ait eu des sacrifices, et non dans l'Église Ancienne, on le voit numéro 923, 1128, 1343, 2180, 2818.

  
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