Bible

 

Jérémie 51:52

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52 C'est pourquoi voici, les jours viennent, dit l'Eternel, que je ferai justice de ses images taillées, et les blessés à mort gémiront par tout son pays.

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Arcanes Célestes # 10042

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10042. Et l'un des béliers lu prendras, signifie le bien de l'innocence dans l'homme interne : on le voit par la signification du bélier, en ce qu'il est le bien de l'innocence dans l'homme interne, ainsi qu'il va être montré. Comme dans ce Chapitre il s'agit de sacrifices et d'holocaustes de béliers et d'agneaux, il sera dit ce qu'ont signifié les animaux en général qui étaient offerts en sacrifices et en holocaustes : ces animaux étaient des Bœufs, des Taureaux, des Boucs, des Béliers, des Chèvres et des Chevreaux, des Agneaux, des Agnelles, et des Chevrettes de chèvres : celui qui ne sait pas ce que ces animaux signifient ne peut nullement savoir ce que signifient les Sacrifices et les Holocaustes faits avec chacune de ces espèces ; il faut qu'on sache que tous les animaux, qui sont dans les terres, signifient des choses qui sont chez l'homme, lesquelles se réfèrent en général aux affections qui appartiennent à sa volonté, et aux pensées qui appartiennent à son entendement, ainsi aux biens et aux vrais, car les biens appartiennent à la volonté, elles vrais appartiennent à l'entendement ; et comme elles se réfèrent aux biens et aux vrais, elles se réfèrent aussi à l'amour et à la foi, car toutes .les choses qui appartiennent à l'amour sont appelées biens, et toutes celles qui appartiennent à la foi sont appelées vrais. Si les animaux de divers genre signifient de telles choses, cela tire son origine des représentatifs dans l'autre vie ; là apparaissent des animaux de plusieurs genres et d'espèces innombrables ; ces animaux y sont des apparences tout-à-fait frappantes (ad vivum) correspondant aux affections et aux pensées qui sont chez les Esprits et chez les Anges : qu'il en soit ainsi, on peut môme le voir par les visions prophétiques rapportées çà et là dans la Parole ; en effet, toutes les choses qui ont été vues par les prophètes sont de celles qui apparaissent devant les anges dans le ciel : c'est de là qu'il est si souvent parlé de bêtes dans la Parole, et que cha- » que bête signifie quelque chose qui se réfère à des affections ou à des pensées qui sont chez l'homme ; l'homme, quant à son homme externe, n'est autre chose qu'un animal, mais il en est distingué par son homme interne, en ce que son homme interne et son homme externe peuvent être élevés vers le ciel et jusqu'à Dieu, et par suite recevoir la foi et l'amour ; de là vient que des bêtes ont été employées dans les sacrifices et dans les holocaustes : celui qui ne sait pas ces choses ne peut nullement savoir pourquoi il a été ordonné d'offrir tantôt des Taureaux, des Béliers, des Agneaux, tantôt des Bœufs, des Chèvres et des Agnelles, tantôt des Boucs, des Chevreaux et des Chevrettes de chèvres ; autrement, à quoi bon tout cela ? Que les bêtes dans la Parole signifient les biens et les maux chez l'homme, comme aussi les vrais et les faux, on le voit, numéros 142, 143, 246, 714, 715, 776, 1823, 2179, 2180, 2781, 3218, 3519, 5198, 7523, 7872, 9090 ; et que ce soit à cause de cela qu'elles ont été employées dans les sacrifices, on le voit, numéros 1823, 2180, 2805, 2807, 2830, [Il manque du texte ici], , 923, 2165, 6905, 8680, 8936 ; que l'autel a été le principal représentatif du Seigneur, et par conséquent du culte, numéros 2777, 2811, 8935, 8940, 9388, 9389, 9714, 9964 ; que les Anciens avant Éber n'ont rien connu des sacrifices, numéro 2180 ; que depuis Éber, ainsi chez la nation des Hébreux, et par suite chez les descendants de Jacob, les sacrifices ont été institués, et pourquoi, numéros 1128, 1343, 2180, 2818 ; que les Sacrifices ont été non pas commandés mais permis, numéro 2180. 2, [Il manque du texte ici], ; ; , ,Lévitique , , Lévitique 5:6, 10, 13, 16, 18, , 19, 15:30, , ;

Le pardon des péchés, l'expiation, la propitiation, et la rédemption, ne sont pas non plus autre chose que la purification des maux et des faux, l'implantation du bien et du vrai, et leur conjonction, ainsi la régénération, numéros 9076, 9452, 9453, 9454, 9937, 9938 ; tout procédé de la Régénération est aussi décrit par chacun des rites de chaque Sacrifice et de chaque Holocauste, et se manifeste quand les représentatifs sont développés par le sens interne, numéro 10022. (2 bis.) Les Sacrifices et les Holocaustes dans le sens suprême signifient la Glorification de l'Humain du Seigneur : c'est parce que tous les rites du culte institués chez la Nation Israélite et Juive regardaient uniquement le Seigneur ; ainsi Le regardaient principalement les Sacrifices et les Holocaustes qui en général représentaient le tout du culte, comme il a été montré ci-dessus ; la Régénération de l'homme ne vient pas non plus d'autre part que du Seigneur, numéros 9506, 9715, 9486, 9487, 9809, 10019 ; c'est pourquoi, lorsque dans la Parole il s'agit de la régénération de l'homme, dans le sens suprême il s'agit de la glorification de l'Humain du Seigneur ; caria régénération de l'homme est l'image de la glorification du Seigneur, numéros 3138, 3212, 3296, 3490, 4402, 5688 ; Glorifier l'Humain, c'est le faire Divin ; régénérer l'homme, c'est le faire céleste, afin que le Divin du Seigneur puisse habiter en lui. , [Il manque du texte ici], 9992, 10005, 10017 ; et que pour être régénéré, l'homme doive être régénéré quant aux internes et quant aux externes, on le voit dans les articles cités, numéro 9325 (fin). Quant à ce qui est spécialement signifié par le Sacrifice et l'Holocauste du bélier, dont il s'agit dans ce Chapitre, on le voit par les passages de la Parole, où les sacrifices et les holocaustes du bélier sont décrits, et où le bélier est nommé ; d'après ces passages, il est évident que le bélier signifie le bien de l'innocence et de la charité dans l'homme interne, et que le sacrifice et l'holocauste du bélier signifient la purification et la régénération de l'homme interne, ainsi l'implantation du bien de l'innocence et de la charité dans cet homme ; que ce soit là ce qui est signifié par le bélier, on le voit par les passages suivants ; dans Ésaïe :

« Tous les troupeaux de l'Arabie seront rassemblés pour toi, les béliers de Nébajoth seront à Ion service ; ils monteront à mon bon plaisir sur mon autel. » - Ésaïe 6.

Là, il s'agit du Seigneur, de son Ciel et de son Église ; les troupeaux de l'Arabie sont tous les biens de l'homme interne ; les béliers de Nébajoth sont les biens de l'innocence et de la charité dans cet homme ; on peut voir que les troupeaux sont les biens de l'homme interne, numéros 8937, 9135 ; que l'Arabie, c'est où est le bien, numéro 3268 ; et que Nébajoth, ce sont ceux qui dans l'homme interne sont dans ce bien, numéro ' 3268, 3686, 3688.

Dans Ézéchiel :

« L'Arabie et tous » les princes de Kédar, les marchands de ta main en petit bétail, et en béliers et en boucs. » - Ézéchiel 27:21.

Là, il s'agit de Tyr, par laquelle est signifiée l'Église où sont les connaissances du bien et du vrai, numéro 1201 ; les marchands sont ceux qui ont ces connaissances et qui les communiquent, numéros 2967, 4453 ; le petit bétail, ce sont les biens de l'amour ; les béliers sont les biens de la charité, et les boucs sont les biens de la foi ; dans la Parole il est parlé de menu bétail (grèges), de petit bétail (pecora), et de bétail (pecudes), qui dans la Langue originale sont distingués par leurs noms ; et par le menu bétail sost signifiés en général les internes, par le bétail les externes spécialement, et par te petit bétail les intimes spécialement ; mais par le gros bétail (armenta) sont signifiés les externes.

Dans Jérémie :

« Je les ferai descendre comme le petit bétail à la tuerie, comme les béliers avec les boucs. » - Jérémie 51:41.

Le petit bétail, les béliers et les boucs signifient ici les mêmes choses.

Dans Ézéchiel :

« Ainsi a dit le Seigneur Jéhovah : Voici, Moi, je juge entre bétail et bétail, entre les béliers et les boucs. " - Ézéchiel 34:17 ;

Entre bétail et bétail, c'est entre ceux qui dans les intérieurs sont bons, et ceux qui sont mauvais ; entre les béliers et les boucs, c'est entre ceux qui sont dans la charité et par suite dans la foi, et ceux qui son dans les vrais de la foi sans la charité ; les béliers signifient ici la même chose que les brebis, car les béliers sont les mâles des brebis ; que les brebis soient ceux qui sont dans la charité et par suite dans la foi, on le voit, numéros 4169, 4809 ; et que les boucs soient ceux qui sont dans les vrais, appelés vrais de la foi, sans la charité, on le voit, numéros 4169 (fin), 4769 ; les mêmes choses sont signifiées par le bélier et le bouc, dans Daniel 8 ; et aussi par les brebis et les boucs, dans Matthieu 25:32.

Dans Moïse :

« Si une âme a péché par erreur, elle apportera son délit à Jéhovah, un bélier sans défaut d'entre le menu bétail. " - Lévitique 5:15, 18, ;

Les sacrifices du bélier signifient la purification de l'homme interne et l'implantation du bien de l'innocence dans cet homme, car le péché par erreur est le péché provenant de l'ignorance dans laquelle est l'innocence, et l'innocence de l'ignorance appartient à l'homme interne.

Dans le Même :

« Dans les Nouvelles Lunes on offrait deux taureaux, un bélier et sept agneaux, et ensuite un bouc de chèvres. Pareillement chacun des jours de la Pâque : et pareillement le jour des prémices. » - Nombres 22:6, 15, 19, 22, 27 ;

C'était pour que fût représentée la purification de tout l'homme, tant de l'externe que de l'interne et de l'intime ; par le sacrifice et l'holocauste des taureaux, la purification de l'homme externe ; par celui du bélier, la purification de l'homme interne ; et par ceux des agneaux, la purification de l'homme intime ; et comme la purification était représentée, l'implantation du bien de l'innocence l'était aussi, car le taureau est le bien de l'innocence dans l'homme externe, le bélier dans l'homme interne, et l'agneau dans l'homme intime, ainsi qu'il a été dit ci-dessus ; si le bouc était sacrifié le dernier de tous, c'est parce que le bouc signifie le vrai de la foi dans l'homme externe, et que le vrai de la foi dans cet homme est le dernier, numéro 9959. Gomme les biens et les vrais chez l'homme se suivent dans cet ordre, c'est pour cela aussi que les présents des princes d'Israël, quand on oignait l'autel et la Tente de convention, étaient un Taureau, un Bélier et un Agneau en holocaustes, et un Bouc de chèvres en sacrifice, - Nombres , [Il manque du texte ici],

  
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Apocalypse Explained # 140

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140. That thou hast there them that hold the doctrine of Balaam, who taught Balak to cast a stumbling block before the sons of Israel, signifies those who have been illustrated in respect to the understanding, and who teach truths, and yet love to destroy by craft those who are of the church. This is evident from the historicals of the Word respecting Balaam and Balak, understood in the spiritual sense; and these must first be told. Balaam was a soothsayer from Pethor of Mesopotamia, and was therefore called by Balak, king of Moab, to curse the Israelitish people; but this Jehovah prevented, and granted him to speak prophetically, yet he afterwards counseled with Balak how to destroy that people by craft, by leading them away from the worship of Jehovah to the worship of Baal-peor. Here, therefore, by "Balaam" those are meant who have been illuminated in respect to the understanding, and who teach truths, and yet love to destroy by craft those who are of the church. That Balaam was a soothsayer is evident from these words in Moses:

The elders of Moab and the elders of Midian went to Balaam with the rewards of enchantment in their hand (Numbers 22:7).

When Balaam saw that it was good in the eyes of Jehovah to bless Israel, he went not as in former times to meet with divinations (Numbers 24:1).

And in Joshua:

Balaam also, the son of Beor, the diviner, did the sons of Israel slay with the sword upon their slain (Joshua 13:22).

That he was called by Balak, king of Moab, to curse the people of Israel, see Numbers 22:5, 6, 16, 17; Deuteronomy 23:3, 4; but that Jehovah prevented this, and granted him to speak prophetically, Numbers 22:9, 10, 12, 20; 23:5, 16; the prophecies which he uttered may be seen Numbers 23:7-15, 18-24; 24:5-9, 16-19, 20-24; all which things are truths, because it is said that:

Jehovah put a word into his mouth (Numbers 23:5, 6, 12, 16).

[2] That afterwards he counseled with Balak to destroy the people of Israel by craft, by leading them away from the worship of Jehovah to the worship of Baal-peor, is evident from these words in Moses:

In Shittim the people began to commit whoredom with the daughters of Moab. And they called the people unto the sacrifices of their gods; and the people did eat and bowed down to their gods. Especially did Israel join himself unto Baal-peor. Therefore there were killed of Israel twenty and four thousand (Numbers 25:1-3, 25:9, 25:18).

They slew Balaam amongst the Midianites; and the sons of Israel led captive all the women of the Midianites; which was of the counsel of Balaam, to deliver them to prevarication against Jehovah, in the matter of Peor (Numbers 31:8-9, 31:16).

That by "Balaam" those are meant who have been illustrated in respect to the understanding, and who teach truths, follows from what has now been shown, for he spoke prophetically truths about Israel, and also about the Lord; that he spoke truths about the Lord also may be seen in his prophecy (Numbers 24:17). To speak prophetically about Israel is to speak not about the Israelitish people, but about the church of the Lord, which is signified by "Israel." The illustration of his understanding he himself describes in these words:

The saying of Balaam the son of Beor, the saying of the man whose eyes are opened, the saying of him who heareth the words of God, who falls prostrate, and has his eyes uncovered (Numbers 24:3-4, 24:15-18).

"To have the eyes opened," or "to have them uncovered," is to be illustrated in respect to the understanding, for "eyes" in the Word signify the understanding (as may be seen in Arcana Coelestia 2701, 4410-4421, 4523-4534, 9051, 10569).

[3] That "Balaam" also means those who love to destroy by craft those who are of the church is evident also from what has been shown above; moreover, when he rode upon the ass, he continually thought upon the use of enchantments for destroying the sons of Israel; and when he was not able to do this by curses, he counseled Balak to destroy them by calling them to the sacrifices of his gods, and by their committing whoredom with the daughters of Moab. By the "sons of Israel," whom he wished to destroy, is signified the church, because the church was instituted among them (See Arcana Coelestia 6426, 8805, 9340).

[4] The arcanum respecting the she-ass on which Balaam rode, which turned aside three times out of the way from the angel seen with a drawn sword, and its speaking to Balaam, I will here briefly explain. When Balaam rode upon the ass he continually meditated enchantments against the sons of Israel; the riches with which he should be honored were in his mind, as is evident from what is said of him:

He went not as in former times to meet with divinations (Numbers 24:1).

In heart, he was also a soothsayer, therefore when left to himself, he thought of nothing else. By the "she-ass" upon which he rides is signified, in the spiritual sense of the Word, the intellectual illustrated; consequently to ride on a she-ass or a mule was the distinction of a chief judge or a king (See above, n. 31; and in Arcana Coelestia 2781, 5741, 9212). The angel with the drawn sword signifies Divine truth illustrating and combating against falsity (See above, n. 131). Therefore that "the ass turned aside three times out of the way" signifies that the understanding when illustrated did not agree with the thought of the soothsayer; this also is meant by what the angel said to Balaam:

Behold, I went forth to withstand thee, because thy way is evil before me (Numbers 22:32).

By "way," in the spiritual sense of the Word, is signified that which a man thinks from intention (See in the work on Heaven and Hell 479, 534, 590; and in the small work on The Last Judgment 48). That he was withheld from the thought and intention of using enchantments by the fear of death is manifest from what the angel said to him:

Unless the ass had turned aside before me, surely now I had even slain thee (Numbers 22:33).

[5] It sounded to Balaam as if the ass spoke to him, yet she did not speak, but the speech was heard as if from her. That such was the case has often been shown me by living experience; it has been granted me to hear horses seemingly speaking, when yet the speech was not from them, but was seemingly from them. This actually occurred in Balaam's case, that the story might be so related in the Word for the sake of the internal sense in every particular of it. That sense describes how the Lord protects those who are in truths and goods, that they may not be harmed by those who speak from seeming illustration, and yet have the disposition and intention to lead astray. He who believes that Balaam could harm the sons of Israel by enchantments is much deceived; for enchantments could have availed nothing against them; this Balaam himself confessed when he said:

Divination avails not against Jacob, nor enchantments against Israel (Numbers 23:23).

Balaam could lead that people astray by craft, because that people were such in heart; with the mouth only they worshiped Jehovah, but in heart they worshiped Baal-peor, and because they were such this was permitted.

[6] It is to be noted, moreover, that a man can be in illustration in respect to the understanding, and yet in evil in respect to the will; for the intellectual faculty is separated from the voluntary with all who are not regenerated, and only with those who are regenerated do they act as one; for it is the office of the understanding to know, to think, and to speak truths, but of the will to will the things that are understood, and from the will, or from the love, to do them. The divorcement of the two is clearly manifest with evil spirits; when these turn themselves towards good spirits, they, too, understand truths, and also acknowledge them, almost as if they were illustrated; but as soon as they turn themselves away from good spirits, they return to the love of their will and see nothing of truth, and even deny the things they have heard (See in the work on Heaven and Hell 153, 424, 455).

[7] To be able to have the understanding illustrated is granted to man, for the sake of reformation; for in man's will every evil resides, both that into which he is born and that into which he introduces himself; and the will cannot be corrected unless man knows, and by the understanding acknowledges, truths and goods, and also falsities and evils; in no other way can he turn away from the latter and love the former. (More may be seen on the will and the understanding in The Doctrine of the New Jerusalem 28-35.)

  
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Thanks to the Swedenborg Foundation for their permission to use this translation.