Bible

 

Jérémie 51:59

Studie

       

59 C'est ici l'ordre que Jérémie le Prophète donna à Séraja, fils de Nérija, fils de Mahaséja, quand il alla de la part de Sédécias Roi de Juda en Babylone, la quatrième année de son Règne; or Séraja était principal Chambellan.

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Arcanes Célestes # 9755

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9755. Et la largeur du Parvis à l'angle de la mer, signifie l'état de ce ciel quant aux vrais scientifiques : on le voit par la signification de la largeur, en ce qu'elle est le vrai, numéros 1613, 3433, 4434, 4482, 9487 ; par la signification du Parvis, en ce qu'il est le dernier ciel, numéro 9741 ; et par la signification de la mer, en ce que c'est où est la collection des scientifiques, d'après lesquels on raisonne sur les vrais, par conséquent c'est aussi le naturel et le sensuel, car ceux-ci sont les contenants des scientifiques ; ici par l'angle de la mer est entendu l'angle de l'occident, et l'occident signifie le bien dans l'obscur ; mais quand il n'est pas dit l'occident, et qu'il est dit la mer, alors est signifié le scientifique, qui aussi est relativement dans l'obscur, parce que le scientifique appartient à l'homme naturel ou externe, et que l'homme naturel ou externe est dans la lumière du monde, lumière qui, relativement à la lumière du ciel dans laquelle est l'homme Interne, est comme l'ombre au coucher du soleil ; on peut aussi le voir par les choses qui apparaissent dans l'autre vie : Le Soleil du ciel, qui est le Seigneur, apparaît devant l'œil droit à une moyenne hauteur ; de là les anges des cieux ont toute lumière, et avec la lumière toute intelligence et toute sagesse ; quant au soleil du monde, il n'apparaît pas, lorsqu'on pense à lui ; mais à sa place il apparaît quelque chose de ténébreux à ['opposite par derrière ; là est aussi pour les cieux l'occident, car là le Seigneur comme Soleil est l'orient : d'après cela, on peut voir que l'occident signifie le bien dans l'obscur, et que dans ce bien est l'homme externe ou naturel, qui, ainsi qu'il a été dit, est dans la lumière du monde, laquelle est relativement à la lumière du ciel comme l'ombre au coucher du soleil : quant au vrai de l'homme naturel, il est signifié par l'eau de la mer, le vrai est le vrai scientifique ; en effet, le vrai dans l'homme naturel ou Externe est le Vrai de la science, tandis que le Vrai dans l'homme spirituel ou Interne est le vrai de la foi ; car de vrai de science il devient vrai de foi, quand de l'homme naturel ou Externe il est élevé dans l'homme spirituel ou Interne ; c'est de là que les vrais chez l'homme dans l'enfance sont des vrais de science, mais que dans l'âge adulte, s'il se laisse régénérer, ils deviennent des vrais de foi ; car l'homme Interne est successivement ouvert jusqu'à cet âge. Que la Mer soit la Collection des scientifiques, c'est parce que les Eaux, les Fontaines et les Fleuves, signifient les vrais, par suite leurs collections sont les mers. Qu'il en soit ainsi, on peut le voir par les passages de la Parole où la Mer et les Mers sont nommées ; comme dans David :

« A Jéhovah la terre, et sa plénitude, le globe et ceux qui y habitent ; Lui sur les Mers l'a fondé, et sur les fleuves il l'a établi. » - Psaumes 24:1-2.

La terre et le globe, c'est l'Église ; les mers sur lesquelles il a fondé le globe sont les vrais scientifiques ; les fleuves sur lesquels il l'a établi sont les vrais de la foi ; que dans ce passage il ne soit entendu ni la terre, ni le globe, ni les mers, ni les fleuves, cela est évident ; car le globe n'a point été fondé sur les mers, ni établi sur les fleuves.

Dans le Même :

« Tu as fendu par la force la mer, tu as brisé les têtes des baleines sur les eaux ; Toi, tu as brisé les têtes du Léviathan, tu l'as donné en nourriture au peuple des Siim ; Toi, tu as tari les torrents de force. » - Psaumes 74:13, U, 15.

Là, dans le sens interne, il s'agit des sciences qui détruisent les vrais de la foi ; les baleines dont les têtes sont brisées, sont les scientifiques dans le commun, numéro -42, 7293 ; il en est de même du Léviathan, numéro 7293 ; le peuple des Siim auquel il a été donné en nourriture, ce sont ceux qui sont dans les faux, ou les faux eux-mêmes ; de là, on voit clairement ce que c'est que la mer, à savoir, que c'est le scientifique mal appliqué pour infirmer et détruire les vrais.

Dans Habacuc :

« Tu as foulé la mer avec tes chevaux, le limon des grosses eaux, » - Habacuc 3:15.

Fouler la mer avec les chevaux, quand il s'agit de Jéhovah, c'est instruire l'homme naturel, en qui sont les scientifiques, Dans Zacharie :

« En ce jour-là sortiront des eaux vives de Jérusalem, une partie vers la Mer orientale, et une partie vers la Mer postérieure. » - Zacharie 14:8.

Les eaux vives sortant de Jérusalem sont les vrais de la foi vivant par le bien de l'amour ; la mer orientale et la mer postérieure sont le naturel et le sensuel, où sont les scientifiques qui sont les collections des vérités.

Dans Osée :

« Après Jéhovah ils iront, et avec honneur s'approcheront des fils (venus) de la mer ; avec honneur ils viendront, comme l'oiseau d'Egypte, “ - Osée 11:10-11.

Les fils venus de la mer, ce sont les vrais scientifiques qui appartiennent à l'homme naturel ; de là, il est dit qu'ils viendront d'Egypte comme l'oiseau, car l'Egypte dans la Parole est le scientifique, numéros 9340, 9391.

Dans Ézéchiel :

« Ils descendront de dessus leurs trônes, tous les princes de la mer ; et ils déposeront leurs manteaux, et de » leurs habits de broderie ils se dépouilleront, de terreurs ils se vêtiront ; ils diront : Comment as-tu péri, toi qui étais habitée parmi les mers, ville renommée, qui étais forte dans la mer. » Ézéchiel 26:16-17 ;

Là, il s'agit de la vastation des connaissances du bien et du vrai, qui sont Tyr, dont il y est question, numéro 1201 ; les connaissances du bien et du vrai sont les scientifiques de l'Église ; les princes de la mer sont les principales connaissances, Nos1482, 2089, 5044 ; déposer les manteaux et les habits de broderie, c'est laisser les vrais scientifiques, numéro 9688 : comme ce sont là les choses qui sont signifiées par Tyr, c'est pour cela que Tyr est dite habitée dans les mers, et ville forte dans la mer.

Dans Jérémie :

« Sur Babel monte la Mer, par la multitude de ses flots elle a été couverte ; réduites ont été ses villes en désolation. » - Jérémie 51:42-43.

Babel, c'est le culte qui dans les externes paraît saint, mais qui dans les internes est profane, numéros 1182, 1326 ; la mer sur Babel est le faux d'après les scientifiques, ses flots sont les raisonnements qui en proviennent, et par suite les négations ; les villes réduites en désolation, sont les doctrinaux. Pareillement dans Apocalypse :

« Tout pilote, et quiconque sur les navires habite, et les matelots, et tous ceux qui sur la mer trafiquent, de loin se tinrent, en voyant la fumée de l'embrasement de Babylone, disant : Malheur ! malheur ! cette ville grande, dans laquelle se sont enrichis tous ceux qui ont les navires sur la mer, d'après son opulence : alors un Ange prit une pierre, comme une meule, grande, et il la jeta dans la mer, en disant : Ainsi avec impétuosité sera précipitée Babylone. » - ;

Les navires sont les doctrinaux d'après la Parole, numéro 6385 ; de là on voit clairement ce que c'est que le pilote, et les matelots, et la mer, et ceux qui trafiquent sur mer ; la pierre comme une meule est le vrai par lequel il y a la foi ; être jetée dans la mer, c'est dans le faux des scientifiques ; dans l'autre vie il apparaît des mers, et aussi des navires sur elles, il m'a été souvent donné d'en voir ; là, les mers dans le sens mauvais signifient les faux des scientifiques, et ceux qui sont sur les navires signifient ceux qui vantent ces faux et les enseignent.

Dans Jérémie :

« Ainsi a dit Jéhovah, qui donne le soleil pour lumière de jour, et les statuts de la lune et des étoiles pour lumière de nuit, qui trouble la mer alors que s'agitent ses flots. » - Jérémie 31:35 ;

Le soleil pour lumière de jour, c'est le bien de l'amour, d'après lequel il y a lumière pour les vrais ; les statuts de la lune et des étoiles pour lumière de nuit, ce sont les biens de la foi et des connaissances, d'après lesquels la lumière du vrai est dans les ténèbres ; troubler la mer et que s'agitent ses flots, c'est dissiper les faux des scientifiques dont proviennent des raisonnements sur les vrais.

Dans Ésaïe :

« Est-ce que raccourcissant a été raccourcie ma main, qu'il n'y ait pas de rédemption ? ou est-ce qu'en Moi il n'y a point de force pour délivrer ? Voici, par ma menace je taris la mer, je réduis les fleuves en désert, puant deviendra leur poisson, parce qu'il n'y a point d'eau, et qu'il meurt de soif. » - Ésaïe 50:2 ;

-tarir la mer, c'est détruire le bien et le vrai des scientifiques ; réduire les fleuves en désert, c'est dévaster les vrais eux-mêmes ; le poisson qui deviendra puant, c'est le scientifique qui appartient à l'homme naturel, numéros 40, 991 ; parce qu'il n'y a point d'eau, c'est qu'il n'y a point de vrai, numéros 2702, 3058, 3424, 4976, 5668, 8568 : Pareillement ailleurs dans le Même :

« Les eaux de la mer manqueront, et le torrent séchera et tarira, et se retireront les fleuves ; ils s'abaisseront et seront dessèches, les torrents de l'Egypte. “ - Ésaïe 19:5-6.

Les eaux de la mer manqueront, ce sont les vrais où est leur collection ; les torrents de l'Egypte qui seront desséchés, ce sont les scientifiques.

Dans le Même :

« Pleine est la terre de la science de Jéhovah, comme les eaux couvrent la mer. » - Ésaïe 40:9 ; les eaux, ce sont les vrais ; la mer, c'est la collection des vrais ou les scientifiques ; c'est pour cela qu'il est dit que la terre est pleine de la science de Jéhovah.

Dans Jean :

« Le second Ange sonna de la trompette, et comme une montagne grande, de feu ardente, fut jetée dans la mer, et devint la troisième partie de la mer du sang ; et o mourut la troisième partie des créatures, qui (étaient) dans la mer, ayant des âmes ; et la troisième partie des navires fut abîmée. “ - Apocalypse 8:8-9 ;

La grande montagne ardente de feu est l'amour de soi ; la mer dans laquelle elle fut jetée, est le scientifique en général ; le sang qui en provient est le vrai falsifié et profané, numéros 4735, 4978, 7317, 7326 ; les créatures qui en moururent sont ceux qui sont dans les doctrinaux du vrai. Pareillement ailleurs dans le Même :

« Le second Ange versa sa coupe dam la mer, et elle devint du sang comme (celui) d'un mort, et toute âme vivante mourut dans la mer. » - Apocalypse 16:3-4 ;

Dans ce passage, la mer est le scientifique qui sert aux maux pour détruire les vrais, et pour confirmer les faux.

Dans le Même

« Une bête montant de la mer, proférant des blasphèmes. “ - Apocalypse Apocalypse 13:1, [Il manque du texte ici], Genèse 49:13 ;

Et ailleurs :

« Qu'il sucera l'affluence de la mer, et les choses .cachées des secrets du sable. » - Deutéronome 33:19 ;

-par Zébulon dans le sens représentatif sont entendus ceux qui d'après les scientifiques, concluent sur les vrais de la foi, aussi est-il dit qu'il habiterait sur le rivage des mers.

Dans le sens opposé la mer est le scientifique concernant le monde, alors les flots de la mer sont les raisonnements d'après les mondains sur les Divins ; par suite être plongé dans la mer, c'est être plongé dans les scientifiques d'après les mondains et les terrestres jusqu'à nier le Vrai Divin, comme dans Matthieu :

« Celui qui aura scandalisé un de ces petits qui croient en Moi, il vaudrait mieux pour lui qu'on eût pendu une meule d'âne à son cou, et qu'on l'eût enfoncé dans le profond de la mer. » - Matthieu 18:6.

La meule est le vrai servant à la foi, numéros 4335, 7780.

L'âne est le naturel, parce que c'est une bête de service, numéros 2781, 5741, 5958, 6389, 8078 ; de là, la meule d'âne est le scientifique naturel et mondain ; le cou est la conjonction des intérieurs et des extérieurs, numéro 3542 ; être pendu au cou, c'est l'interclusion et l'interception du bien et du vrai, numéros 3542, 3603 ; être plongé dans le profond de la mer, c'est être dans ce qui est purement mondain et corporel, par conséquent dans l'enfer. Ces paroles, que le Seigneur a prononcées, sont comme toutes ses autres paroles, par conséquent significatives. Mais le Scientifique est signifié par la Mer suivant la densité et la noirceur de ses eaux, et vice versa selon leur ténuité et leur transparence ; c'est de là que le scientifique concernant le ciel, qui est le spirituel dans l'homme naturel, est appelé mer de verre, » - Apocalypse 15:1-2. -Par

« la mer ne sera plus " - Apocalypse 21:1, - il est signifié qu'on ne raisonnera pas d'après les scientifiques sur les vrais de la foi, mais que les vrais seront imprimés dans les cœurs.

  
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Arcanes Célestes # 402

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402. La ville bâtie signifie tout doctrinal et hérétique provenant de cette origine : on le voit par la Parole, partout où l'on rencontre le nom de quelque ville ; là, ce n'est jamais une ville, mais c'est quelque chose de doctrinal ou d'hérétique qui est signifié ; car ce que c'est que la ville, et quel en est le nom, les anges l'ignorent absolument ; ils n'ont et ne peuvent jamais avoir aucune idée de la ville, parce qu'ils sont, comme il a déjà été dit, dans des idées spirituelles et célestes ; mais ils perçoivent seulement ce que les villes signifient ; par exemple, par la Cité Sainte, qui est aussi appelée la Sainte Jérusalem, il n'est entendu rien autre chose que le Royaume du Seigneur dans l'universel, ou en quelqu'un en particulier en qui réside le Royaume du Seigneur ; par la cité ou par la montagne de Sion, pareillement, par la montagne le céleste de la foi, et par la cité le spirituel de la foi. Le céleste même et le spirituel même sont aussi décrits par les cités, les palais, les maisons, les murs, les fondements des murs, les avant-murs, les portes, les verrous ; et, au milieu, le Temple ; comme dans Ézéchiel 48, dans Apocalypse 21:15-27 ; elle est appelée la Sainte Jérusalem, Apocalypse 21:2, 10 ; dans Jérémie 31:38 ;

Dans David,

« Cité de Dieu, (lieu) saint des habitacles du Très-Haut, » - Psaumes 46:5.

Dans Ézéchiel, la Cité est appelée Jéhovah-là - .

Il est dit dans Ésaïe, en parlant d'elle :

« Des fils de l'étranger bâtiront tes murs ; ils se prosterneront à la plante de tes pieds tous ceux qui te rejetaient ; ils t'appelleront la Cité de Jéhovah, la Sion du Saint d'Israël. » - Ésaïe 60:10, 14.

Dans Zacharie, Jérusalem est nommée,

« Cité de vérité et la montagne de Sion, Montagne de sainteté. » - Zacharie 8:3 ;

Dans ce passage, la cité de vérité où Jérusalem signifie les spirituels de la foi ; et la montagne de sainteté ou de Sion, les célestes de la foi. Comme les célestes et les spirituels de la foi ont été représentés par la cité, de même tous les doctrinaux ont été signifiés par les cités de Jéhudah et D'Israël, lesquelles aussi, lorsqu'elles sont nommées, signifient en particulier quelque doctrinal ; mais quel est ce doctrinal, personne ne peut le savoir que par le sens interne. De même que par les Villes ont été signifiés les doctrinaux, de même aussi par les Villes ont été signifiés les (dogmes) hérétiques, et lorsqu'elles sont nommées elles signifient en particulier quelque (dogme) hérétique. Maintenant, on peut voir, par les seuls passages qui suivent, que la ville, en général, signifie le doctrinal ou l'hérétique.

Dans Ésaïe :

« En ce jour-là, il y aura cinq Villes dans la terre d'Egypte, parlant de la lèvre de Canaan, et jurant à Jéhovah Zebaoth ; Ville de Chérés sera appelée Time. » - Ésaïe 19:18.

Il s'agit là de la science des spirituels et des célestes, au temps de l'avènement du Seigneur.

Dans le Même :

« De tumulte pleine, ville tumultueuse, ville bondissante. » - Ésaïe 22:1, 2.

Là, il s'agit de la vallée de la vision, ou de la fantaisie.

Dans Jérémie :

« Les villes du midi ont été fermées, et personne qui (les) ouvre. » - Jérémie 13:19.

Là, il est question de ceux qui sont dans le midi, ou dans la lumière de la vérité, et qui l'éteignent.

Dans le Même :

« Jéhovah a pensé à détruire le mur de la fille de Sion, il met dans le deuil l'avant-mur et le mur ; ensemble ils ont été affaiblis ; ses portes ont été enfoncées en terre, il a détruit et brisé ses verrous. » - Lamentations 2:8-9.

Là, chacun peut voir que par mur, avant-mur, portes et verrous, il n'est pas entendu autre chose que des doctrinaux. De même dans Ésaïe :

« On chantera ce cantique dans la terre de Jéhudah : Une ville forte (est) à nous ; salut il établira murs et avant-mur ; ouvrez les portes, pour qu'elle entre, la nation juste qui garde les fidélités. » - Ésaïe 26:1-2.

Dans le Même :

« Je T'exalterai, je confesserai Ton Nom ; tu as mis (partie) de la Ville en monceau, la Ville munie en ruine ; le palais des étrangers, de la Ville jamais ne sera rebâti ; à cause de cela, un peuple fort T'honorera, une ville de nations formidables Te craindra. » - Ésaïe 25:1-2, 3.

Là non plus, il ne s'agit pas de quelque ville.

Dans la Prophétie de Balaam :

« Edom (lui) sera en héritage, et il dominera sur Jacob ; et il fera périr ce qui sera de reste de la Ville. » - Nombres 24:19.

Là, chacun peut voir que la ville ne signifie pas une ville.

Dans Ésaïe :

« La Ville de vanité a été ruinée, toute maison a été fermée, pour qu'on n'entre point ; clameur au sujet du vin dans les places. » - Ésaïe 24:10-11.

La ville de vanité est prise pour les vanités de la doctrine ; les places, ici et ailleurs, signifient ce qui appartient à la ville, les faux ou les vrais.

Dans Jean :

« Lorsque le septième ange versa sa fiole, devint la ville grande en trois parties, et les Villes des nations tombèrent. » - Apocalypse 16:19.

Que la ville grande soit ce qui est hérétique, et pareillement les villes des nations, chacun peut le voir ; il est aussi expliqué que la ville grande est la femme que Jean a vue, dans Apocalypse 17:18.

Que la femme soit une semblable Eglise, c'est ce qui a été précédemment montré.

  
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