Bible

 

Jérémie 51:54

Studie

       

54 Un grand cri s'entend de Babylone, et un grand débris du pays des Caldéens.

Ze Swedenborgových děl

 

Apocalypse Explained # 751

Prostudujte si tuto pasáž

  
/ 1232  
  

751. Verse 12. For this rejoice, ye heavens and ye that dwell in them, signifies the salvation and consequent joy of those who become spiritual by the reception of Divine truth. This is evident from the signification of "rejoicing," as being joy on account of salvation; also from the signification of "heavens," as being those who are spiritual (of which presently); also from the signification of "ye that dwell," as being those who live, here spiritually. (That "to dwell" signifies to live, see above, n. 133, 479, 662.) "The heavens" signify those who are spiritual, because all who are in the heavens are spiritual; and because men who have become spiritual are likewise in the heavens, although in respect to the body they are in the world, so "ye that dwell in the heavens" means not only angels, but also men. For every man with whom the interior mind, which is called the spiritual mind, has been opened, is in the heavens, yea, sometimes he even appears among the angels in the heavens. That this is so has not been known heretofore in the world; let it be known, therefore, that man in respect to his spirit is among spirits and angels, and even in that society of them into which he is to come after death. This is because the spiritual mind of man is formed wholly to the image of heaven, even so that it is a heaven in least form; consequently that mind, although it is still in the body, must nevertheless be where its form is. But this has been more fully illustrated in the work on Heaven and Hell 51-58, where it is shown that every angel and also every man, in respect to his interiors, if he be spiritual is a heaven in least form, corresponding to heaven in its greatest form. For this reason, where the Word treats of the creation of heaven and earth the church internal and external is meant in general, as also in particular the internal and external man, or the spiritual and natural man. From this it can be seen that "the heavens and those that dwell in them" signify all who are there, also men who are becoming spiritual by the reception of Divine truth in doctrine and life.

  
/ 1232  
  

Thanks to the Swedenborg Foundation for their permission to use this translation.

Ze Swedenborgových děl

 

Arcanes Célestes # 3939

Prostudujte si tuto pasáž

  
/ 10837  
  

3939. Et elle appela son nom Ascher, signifie la qualité : on le voit par la signification d'appeler le nom, en ce que c'est la qualité, comme ci-dessus la qualité elle-même est ce qu'Ascher représente : Ascher dans la Langue originale signifie la béatitude, mais il enveloppe toutes les choses qui sont signifiées par les paroles de Léah sa mère : Pour ma béatitude, parce que me béatifieront des filles, savoir, le plaisir des affections correspondant à la félicité de la vie éternelle ; c'est là le quatrième commun qui conjoint l'homme Externe avec l'homme Interne ; en effet, quand l'homme perçoit en lui ce plaisir correspondant, son homme Externe commence à être conjoint à l'homme interne ; ce sont les plaisirs, appartenant aux affections du vrai et du bien, qui conjoignent, car sans les plaisirs des affections rien n'est conjoint, puisque la vie de l'homme est dans les affections ; que toute conjonction existe par les affections, on le voit numéros 3024, 3066, 3336, 3849, 3909 ; les filles qui béatifieront signifient les Églises ; que les filles, dans le sens interne de la Parole, soient les Églises, on le voit numéro 2362. Ces paroles ont donc été prononcées par Léah, parce que les enfantements des servantes signifient les vrais communs, qui sont les moyens servant à la conjonction, afin que l'Eglise existe chez l'homme ; car lorsque l'homme perçoit ce plaisir ou cette affection, il commence à devenir Eglise, et c'est parce qu'il en est ainsi, que ces paroles sont dites du quatrième ou dernier fils des servantes. Dans la Parole, Ascher est çà et là nommé ; mais là par lui, comme aussi par les autres, est signifiée la qualité dont il y est question, c'est-à-dire, quels ils sont dans cet état où se trouve la chose dont il s'agit ; et il en est aussi de leur qualité selon l'ordre dans lequel ils sont nommés, par exemple, autrement quand c'est de Ruben ou de la foi que le principe est tiré, autrement quand c'est de Jehudah ou de l'amour céleste, et autrement quand c'est de Joseph ou de l'amour spirituel, car l'essence et la qualité du principe sont dérivées et passent dans les suivantes ; de là leurs différentes significations dans les passages où ils sont nommés ; ici où il s'agit de leur naissance, ils signifient les communs de l'Eglise, par conséquent toutes les choses de la foi et de l'amour qui font l'Eglise ; et cela, parce que dans ce qui précède il s'agit de la régénération de l'homme, ou des états de l'homme avant qu'il devienne Eglise ; et, dans le sens suprême, du Seigneur, comment l'a fait Divin son Humain ; ainsi, parce qu'il s'agit de l'ascension jusqu'à Jéhovah par l'échelle que Jacob vit dans Béthel.

  
/ 10837