Bible

 

Jérémie 51:59

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59 C'est ici l'ordre que Jérémie le Prophète donna à Séraja, fils de Nérija, fils de Mahaséja, quand il alla de la part de Sédécias Roi de Juda en Babylone, la quatrième année de son Règne; or Séraja était principal Chambellan.

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Arcanes Célestes # 4745

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4745. Et ils s'assirent pour manger le pain, signifie l'appropriation du mal d'après le faux ; on le voit par la signification de manger, en ce que c'est l'appropriation, numéros 3168, 3513 (fin), 3596, 3832 ; et par la signification du pain, en ce qu'il est le bien de l'amour, numéro 276, 680, 2165, 2177, 3464, 3478, 3735, 3813, 4211, 4217, 4735 ; et aussi en ce qu'il est en général toute nourriture, numéro 2165 ; mais ici le pain signifie le contraire, à savoir, le mal ; en effet, il est notoire que ceux qui mangent indignement le pain dans la sainte cène s'approprient non le bien mais le mal : de là il est évident que, dans le sens contraire, l'appropriation du mal est signifiée par manger le pain. Chez les Anciens, quand ils avaient décidé quelque chose de mémorable qui était confirmé par les autres, il était d'usage qu'alors ils mangeassent ensemble : par là il était signifié qu'ils l'avaient approuvé, et qu'ainsi ils se l'étaient approprié ; comme dans Ézéchiel ;

« Voici, les princes d'Israël, chacun selon son bras, ont été en toi, et ils ont répandu le sang : des hommes de calomnie ont été en toi pour répandre le sang et vers les montagnes ils ont mangé chez toi. » - Ézéchiel 22:6, 9.

En outre, il faut savoir qu'en général il y a deux origines du mal, l'une d'après la vie, et l'autre d'après la doctrine ; ce qui provient de la doctrine du faux est appelé le mal d'après le faux ; c'est ce mal qui est entendu ici.

  
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Arcanes Célestes # 1182

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1182. Babel, Erech, Akkad, Kalneh dans la terre de Schinéar, signifient qu'en ces lieux il y eut de tels cultes, et en même temps ces nations signifient les cultes eux-mêmes dont les externes paraissent saints, mais dont les intérieurs sont profanés : on en trouve la preuve dans la signification de Babel et de la terre de Schinéar.

Dans la Parole, il est souvent question de Babel, et partout cette expression signifie un pareil culte, c'est-à-dire, un culte dont les externes paraissent saints et dont les intérieurs sont profanés. Mais comme il s'agit de Babel dans le Chapitre suivant, j'aurai alors occasion de montrer que telle est la signification de Babel, et que ce culte ne fut pas, dans son commencement, aussi profane qu'il l'est devenu par la suite. En effet, le culte externe se forme absolument selon les intérieurs ; plus les intérieurs sont innocents, plus le culte externe est innocent ; mais plus les intérieurs sont impurs, plus le culte externe est impur ; et plus les intérieurs sont profanés, et plus le culte externe est profané ; enfin, pour m'exprimer en peu de mots, plus il y a d'amour du monde et d'amour de soi-même chez l'homme qui est dans culte externe, moins il y a de vie et de sainteté dans son culte ; plus l'amour de soi et du monde renferme de haine contre le prochain, plus le culte est profané ; plus il y a de malice dans ces haine, plus encore le culte est profané ; et plus il y a de fourberie dans la malice, plus encore le culte est profané ; voilà quels sont les intérieurs progressifs du culte externe signifie par Babel. J'en parlerai dans le Chapitre suivant.

  
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