Bible

 

Jérémie 51:55

Studie

       

55 Parce que l'Eternel s'en va détruire Babylone, et il abolira du milieu d'elle la voix magnifique, et leurs flots bruiront comme de grosses eaux, l'éclat de leur bruit retentira.

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Arcanes Célestes # 10040

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10040. Puisque la Chair du taureau, avec sa peau et sa fiente, était brûlée au feu en dehors du camp, on peut voir que la Chair signifiait non pas le bien de l'amour, mais le mal de l'amour, selon ce qui vient d'être dit sur la chair de ce taureau, numéro 1035, et sur le Camp, numéro 10038. S'il a été accordé de manger la Chair du sacrifice, comme on peut le voir par les passages qui suivent, c'est parce que cette nation, pendant qu'elle était dans le culte, était dans l'externe sans l'interne ; voir les articles cités, numéro 9320 (fin), et numéro 9380 ; et l'externe sans l'interne n'est en aucune manière saint, parce qu'alors il n'y a que le geste qui agit et que la bouche qui parle, mais le cœur et l'urne sont loin : néanmoins l'externe sans l'interne était appelé saint, parce qu'il représentait les saints internes ; les saints internes sont tout ce qui appartient à l'amour et à la foi d'après le Seigneur envers le Seigneur : comme cette nation était telle, il ne lui était pas permis de manger le sang et la graisse, puisque le sang signifiait le Divin Vrai qui appartient à la foi, et la graisse le Divin Bien qui appartient à l'amour, l'un et l'autre d'après le Seigneur, voir ci-dessus, numéro 10033 ; mais il lui était permis de manger la chair du sacrifice parce qu'elle signifiait le propre de l'homme, numéro 10035, et que le propre de cette nation était d'adorer les externes comme saints, et de regarder absolument comme rien les internes ; ce culte, excepté le représentatif qui était saint, était idolâtre, voir numéros 4281, 4311 : la Chair, considérée comme représentatif, n'est pas non plus autre chose, quand son sang représentait le Divin Vrai, et la graisse le Divin Bien, numéro 10033, [Il manque du texte ici], ; .

Et il y a un culte presque semblable chez la gente de la religion Catholique, comme on l'appelle, à savoir, un culte externe sans l'interne ; en effet, il n'est pas accordé au vulgaire de savoir les internes de la Parole, puisqu'on ne lui permet pas de lire ta parole ; c'est pour cela aussi que par la Divine Providence du Seigneur il est arrivé que dans la Sainte Cène on lui a donné, le Pain qui est la Chair, et non le Vin qui est le Sang ; et cependant c'est le Sang qui vivifie la Chair comme le Vin vivifie le Pain ; car de même que le Pain sans le Vin ne donne point de nutrition au corps, de même aussi le bien de l'amour, qui est signifié par le Pain et par la Chair, ne donne point de nutrition à l'âme sans le vrai de la foi, qui est signifié par le Vin et par le Sang : c'est encore par la Divine Providence du Seigneur qu'il est arrivé que là le prêtre a bu le Vin, parce que par là est signifiée la nutrition de l'âme par le Divin Vrai sans le bien de l'amour, ce qui est le saint externe sans le saint interne : que cela soit arrivé par la Divine Providence du Seigneur, c'est ce qu'ils ignorent, et cela, parce qu'ils adorent d'une manière idolâtre les externes, et qu'ainsi ils ne saisissent pas les internes ; si donc il en eût été autrement, ils auraient, comme les Juifs, profané les saints : boire le vin seulement signifie aussi savoir le Divin Vrai seulement, et ne le faire connaître au vulgaire qu'autant et que tel qu'ils veulent, comme cela s'y pratique aussi. Que dans la Sainte Cène la Chair et le Pain soient le Divin Bien du Divin amour du Seigneur à l'égard du genre humain, et le réciproque de l'homme envers le Seigneur ; et que le Sang et le Vin soient le Divin Vrai procédant du Divin Bien du Seigneur, ainsi le Vrai de la foi d'après le Seigneur envers le Seigneur, on le voit, numéros 3464, 3813, 4211, 4217, 4735, 4976, 6135, 6789, 6377, 7850, 9127. Quant à ce qui concerne la chair des sacrifices, lors-que cette chair devait être portée hors du camp et brûlée au feu, voir Lévitique 4:11-12, 21 ; et lorsqu'elle devait être mangée, et par qui elle devait l'être, voir , 7:6, , 19:5-6.Deutéronome 12:7, 17-18, 27, 27:6-7.

  
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Water

  

Water is the basis of life, the essential ingredient in all drinks, and in the form of rivers, lakes and oceans supports life in myriad ways. The spiritual meaning of water is similarly basic: It represents truth in general, the ideas and concepts that guide us to do good things in our lives. In a more specific sense, it represents truth at its simplest level: the ideas we learn from the Bible and simply believe. Swedenborg refers to this as “natural” truth or “truths of faith.” They are not things we have explored, figured out or confirmed through life; rather they are things that we accept to be true because we’ve been told they are true. Like water, these ideas flow to us from other sources. And like water, they are ever-changing; to build something permanent we might look to the more permanent ideas represented by stones. But water is crucial to life, and so are these accepted ideas. Water can also, of course, be threatening. Rivers, lakes and oceans are inherently dangerous, and flooding was an ever greater threat in Biblical times than it is now. These aspects represent the opposite meaning – water as falsity, twisted ideas which support evil and can overwhelm and destroy us if we’re not careful.

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