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Jérémie 51:54

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54 Un grand cri s'entend de Babylone, et un grand débris du pays des Caldéens.

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Arcanes Célestes # 10042

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10042. Et l'un des béliers lu prendras, signifie le bien de l'innocence dans l'homme interne : on le voit par la signification du bélier, en ce qu'il est le bien de l'innocence dans l'homme interne, ainsi qu'il va être montré. Comme dans ce Chapitre il s'agit de sacrifices et d'holocaustes de béliers et d'agneaux, il sera dit ce qu'ont signifié les animaux en général qui étaient offerts en sacrifices et en holocaustes : ces animaux étaient des Bœufs, des Taureaux, des Boucs, des Béliers, des Chèvres et des Chevreaux, des Agneaux, des Agnelles, et des Chevrettes de chèvres : celui qui ne sait pas ce que ces animaux signifient ne peut nullement savoir ce que signifient les Sacrifices et les Holocaustes faits avec chacune de ces espèces ; il faut qu'on sache que tous les animaux, qui sont dans les terres, signifient des choses qui sont chez l'homme, lesquelles se réfèrent en général aux affections qui appartiennent à sa volonté, et aux pensées qui appartiennent à son entendement, ainsi aux biens et aux vrais, car les biens appartiennent à la volonté, elles vrais appartiennent à l'entendement ; et comme elles se réfèrent aux biens et aux vrais, elles se réfèrent aussi à l'amour et à la foi, car toutes .les choses qui appartiennent à l'amour sont appelées biens, et toutes celles qui appartiennent à la foi sont appelées vrais. Si les animaux de divers genre signifient de telles choses, cela tire son origine des représentatifs dans l'autre vie ; là apparaissent des animaux de plusieurs genres et d'espèces innombrables ; ces animaux y sont des apparences tout-à-fait frappantes (ad vivum) correspondant aux affections et aux pensées qui sont chez les Esprits et chez les Anges : qu'il en soit ainsi, on peut môme le voir par les visions prophétiques rapportées çà et là dans la Parole ; en effet, toutes les choses qui ont été vues par les prophètes sont de celles qui apparaissent devant les anges dans le ciel : c'est de là qu'il est si souvent parlé de bêtes dans la Parole, et que cha- » que bête signifie quelque chose qui se réfère à des affections ou à des pensées qui sont chez l'homme ; l'homme, quant à son homme externe, n'est autre chose qu'un animal, mais il en est distingué par son homme interne, en ce que son homme interne et son homme externe peuvent être élevés vers le ciel et jusqu'à Dieu, et par suite recevoir la foi et l'amour ; de là vient que des bêtes ont été employées dans les sacrifices et dans les holocaustes : celui qui ne sait pas ces choses ne peut nullement savoir pourquoi il a été ordonné d'offrir tantôt des Taureaux, des Béliers, des Agneaux, tantôt des Bœufs, des Chèvres et des Agnelles, tantôt des Boucs, des Chevreaux et des Chevrettes de chèvres ; autrement, à quoi bon tout cela ? Que les bêtes dans la Parole signifient les biens et les maux chez l'homme, comme aussi les vrais et les faux, on le voit, numéros 142, 143, 246, 714, 715, 776, 1823, 2179, 2180, 2781, 3218, 3519, 5198, 7523, 7872, 9090 ; et que ce soit à cause de cela qu'elles ont été employées dans les sacrifices, on le voit, numéros 1823, 2180, 2805, 2807, 2830, [Il manque du texte ici], , 923, 2165, 6905, 8680, 8936 ; que l'autel a été le principal représentatif du Seigneur, et par conséquent du culte, numéros 2777, 2811, 8935, 8940, 9388, 9389, 9714, 9964 ; que les Anciens avant Éber n'ont rien connu des sacrifices, numéro 2180 ; que depuis Éber, ainsi chez la nation des Hébreux, et par suite chez les descendants de Jacob, les sacrifices ont été institués, et pourquoi, numéros 1128, 1343, 2180, 2818 ; que les Sacrifices ont été non pas commandés mais permis, numéro 2180. 2, [Il manque du texte ici], ; ; , ,Lévitique , , Lévitique 5:6, 10, 13, 16, 18, , 19, 15:30, , ;

Le pardon des péchés, l'expiation, la propitiation, et la rédemption, ne sont pas non plus autre chose que la purification des maux et des faux, l'implantation du bien et du vrai, et leur conjonction, ainsi la régénération, numéros 9076, 9452, 9453, 9454, 9937, 9938 ; tout procédé de la Régénération est aussi décrit par chacun des rites de chaque Sacrifice et de chaque Holocauste, et se manifeste quand les représentatifs sont développés par le sens interne, numéro 10022. (2 bis.) Les Sacrifices et les Holocaustes dans le sens suprême signifient la Glorification de l'Humain du Seigneur : c'est parce que tous les rites du culte institués chez la Nation Israélite et Juive regardaient uniquement le Seigneur ; ainsi Le regardaient principalement les Sacrifices et les Holocaustes qui en général représentaient le tout du culte, comme il a été montré ci-dessus ; la Régénération de l'homme ne vient pas non plus d'autre part que du Seigneur, numéros 9506, 9715, 9486, 9487, 9809, 10019 ; c'est pourquoi, lorsque dans la Parole il s'agit de la régénération de l'homme, dans le sens suprême il s'agit de la glorification de l'Humain du Seigneur ; caria régénération de l'homme est l'image de la glorification du Seigneur, numéros 3138, 3212, 3296, 3490, 4402, 5688 ; Glorifier l'Humain, c'est le faire Divin ; régénérer l'homme, c'est le faire céleste, afin que le Divin du Seigneur puisse habiter en lui. , [Il manque du texte ici], 9992, 10005, 10017 ; et que pour être régénéré, l'homme doive être régénéré quant aux internes et quant aux externes, on le voit dans les articles cités, numéro 9325 (fin). Quant à ce qui est spécialement signifié par le Sacrifice et l'Holocauste du bélier, dont il s'agit dans ce Chapitre, on le voit par les passages de la Parole, où les sacrifices et les holocaustes du bélier sont décrits, et où le bélier est nommé ; d'après ces passages, il est évident que le bélier signifie le bien de l'innocence et de la charité dans l'homme interne, et que le sacrifice et l'holocauste du bélier signifient la purification et la régénération de l'homme interne, ainsi l'implantation du bien de l'innocence et de la charité dans cet homme ; que ce soit là ce qui est signifié par le bélier, on le voit par les passages suivants ; dans Ésaïe :

« Tous les troupeaux de l'Arabie seront rassemblés pour toi, les béliers de Nébajoth seront à Ion service ; ils monteront à mon bon plaisir sur mon autel. » - Ésaïe 6.

Là, il s'agit du Seigneur, de son Ciel et de son Église ; les troupeaux de l'Arabie sont tous les biens de l'homme interne ; les béliers de Nébajoth sont les biens de l'innocence et de la charité dans cet homme ; on peut voir que les troupeaux sont les biens de l'homme interne, numéros 8937, 9135 ; que l'Arabie, c'est où est le bien, numéro 3268 ; et que Nébajoth, ce sont ceux qui dans l'homme interne sont dans ce bien, numéro ' 3268, 3686, 3688.

Dans Ézéchiel :

« L'Arabie et tous » les princes de Kédar, les marchands de ta main en petit bétail, et en béliers et en boucs. » - Ézéchiel 27:21.

Là, il s'agit de Tyr, par laquelle est signifiée l'Église où sont les connaissances du bien et du vrai, numéro 1201 ; les marchands sont ceux qui ont ces connaissances et qui les communiquent, numéros 2967, 4453 ; le petit bétail, ce sont les biens de l'amour ; les béliers sont les biens de la charité, et les boucs sont les biens de la foi ; dans la Parole il est parlé de menu bétail (grèges), de petit bétail (pecora), et de bétail (pecudes), qui dans la Langue originale sont distingués par leurs noms ; et par le menu bétail sost signifiés en général les internes, par le bétail les externes spécialement, et par te petit bétail les intimes spécialement ; mais par le gros bétail (armenta) sont signifiés les externes.

Dans Jérémie :

« Je les ferai descendre comme le petit bétail à la tuerie, comme les béliers avec les boucs. » - Jérémie 51:41.

Le petit bétail, les béliers et les boucs signifient ici les mêmes choses.

Dans Ézéchiel :

« Ainsi a dit le Seigneur Jéhovah : Voici, Moi, je juge entre bétail et bétail, entre les béliers et les boucs. " - Ézéchiel 34:17 ;

Entre bétail et bétail, c'est entre ceux qui dans les intérieurs sont bons, et ceux qui sont mauvais ; entre les béliers et les boucs, c'est entre ceux qui sont dans la charité et par suite dans la foi, et ceux qui son dans les vrais de la foi sans la charité ; les béliers signifient ici la même chose que les brebis, car les béliers sont les mâles des brebis ; que les brebis soient ceux qui sont dans la charité et par suite dans la foi, on le voit, numéros 4169, 4809 ; et que les boucs soient ceux qui sont dans les vrais, appelés vrais de la foi, sans la charité, on le voit, numéros 4169 (fin), 4769 ; les mêmes choses sont signifiées par le bélier et le bouc, dans Daniel 8 ; et aussi par les brebis et les boucs, dans Matthieu 25:32.

Dans Moïse :

« Si une âme a péché par erreur, elle apportera son délit à Jéhovah, un bélier sans défaut d'entre le menu bétail. " - Lévitique 5:15, 18, ;

Les sacrifices du bélier signifient la purification de l'homme interne et l'implantation du bien de l'innocence dans cet homme, car le péché par erreur est le péché provenant de l'ignorance dans laquelle est l'innocence, et l'innocence de l'ignorance appartient à l'homme interne.

Dans le Même :

« Dans les Nouvelles Lunes on offrait deux taureaux, un bélier et sept agneaux, et ensuite un bouc de chèvres. Pareillement chacun des jours de la Pâque : et pareillement le jour des prémices. » - Nombres 22:6, 15, 19, 22, 27 ;

C'était pour que fût représentée la purification de tout l'homme, tant de l'externe que de l'interne et de l'intime ; par le sacrifice et l'holocauste des taureaux, la purification de l'homme externe ; par celui du bélier, la purification de l'homme interne ; et par ceux des agneaux, la purification de l'homme intime ; et comme la purification était représentée, l'implantation du bien de l'innocence l'était aussi, car le taureau est le bien de l'innocence dans l'homme externe, le bélier dans l'homme interne, et l'agneau dans l'homme intime, ainsi qu'il a été dit ci-dessus ; si le bouc était sacrifié le dernier de tous, c'est parce que le bouc signifie le vrai de la foi dans l'homme externe, et que le vrai de la foi dans cet homme est le dernier, numéro 9959. Gomme les biens et les vrais chez l'homme se suivent dans cet ordre, c'est pour cela aussi que les présents des princes d'Israël, quand on oignait l'autel et la Tente de convention, étaient un Taureau, un Bélier et un Agneau en holocaustes, et un Bouc de chèvres en sacrifice, - Nombres , [Il manque du texte ici],

  
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Arcanes Célestes # 1343

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1343. Eber fut une nation qui d'Eber, comme de son père, fut nommée nation des Hébreux ; et par elle est signifié le culte de la Seconde Eglise Ancienne en général : cela est évident d'après les livres historiques de la Parole, où cette nation est si souvent nommée. Comme le culte nouveau commença chez cette nation, tous ceux qui eurent un semblable culte furent nommés Hébreux ; leur culte fut pareil à celui rétabli ensuite chez les descendants de Jacob. Le principal de leur culte consistait en ce qu'ils appelèrent leur Dieu Jéhovah, et qu'ils eurent des Sacrifices. La Très-Ancienne Eglise reconnut unanimement le Seigneur et Le nomma Jéhovah, comme on le voit aussi par les premiers Chapitres de la Genèse et dans d'autres endroits de la Parole.

L'Ancienne Eglise, c'est-à-dire, celle qui exista après le déluge, reconnut aussi le Seigneur et le nomma Jéhovah ; je parle surtout de ceux qui eurent le culte interne et qui furent appelés fils de Schem : les autres qui étaient dans le culte externe, reconnurent aussi Jéhovah et l'adorèrent ; mais lorsque le culte interne devint externe, et plus encore lorsqu'il devint idolâtrique, et que chaque nation commença à avoir son Dieu qu'elle adorait, la nation des Hébreux retint le nom de Jéhovah et appela son Dieu Jéhovah, et c'est en cela qu'elle était distinguée des autres nations. Les descendants de Jacob avaient, en Egypte, perdu avec le culte externe la mémoire même que leur Dieu s'appelait Jéhovah ; Moïse lui-même ne le savait pas : c'est pourquoi la première chose dont ils furent instruits, c'est que Jéhovah était le Dieu des Hébreux, et le Dieu d'Abraham, d'Isaac et de Jacob, comme on peut le voir par ces passages de Moïse :

« Jéhovah dit à Moïse : Tu entreras, toi et les anciens d'Israël, vers » le roi d'Egypte, et vous lui direz : Jéhovah le Dieu des Hébreux, est venu au-devant de nous ; et maintenant je te prie que nous allions le chemin de trois jours dans le désert, et que nous sacrifiions à Jéhovah notre Dieu. » - Exode 3:18.

Dans le Même :

« Pharaon dit : Qui (est) Jéhovah, dont j'écouterais la voix, » pour laisser aller Israël ? Je ne connais point Jéhovah, et je ne laisserai pas aller Israël. Et ils dirent : Le Dieu des Hébreux est venu au-devant de nous ; je te prie que nous allions le chemin de trois jours dans le désert, et que nous sacrifiions à Jéhovah notre Dieu. » - Exode 5:2-3.

Que les descendants de Jacob aient perdu, en Egypte, avec le culte, le nom même de Jéhovah, c'est ce que prouvent ces passages, dans Moïse :

« Moïse dit à Dieu : Voici, quand je serai venu vers les fils d'Israël, et que je leur aurai dit : Le Dieu de vos pères m'a envoyé vers vous ; et s'ils me disent : Quel (est) son nom ? Que leur dirai-je ? Et Dieu dit à Moïse : Je Suis Celui Qui Suis. Et il dit : Tu diras ainsi aux fils d'Israël : Je Suis m'a envoyé vers vous. Et Dieu dit de plus » à Moïse : Tu diras ainsi aux fils d'Israël : Jéhovah le Dieu de vos pères, le Dieu d'Abraham, le Dieu d'Isaac, et le Dieu de Jacob, m'a envoyé vers vous ; voilà mon Nom dans toute l'éternité. » - Exode 3:13-14, 15.

Il est donc évident que Moïse lui-même ignorait le nom de Jéhovah, et que le nom de Jéhovah le Dieu des Hébreux les distinguait des autres nations. On voit aussi ailleurs que Jéhovah est nommé, pour la même raison, Dieu des Hébreux :

« Tu diras à Pharaon : Jéhovah le Dieu des Hébreux, m'a envoyé vers toi. » - Exode 7:16.

« Entre chez Pharaon, et parle-lui : Ainsi a dit Jéhovah le Dieu des Hébreux. » - Exode 9:1, 13.

Moïse, ainsi qu'Aaron, entra chez Pharaon, et ils lui dirent :

« Ainsi a dit Jéhovah le Dieu des Hébreux. » - Exode 10:3.

Dans Jonas :

« (Je suis) Hébreu, moi ; et je crains Jéhovah, le Dieu des Cieux. » - Jonas 1:9.

Et de même dans Samuel :

« Les Philistins entendirent la voix d'acclamation, et ils dirent : Quelle (est) la voix de cette grande acclamation dans le camp des Hébreux ? Et ils connurent que l'arche de Jéhovah était venue dans le camp. Les Philistins dirent : Malheur à nous ! Qui nous délivrera de la main de ces Dieux magnifiques ? Ce sont ces Dieux-là qui ont frappé les Egyptiens de toute plaie dans le désert. Philistins ! Soyez des hommes, de peur que vous ne soyez esclaves des Hébreux. » - 1 Samuel 4:6, 8-9.

Là, il est encore évident que les nations étaient distinguées par le nom de leurs Dieux, et la nation des Hébreux par celui de Jéhovah. Que les sacrifices aient constitué le second essentiel du culte de la nation des Hébreux, c'est aussi ce qui est évident par les passages ci-dessus rapportés - Exode 3:18 ; Exode 5:2-3.

Et encore en ce que les Egyptiens avaient en abomination la nation des Hébreux par rapport à ce culte, comme on le voit dans Moïse :

« Moïse dit : Il ne (serait) pas convenable de faire ainsi, parce que » nous sacrifierions à Jéhovah notre Dieu (ce qui est) l'abomination des Egyptiens. Voici, nous sacrifierions l'abomination des egyptiens sous leurs yeux ! Ne nous lapideraient-ils pas ? » - Exode 8:22.

C'est aussi pour cela que les Egyptiens avaient tellement en abomination les Hébreux, qu'ils ne voulaient pas manger le pain avec eux - Genèse 43:32.

De là il est encore évident que la postérité de Jacob ne formait pas seule la nation des Hébreux, mais que cette nation se composait de tous ceux qui avaient un tel culte ; c'est aussi pour cela que la terre de Canaan est nommée terre des Hébreux au temps de Joseph :

« Joseph dit : » J'ai été soustrait par vol de la terre des Hébreux. » - Genèse 40:15.

Un grand nombre de passages prouvent qu'il y a eu des sacrifices chez les idolâtres dans la terre de Canaan, car ils sacrifiaient à leurs Dieux, aux Baals et aux autres. On voit en outre que Balaam, qui était de Syrie, pays d'Eber et d'où sortait la nation des Hébreux, offrit non-seulement des sacrifices, mais appela même Jéhovah son Dieu, avant que les descendant de Jacob vinssent dans la terre de Canaan ; on voit, dis-je, que Balaam était de Syrie, d'où sortait la nation des Hébreux - Nombres 23:7.

qu'il offrit des sacrifices, - Nombres 22:39-40 ; Nombres 23:1-2, 3, 14, 29.

qu'il appela Jéhovah son Dieu - Nombres 22:18, et en plusieurs autres endroits.

Quant à ce qu'il est dit, en parlant de Noach, Chapitre 8 : Vers. 20, qu'il offrit des holocaustes à Jéhovah, cela n'est pas un historique vrai, mais c'est un historique factice, parce que les holocaustes signifiaient la sainteté du culte, comme on le voit au Verset cité. On peut maintenant, d'après ce qui précède, voire d'une manière évidente ce que signifie Héber ou la nation des Hébreux.

  
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